Dircé

en combat singulier afin de déterminer le peuple vainqueur de ce conflit. * 1659 Œdipe : C’est une pièce de théâtre grecque. Oedipe, qui gouverne Thèbes, doit constamment réaffirmer son autorité comme successeur du roi Laïus, notamment face à Dircé, fille de Laïus et de Jocaste, qui s'estime supérieure à celui qu'elle croit être un étranger, presque un imposteur ; elle refuse notamment d'épouser l'homme que lui destine Oedipe, car elle aime Thésée, seul digne de sa gloire. * 1650 Andromède :

et intraurbaines, ce qui nous fait relativiser les lignes traditionnelles de la 8 Voir M. Véras – Territorialidade e cidadania em São Paulo – ANPOCS – 1998, Aldaíza Sposati (coord.) Carte de l’exclusion/inclusion de São Paulo – PUCSP, 1996 et Dirce Koga Medidas de cidades, SP, Cortez, 2003, Milton Santos: O espaço do cidadão, Nobel, 1998. pauvreté/indigence, déjà ébauchées. Le IDH s’affermit comme la référence la plus complète puisque ajoute au revenu les niveaux d’éducation et de santé10

D’importance au dessin qu’à la couleur, hyper réalisme  contrer la photographie. Jean Léon Gérome 18241904 « Pygmalion et Galatée » 1890 « Tanagra » 1890 Jean baptiste Edouard Detaille « Salut aux blessés » « le rêve » 1870 Henryck Siemeradzki « Dircé chrétienne » « Police Verso »1872 III. Le nu Très présents dans les peintures académiques mais aussi présentes dans la plupart des courants historiques.  Alexandre Cabanel « La naissance de Vénus »1863 7. Le réalisme (1830-1910) I. Intro

Corneille il faut qu’Œdipe découvre la vérité tardivement. C’est donc à l’acte 4 qu’il apprend qu’il a tué Laïus et à l’acte 5 que Laïus était son père. Pour les trois autres actes, Corneille va inventer bon nombre de personnages. Il va donc inventer Dircé, sœur d’Œdipe, mais qui ignore son lien fraternel avec Œdipe. La tragédie classique ne s’occupe pas de produire du tragique. Son but c’est de faire une belle construction tragique. II. La problématique du tragique a. Le tragique antique :

lourdement de malheurs le héros Œdipe. b) Pièces modernes * Œdipe de Corneille Dans cette pièce de 1659, Corneille avoue avoir pris une autre route que les auteurs grecs. Œdipe est roi de Thèbes et craint que l’ont lui vole le trône. En effet, Dircé, la fille de Laïos, le considère comme un usurpateur de son pouvoir et une rumeur prétend que le fils de Laïos est en vie ce qui inquiète Œdipe. A la fin, Œdipe apprend la vérité et Jocaste se suicide mais Corneille n’a pas repris la mutilation d’Œdipe

l’histoire ». Dans la pièce de Corneille « Œdipe » écrite en 1659, Corneille donne un rôle de personne qui veut garder le trône par tous les moyens, la tragédie de corneille est plus un drame politique qu’une tragédie familiale comme l’Œdipe original. Dircé, fille de Laïos et de Jocaste, prend Œdipe pour un étranger et le méprise, de plus elle ne veut épouser que Thésée (seul époux digne de sa gloire) et refuse tous les prétendants que lui amène le roi de Thèbes. Dans la pièce de Voltaire « Œdipe » c’est

où se situe le rapprochement possible entre justice et vengeance : nous sommes en présence de deux modalités de l’exigence d’expiation. Leur point commun, c’est le châtiment : à un mal subi, on répond par un mal infligé. Le châtiment de la reine Dircé attachée à un taureau mosaïque romaine Cependant le premier présupposé du sujet est que la justice n’est pas la vengeance. S’il y a parenté entre elles, il n’y a pas identité. La justice se distingue spécifiquement de la vengeance. Une étape du

DIONYSOS Me voici venu ici, au pays des Thébains, moi, fils de Zeus, Dionysos, qu’a enfanté jadis la fille de Cadmos, Sémélé, accouchée par la foudre qu’arment les éclairs. J’ai changé ma forme divine pour celle d’un mortel et j’arrive à la fontaine de Dircé et au fleuve d’Isménos. Je vois le tombeau de ma mère foudroyée, ici, près du palais, les ruines encore fumantes de sa demeure, et la flamme toujours vivante du feu divin. Immortelle vengeance d’Héra contre ma mère ! Je bénis Cadmos de rendre ce lieu

désarticulé par l’ivresse et le sommeil. RHODES Outre le goût du gigantisme (Colosse en bronze de 35 m ( ?) de haut), l’île de Rhodes développe une sculpture expressionniste proche de celle de Pergame en mettant en scène, par exemple : - Le supplice de Dircé (cf. le Taureau Farnèse à Naples – voyage latinistes diois 2011), groupe complexe de personnages entrelacés. - Le groupe de Laocoon et ses enfants étouffés par des serpents (vers 75 après J.-C.), aux visages tragiques, veines et muscles gonflés, prêts

faiblement humain, ce que Médée est intensément, passionnellement, monstrueusement, comme si la princesse devenait le pendant humain et sensible de l’héroïque inhumanité de Médée. Par contraste, Cherubini atténuera à nouveau l’intrigue amoureuse, et Dircé (fille de Créon dans la version originale) n’apparaît guère ; le personnage de Médée, la transformation du personnage sous le coup des humiliations, sa cruauté, la feinte, et ses hésitations infanticides (Acte II, n°14, air de l’hésitation et n°15