Direction centrale de la sécurité des systèmes d'information

LE REFERENTIEL Edition 2011 DES EMPLOIS DE LA DEFENSE (REDEF) Février 2011 Service de la politique générale de ressources humaines militaires et civiles > Sous-direction du pilotage des ressources humaines Service de la politique générale de ressources humaines militaires et civiles militaires et civiles > Sous-direction du pilotage des ressources humaines militaires et civiles >Bureau de la politique générale, prévisions, compétences et formation SOMMAIRE PREAMBULE PRINCIPES & OBJECTIFS

NOM: BELEI PRENON: JUNIOR ROCKFELLER NOM DE L'ENTREPRISE: DDCSPP (Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations) ADRESSE DE L'ENTREPRISE: 15 avenue de Cucillé CS 90 000 35919 RENNES CEDEX 9 Téléphone : 02 99 59 89 17 DATE DE LA SEQUENCE D'OBSERVATION 11, 12,13 Janvier 2012 Je m' appelle Belei Junior, je suis élève en classe de Troisième D au collège Immaculée Jean Paul II, J'ai choisi d'effectuer mon stage au service informatique

........................................................... 5 3. DÉFINITION DU SYSTÈME D’INFORMATION .................................................................. 6 4. APPORT DU SYSTÈME D’INFORMATION DANS L’APPROCHE PAR LES RISQUES ........................... 7 5. LA NOTION DE RISQUE D’AUDIT .............................................................................. 8 6. L’IMPACT DU SYSTÈME D’INFORMATION DANS L’APPRÉCIATION DU RISQUE D’AUDIT ................ 9 7. L’AUDIT SI, UNE ÉTAPE

par un réseau d’institutions différentes telles que les banques à statut commercial ,les banques d’affaires et les institutions ffinancières spécialisées qui agissent sous le controle d’autorités de tutelle,parmi lesquelles fagurent les banques centrales Sommaire Premiere Partie Présentation de l’entreprise et déroulement du stage Présentation du groupe banques populaires : Historique : Les premières banques populaires ont vu le jour en 1850 en Allemagne et en Italie, et un peu plus

............................................................. 13 A. Structure de propriété ........................................................................ B. Plan d'exploitation, systèmes de contrôle et organisation interne ..... C. Compétence et honorabilité des administrateurs et de la direction générale ............................................................................................. D. Adéquation des ressources financières prévues, y compris des fonds propres .........

raison de risques de rejets radioactifs importants. Endommagement grave de l'installation nucléaire entraînant le relâchement de grandes quantités de radioéléments dans l'installation. Exemple : accidents survenus à la centrale américaine de Three Mile Island en 1979 et à la centrale britannique de Windscale en 1957. Niveau 6 Accident grave entraînant de très importants rejets radioactifs à l'extérieur (une part significative de la radioactivité contenue dans un cœur de réacteur). Exemple : installations

STRATÉGIE POUR LA MODERNISATION DE L’INFRASTRUCTURE DU SYSTÈME DE PAIEMENT EN RÉPUBLIQUE DE GUINÉE La qualité du système de paiement d’un pays (ou d’une union monétaire et économique) est un bon indicateur du fonctionnement d’une économie. Elle est aussi un élément d’appréciation de sa crédibilité et de sa transparence. Les progrès constatés en matière d’intermédiation bancaire, le développement des institutions et la concurrence qui régissent le marché financier ont favorisé l’évolution

En janvier 1997, l’organisation du marché boursier s’est améliorée avec la promulgation de la loi n°34-96 modifiant et complétant le dahir portant loi n°1-93-211 relatif à la Bourse des Valeurs et la mise en place en octobre 1998 du dépositaire central, Maroclear, institué par la promulgation de la loi n°35-96. Depuis cette date, la Bourse de Casablanca vit une seconde jeunesse. En 2000, la Société de la Bourse des Valeurs de Casablanca «SBVC» a changé de dénomination pour devenir Bourse de Casablanca

Pilotage de la chaîne logistique Intro : La logistique peut-être définie comme l’ensemble des problématiques des méthodes et des activités qui concourent à la maîtrise et à la coordination des flux physiques, des services et d’information pour la satisfaction du client final, à partir de matières premières en minimisant la consommation des ressources utilisées. Matières premières et client final sont relatifs au Mayon de la chaîne sur lequel porte l’analyse. On peut distinguer : les flux

Synthèse CI Activités de contrôle Objectif : prévenir et détecter les erreurs, défaillances et fraudes Processus : analyser l’environnement de contrôle → évaluer les risques → implantation des activités de contrôle par la direction (mais tout le monde participe) Principes directeurs : Activités de contrôle doivent être liées aux objectifs de l’entreprise et servir à minimiser l’impact et les probabilités des risques (car les risques sont créés selon la nature des activités de l’entreprise