Dionysies

Différentes interprétations selon les auteurs Comédie antique Acteur jouant un esclave assis sur un autel, vidant la bourse qu'il vient de dérober Masque de théâtre La comédie naît, en 486 av. J.-C., lors des Grandes Dionysies. Il semble qu'elle soit issue des jeux comiques improvisés lors des processions phalliques en l’honneur de Dionysos. Les plus anciennes comédies conservées sont celles d’Aristophane. Celui-ci ne semble pourtant appartenir qu'à la troisième génération

sept nous sont parvenues. Cité comme paradigme de la tragédie par Aristote, notamment pour l'usage qu'il fait du chœur[1] et pour sa pièce Œdipe roi[2], il remporte également le nombre le plus élevé de victoires au concours tragique des grandes Dionysies (dix-neuf) ,et n'y figure jamais dernier. Il écrit plusieures œuvres : Ajax Antigone Les Trachiniennes Les limiers Euripide Euripide, né à Salamine vers 480 av. J.-C., mort en Macédoine en 406 av. J.-C., est un des trois grands tragiques

(religion traditionnelle et archaïque Grecs : les Erinyes et les valeurs nouvelles : Dieux Olympiens). Les Erinyes naissent du sang d’Ouranos : mutilé par son fils qui lui coupe les couilles à l’aide d’une serpe (Aphrodite nait du sperme d’Ouranos). Les Dionysies étaient les fêtes pendant lesquelles des tragédies étaient jouées. Les riches payaient les préparatifs de ces fêtes et les pauvres pouvaient assister aux représentations comme tous les autres habitants de la cité. Aller au théâtre pendant la Grèce

à l’idée, au début du VIe siècle, de faire appel à des rhapsodes comme coryphées du Dithyrambe (ce sont des éloges et des récits improvisés pour glorifier et évoquer le dieu Dionysos pendant les orgies dionysiaques). En institutionnalisant les Dionysies, le chaos tournoyant devient un outil au service de la cité. De plus, les légendes, les aventures des grandes familles royales ou la guerre de Troie sont des aventures si riches et complexes que l’art du conteur ne suffit bientôt plus à les transmettre

dernier. A cet événement marquant de la figure du philosophe qui avec sa manière d’être dans le monde tend à avoir une attitude hautaine face à la cité et qui en paie le prix cher, l’esprit tragique, à travers un élément de culture à savoir les dionysies, se développe en faisant du questionnement un état d’esprit général. Un questionnement qui confronte la justice de Dieu à celle de la Cité. Qui se soumet à quoi et dans quelle forme de gouvernement. Soumet-on la justice de Dieu à celle de

de l’intemporalité de certaines pièces, souvent surprenantes de modernité et d’actualité. Depuis l’Antiquité, la comédie est traditionnellement considérée comme un genre théâtral mineur, inférieur à celui de la tragédie. En effet, durant les Dionysies antiques, fêtes organisées en l’honneur du dieu Dionysos, les concours théâtraux étaient composés de deux tragédies et d’une comédie seulement. De même, durant le Moyen-âge, farces et sotties jouaient le rôle de distraction entre deux mystères ou

Ce dieux incarne par ses excès une menace pour l’ordre établit. Le rituel célébré en son honneur nécessitait de la sauvagerie et de l’abondance (vin, nourriture…). Contrairement à Apollon dieu de la mesure. On lui rend hommage lors des grandes Dionysies (printemps) en faisant une tragédie (un rituel qui réunit 3 formes d’arts : musique, chant et danse). Il y a trois illustres vainqueurs de tragédie : * Eschyle : L’histoire d’Oreste et de Prométhée * Sophocle : Eudype Roi (Corneille)

la même année. L'ordre en est d'ailleurs réglé par une loi qui date de l'archontat de Képhisophon (329 a. C. n.) § 8. - Sont encore tirés au sort l'archonte de Salamine et le démarque du Pirée, chargés l'un et l'autre de la célébration des Dionysies et de la désignation des chorèges. On tient à Salamine une liste officielle des archontes. CHAPITRE LV: MAGISTRATURES CONFÉRÉES PAR LE SORT (SUITE) - LES NEUF ARCHONTES § 1. Du mode de désignation des neuf Archontes. - § 2. De l'examen des

41) la rendant encore plus effrayante. L’indicateur de lieu « à 5m » nous indique que l’échéance est arrivée. C’est l’apogée dramatique. Tchen se lance.Dans cet acte intrépide et fou il atteint son but, occasion de jouissance extrême, proche des dionysies Grecques : « joie extatique » (l.41). Joie que l’on peut définir comme un état hors de soi, extraverti, projeté à l'extérieur. Il y a donc matérialisation du sentiment de Tchen, son désir de destruction et de meurtre devient réel et s’incarne. Apparait

partie du cercle du dieu Dionysos. Ces êtres hybrides, mi homme mi bouc, à la sexualité débordante, sont le symbole de la comédie. Il s’agirait alors d’une illustration d’un drame satyrique de Sophocle, Le Cyclope, composé à l’occasion des Grandes Dionysies. Les Illustrations du texte d’Homère On procède par élimination pour déterminer si une représentation s’appuie sur le texte d’Homère. Si aucun élément ne vient à l’encontre du texte, il s’agit de l’illustration directe d’Homère. Coupe Laconienne