Discours Aux états Généraux De 1484

de la création de la S.D.N. (Société des Nations) puis de l’O.N.U. (Organisation des Nations Unies). Mais cet espoir fut rapidement déçu, par la montée des totalitarismes de l’entre-deux-guerres puis par la Guerre froide (19471989) qui opposa les États-Unis et l’URSS. La chute du communisme et de l’URSS en Europe centrale et orientale, loin d’annoncer le triomphe généralisé de la démocratie et de la paix, a contribué à engendrer un monde plus instable, aux menaces plus diffuses dont le terrorisme

misogyne). L’homme avait le droit de vie ou de mort sur sa femme et jusqu’en 1965, la femme devait demander la permission a son mari avant de signer un chèque. Ces coutumes sont issues d’un pacte social entre les 3 ordres( noblesse, clergé et tiers états). Le deuxième élément est que la France est corporatiste, c’est adire qu’il existe des communautés de métiers, sous l’ancien régime l’individu n’existe pas. C’est par son appartenance à une corporation qu’un individu existe. Ces corporation on les

Ces privilèges datent de plusieurs siècles. Le Roi ne pourrait pas prendre des mesures qui iraient contre ces privilèges. ( Pour mieux comprendre, cf. actuellement l'impossibilité de légiférer sur la profession de taxi…) B. Les États Généraux: Les États Généraux sont une institution réunissant, pour les représenter, les trois ordres qui composent le royaume. On sait qu'il existait, jusqu'à la Révolution française, la division suivante de la société: Clergé, noblesse, et le reste qu'on appelait

secrétaire dirige un département: il apparait au milieu du 16ème, il y a un partage nécessaire au regard du nombre des affaires à traiter, une répartition géographique du département. ( ex: affaire intérieure et extérieure) Il n’y a pas de direction général, sur un problème de même nature, deux secrétaires peuvent prendre deux décisions différentes. Spécialisation: on ne supprime pas on répartit. Système mixte au 18ème, l’administration du royaume repose sur une répartition géographique et sur une répartition

Droit de vote des femmes en France : 1944 Les femmes ont le droit de vote en France depuis le décret du 21 avril 1944 du gouvernement provisoire de la République, présidé par le général De Gaulle. Ce droit de vote aux femmes intervient près de cent ans après l'instauration du suffrage universel masculin, en 1848. La France n'accorde le droit de vote aux femmes qu'à la fin de Seconde Guerre mondiale alors qu'elles pouvaient déjà voter dans de nombreux pays : en Allemagne dès 1919, en Espagne, en

titre qui correspond à l’idée globale pour chacune d’entre elles. Généralement, si les choses sont bien faites, et comme elles le sont, les deux premières parties peuvent être associées sous une partie plus générale à laquelle on donne un titre. Ce titre doit correspondre à la pensée générale qui ressort de l’association des deux sous-parties. La même tâche doit être accomplie pour les deux autres découpages. On obtient ainsi un plan linéaire en deux parties, avec chacune deux sous-parties. Autre

selon l’historienne Régine Pernoud. Ce droit a été supprimé par un décret du Parlement en 1498 Dès les premiers États généraux convoqués par Philippe le Bel en 1302, les femmes étaient convoquées. Elles le furent pour tous les Etats généraux suivants (par exemple ceux de 1484 convoqués par Anne de Beaujeu, fille de Louis XI, pendant la minorité de Charles VIII jusqu'aux Etats généraux de 1789, où les femmes propriétaires de fiefs furent contraintes de se faire représenter par un homme (noble ou clergé)

de revoltes contre le roi Louis XI 1476 Louis Le Temeraire est battu a Morat par les suises Janvier 1477 Le corps de Louis Le Temeraire est trouvé ce qui signifie la victoire de Louis XI 1484 Charles VIII, heritier de la couronne, a cause de son age, son sœur Anne est regente, elle convoque aux Etats Generaux pour faire voter les credits necessaires au gouvernement d’un Etat plus moderne. 1491 Anne marie son frere le Dauphin avec la duchesse Anne de Bretagne, ca signifie la addition de Bretagne

soutien de ses évêques, des seigneurs, de la bourgeoisie etc. PREMIERS ETATS-GENERAUX : En avril 1302, il convoque les représentants du clergé, les représentants de la noblesse et les représentants de la bourgeoisie. Il convoque les Etats-généraux. Les Etats-généraux sont les représentants de ce que l’on appellera plus tard la nation. Avant que ne s’ouvre cette assemblée, le chancelier (Pierre Flotte) prononce un discours qui a pour but « d’enfoncer le clou ». Il rappelle que le roi de France

associent la notion de respublica. C’est l’ensemble des affaires, des institutions qui appartiennent au peuple qui doit participer à la gestion mais dont personne n’est individuellement propriétaire. L’Etat va s’incarner, l’Etat est un pouvoir abstrait général et la respublica est permanente, invariable, même si ceux qui exercent le pouvoir changent. Cette théorie, cette évolution va rendre possible la division entre autorité politique et administration exécutante. Le pouvoir politique cesse d’être figé