Dirigisme

se caractérise par l'apparition des premiers signes de décollage : aménagement de l'infrastructure et entrées massives de capitaux étrangers. L'auteur montre que la politique générale a été marquée par un fort libéralisme teinté d'un embryon de dirigisme. Cet interventionnisme est d'ailleurs en partie imposé par le statut du Maroc sur le plan international. C'est ainsi que la création de l'Office chérifien des Phosphates (O.C.P.) ou du Bureau des Recherches pétrolières et minières (B.R.P.M.) est

la mondialisation, séduits par son charme, veulent s’approprier de ces chiffres inévitablement captivant et de ce succès. Cependant, pour l’Asie, il ne s’agit pas d’une conséquence directe de la mondialisation libérale, mais plutôt d’un certain dirigisme étatique et d’un certain protectionnisme réel et pour l’Afrique, il s’agit d’un résultant du coût concurrentiel de sa main d’œuvre et des certaines bonnes politiques (pour l’Afrique, on peut partager le succès) qui se mettent progressivement en place

production (richesses). * Contexte politique : un certain dirigisme étatique Le dirigisme de l’Etat correspond à des lois qui restreignent la liberté économique (17e-18e). * Lois d’apprentissage anglaises (7 années pour n’importe quel métier). * Monopole attribués aux grandes compagnies anglaises (colonies). * Mesures protectionnistes pour protéger le marché intérieur de la concurrence des compagnies anglaises. * Dirigisme de la consommation. * Protectionnisme commercial systématique

serait-il pas choquant de forcer les gens à voter ? - S’agissant d’une question pareille, ne serait-il pas choquant qu’il y ait des gens qui ne votent pas ? - En somme, vous voulez forcer les gens à faire ce qui est bon pour eux ? Ça s’appelle du dirigisme. - Dans l’isoloir, ils auront la liberté de s’abstenir. Richter menaça de démissionner si le référendum n’était pas obligatoire. On fut tenté de le prendre au mot, mais l’idée des semaines qu’ils avaient consacrées à cette affaire découragea les

une doctrine appelée Marxisme/Léninisme qui donne tout pouvoir à un parti unique avec gestion totalitaire dont le rôle est l’encadrement très stricte de la société, sur l’éducation des citoyens pour former des nouveaux communistes, fondée sur le dirigisme de l’économie et l’abolition des propriétés privés. Ce système doit offrir à tous l’égalité conduisant à une société sans classe. Tous ces antagonismes donnent naissance à la Guerre Froide. I) Le Modèle Américain A) Une interprétation de la démocratie

qui doit aboutir sur une société sans classe sociales. Le modèle soviétique place le communisme au cœur de la démocratie, c’est un système politique, économique et social qui se fonde sur la propriété collective d’où le fait que le modèle prône le dirigisme de l’économie et l’abolition des propriétés privés pour la collectivisation. Dans ce modèle, les pouvoirs ne sont pas détenues par une seule personne, il s’agit d’une direction collégiale. Le modèle soviétique est donc en contradiction avec le modèle

tels que l’Etat paye les industries avec des avoirs fiscaux ou des bons du Trésor. Le taux d’inflation reste donc modéré mais un tel fonctionnement n’est pas durable. Virage vers la préparation eco de la guerre en 36 : « plan de quatre ans » = dirigisme étatique, l’industrie privée et ses compétences sont mises au service d’un objectif collectif décidé par le parti. Cette collaboration directe entre l’Etat et le patronat est une conséquence de l’effondrement du sys libéral et de la foi en l‘eco

* Protection de la couverture/au gaspillage * Protection du bien-être collectif/au bien-être individualiste Une autre voie de réforme serait, peut être envisageable par l’instauration d’une économie solidaire. Cette dernière, émancipée du dirigisme étatique, constituerait un nouveau secteur producteur de lien social, d’identité, d’échanges, articulés entre une économie marchande et non marchande. Pour Pierre Rosanvallon, la crise de l’Etat-providence se situe à trois niveaux « ceux du financement

libéralisme est une doctrine favorable à la libre entreprise, à la libre concurrence et à la liberté individuelle. Cette doctrine suppose l’absence d’intervention de l’Etat dans le libre jeu des mécanismes de l’économie et s’oppose au socialisme, au dirigisme et au collectivisme. 2/ Son évolution historique : C’est en France que l’on a vu se développer au début du 18ème siècle les contributions les plus importantes à cette doctrine économique. En s’appuyant sur la théorie des droits naturels, des

« faible » influence : GEORGE VI roi de GB et d’Irlande de 1936 à sa mort en 1952. - CHURCHILL renversé par les travaillistes (le Labour) de Clement ATTLEE en 1945 jusqu’en 1951 : énorme succès électoral de la « gauche » britannique. - essor du dirigisme économique et politique keynésienne. - expansion du Welfare State = État Providence basé sur - les nationalisations : Banque, énergie, industrie - la sécurité sociale et les allocations familiales (National Insurance Act 1946) - l’aide médicale