Diré

plusieurs dissertation et un peu rabibochée par mes soins) Penser c'est dire non de Alain Première chose a faire est de donner la signification de penser : penser, c'est appliquer l'activité de son esprit aux éléments de la connaissance ; c'est exercer, avec justesse, une activité consciente, de manière à élucider le sens des choses et du réel. Il est nécessaire, d'autre part, d'approfondir l'expression « dire non » et, au-delà du « non » de simple rejet (celui de l'enfant, par exemple

est posée dès la première phrase : penser, c'est dire non. Sans ambiguité, Alain définit le sens du mot penser. Il continue par une observation, analogie où il compare l'endormissement à l'acquiessement, le réveil à la dénégation. Métaphoriquement, le non est ainsi doté d'une valeur plus positive que le oui, comme si le non était l'éveil de la pensée. Dire non, certes, mais non à quoi ? Alain précise sa thèse : la pensée dit non à la pensée. Dire non, c'est affronter avec sa pensée sa propre pensée

trace un monde crée par un Dieu, un esprit éternel, c’est-à dire hors du temps. En ce sens, c’est donc l’esprit, en latin spiritus, signifiant le souffle, qui est à l’origine du monde. Si nos corps ne sont que souffle, ce qui les constitue sont-ils seulement l’image de notre esprit comme l’homme est l’image d’un Dieu? Cela remet pourtant en question nos instincts, qui veulent que nous nous fions à nos propres sens. Logiquement, comment dire que ce que je touche et vois, n’existe réellement pas. N’avons-nous

Suffit-il de dire « je » pour être conscient de soi ? Être conscient de soi suppose tout d’abord d’avoir conscience, mais alors qu’est-ce que la conscience ? Premièrement l’étymologie du mot, nous apprend que la conscience vient du latin « conscientia » composé de « Cum » et « scire » qui signifie « avec » « savoir ». Ce terme en français est un peu ambigu. La conscience peut se définir comme la connaissance qu’à l’homme de ses pensées, de ses sentiments, et de ses actes. On peut donc déduire

Faut-il toujours dire la vérité ? La vérité est un sujet sur lequel les philosophes et penseurs se penchent depuis bien longtemps. Comment définir la vérité et le mensonge et est-il toujours important de dire la vérité ? Ce sont là des questions importantes que beaucoup de philosophes se posent. Le mensonge selon Rousseau, dans  Les rêveries du promeneur solitair e, n’est justifié que lors du rare cas où l’intention de nuire en quelque manière à quoiqu’onques

Les mots pour le dire de Marie Cardinal Edition : Grasset 344 Pages Née le 3 Mars 1928 à Alger -Décédée le 9 mai 2001 Mariée, elle a eu trois enfants Professeur de philosophie Genre Roman autobiographique de 1975, retraçant la vie d'une femme, Marie, âgée d'une trentaine d'année, issue d'un milieu socio économique bourgeois et d'une écucation religieuse stricte. L'auteur raconte ici son combat contre la maladie

divergente n’est techniquement pas possible. La science malgre la grande connaissance qu’elle implique d’avoir nous permet de prononce le terme verite mais est elle irréfutable. Ce qui nous amené a nous poser la question suivent la verite est elle bonne a dire en tout circonstance malgre la possible qu’elle sois refute ? Notre raisonnement questionera tout d’abord, a partir de quelle moment la verite deviens

Est-il juste de dire que Donalda Laloge, dans l’extrait « Il faut ménager » et Blanche Varieur, dans l’extrait « L’Acayenne », sont des personnages qui correspondent à l’idéal féminin préconisé dans la littérature du terroir ? L’écrivain Claude-Henri Grignon et la romancière Germaine Guèvremont sont connus pour avoir rédigé des œuvres qui ont marqué la littérature québécoise et on montre la triste réalité des femmes qui vivent en compagne entre 1845 et 1945. Les deux écrivains vont présenter

« Féminin » c'est à dire ? Tout d'abord la thématique principale de cette dissertation est le mot féminin. Il signifie tous ce qui se rapporte à la femme. Par conséquent est féminin tous ce qui est en liant avec la femme. On peut alors se demander quel sens donner à se mot. Nous verrons dans un premier temps le mot féminin avec la nature de la femme. Puis dans un second temps le mot féminin avec la culture de la femme.  Il y a ce qui existe et fonctionne indépendamment de notre vouloir, par

le théâtre comme « une variation sonore du langage ». En effet, la parole au théâtre est aussi littéraire qu'orale, elle est écrite par l'auteur pour être jouée par un comédien et entendue par des spectateurs. Ainsi, la parole ne fait pas que « dire » ; la tonalité de la voix, le rythme des phrases ou des vers (dans Oh les beaux jours de Beckett, chaque pause dans le discours de Winnie et marquée par l'auteur dans le texte, qui précise même sa longueur), la sonorité des mots, les rimes constituent