Disco

tous les centres urbains, et même en banlieue, mais ces milieux n’étaient courtisés qu’à moitié par les annonceurs. Certains de ces mouvements étaient jugés moins faciles à vendre à la masse que les mouvements culturels déjà prédominants comme la disco ou le heavy metal ; d’autres étaient jugés trop précoces, et encore impossibles à faire accepter au grand public. En tous les cas, pour différentes raisons, personne ne s’intéressait encore à ce qui faisait « tiquer » les jeunes acheteurs. Mais à

inquisitoriaux ou poétiques. La techno est rejetée sur les marges. Elle y fonde ses assises et y plonge ses racines. Les premiers DJ ont œuvré au gré d’un réseau d’influences puisées dans le vieux fonds de la mémoire collective : jazz, rock, rhythm’n’blues, disco surtout. Le mouvement lancinant des machines s’étant tu, chacun sentit comme un vide envahir Detroit. S’imposa alors le principe d’une structure en boucles bien cadencées pour célébrer aussi cette libération de l’homme de sa chaîne de travail - au

indienne : kathak classique, danse de courtisanes tawaif, bharata natyam, Bhangra et danse folklorique. Dans les films les plus récents, la chorégraphie a largement évolué maintenant les danses traditionnels font place a des danses modernes occidentales (disco, salsa, Hip Hop, Break Dance). Les chorégraphes sont eux-aussi très prisés tels Saroj Khan, Farah Khan ou encore Prabhu Deva, Shiamak Davar, Ganesh Hegde Bosco et Caesar et le succès d'un film dépend souvent de leur seule présence. Le héros ou l'héroïne

King à travers ses marches pour la paix. Arrive par la suite, un genre indissociable de la Soul : Le Funk qui évoluera dans les années 1970-1980. Dans un premier temps, ignorée des blancs, le Funk parvient finalement à les touchés surtout grâce au disco dans la seconde moitié des années 70.     Dans ce nouveau genre de musique, le sujet abordé n’est plus la « lutte raciale » mais la « lutte sociale » ce n’est plus blancs contre noirs mais riches contre pauvres. Les chanteurs se battent dorénavant

succès. Elle a vu le jour en 2001 sous les auspices de l'agence J. Walter Thompson. En vedette, à la télévision, des animaux-jouets (un gorille, un chien, un taureau, une panthère) s'animent sous l'effet de la boisson, au rythme endiablé du célèbre disco de Patrick Hernandez,Born to be alive.Avec cette métamorphose, la marque cherche à séduire les jeunes adultes.« Il fallait la rendre attractive auprès des 18-28 ans, avec une communication plus moderne, plus fun »,explique Patrick Lecercle, directeur

évidement de la musique latine (salsa, cumbia, merengue, bachata…), a minuit un groupe vient chanter pendant environ une heure et ensuite venait la musique un peu plus mouvementée mais toujours dans le tempo du pays. J’ai pu voir ceci dans plusieurs discos et j’ai même eu la chance d’apprendre à danser. Comme ma cousine Lorena, venait de finir le lycée, une fête de fin d’année afin de graduer les élèves du lycée était au programme et toutes les familles y étaient conviées (un peu comme aux États-Unis)

les reflets or de talons aiguilles, un sac-à-main d’une blancheur éclatante, etc. Le tout formant comme une courbe sinusoïdale, reprise par la série de fleurs de lys surmontant les barres métalliques du grillage. A noter la réflexion d’une boule disco tapissant le dessus du sas et, plus subtile encore, la myriade de mégots, paquets de cigarettes et autres déchets qui –sordides paillettes– jonchent le sol de cette devanture animée. Mais, que représente, au juste, cette parade étrangement anodine

Maman Bobo créée en 1981. Il est alors en couverture des magazines, le symbole du Nouveau Père, plus fragile et plus conscient de sa part de féminité. Et déjà la mélancolie avec Y'a de la rumba dans l'air qui, entre émergence du punk et l'apogée du disco, apporte un vent de douceur acidulée et fait un gros succès. Il entame une tournée qui l'amène à être en première partie de Jean-Jacques Debout (Olympia), Antoine et Thierry Le Luron. En 1978, naît son second fils, Charles. Ce dernier, après une carrière

En 1989, Casino devient partenaire des groupes Ahold (Pays-Bas) et Argyll (Grande-Bretagne). En 1996, Casino intensifie son développement en Asie via un partenariat avec Dairy Farm. En 1997, Casino prend une participation de 50 % dans le groupe Disco pour l’exploitation d’hypermarchés en Uruguay. Cette même année, Casino acquiert la société Libertad implantée en Argentine et reprend les activités de « cash and carry » d’United Grocers aux Etats-Unis. En 1999, Casino devient le 2ème distributeur

tous le crâne rasé. Ils étaient le plus souvent pieds nus ou portaient des sandales pour se rebeller contre l'hygiène américaine. Ils s’habillaient avec des jeans à pattes d’éléphant (qui furent plus tard repris dans les années 70 avec l'arrivée du disco) et portaient des lunettes rondes. Ils s’inspiraient de la mode orientale et de leurs robes à fleurs. Ce sont d'abord les femmes qui commencèrent à s'habiller de cette manière, plus tard les hommes les rejoignirent. Aujourd'hui ce style est repris