Discours de haine

comme étant indifférent au départ des blancs. Au moment de ce départ, il prononce un discours violent divisé en deux parties : dans la première il s'adresse tout d'abord aux tahitiens puis dans la deuxième il s'adresse directement à Bougainville. Dans ce texte, Diderot souligne l'opposition entre deux nations, les qualités des tahitiens devant les défauts de la culture blanche. Nous verrons en quoi ce discours présentent les méfaits de la civilisation, fait un éloge de la vie naturelle et sur

caractère antinaturel ainsi que l'hypocrisie et la liberté des moeurs tahitiens. Pourquoi un discours persuasif en faisant la critique des européens et l'éloge des tahitiens ? Le vieillard étant l'homme le plus âgé de son peuple, il est le porte parole et parle en leur nom. Le pouvoir s'exerce par la parole, c'est pourquoi le tahitien cherche à convaincre l'européen de partir. Les premiers mots du discours du vieillard sont, d'accuser Bougainville d'être le "chef des brigands". Cette violente apostrophe

skinheads. Au départ réticent, il se laisse quand même influencer pour les beaux yeux de Betty et devient skinhead à son tour. Ses professeurs alarmés par son comportement, décident de faire témoigner un ancien déporté, Monsieur Brodky. Lors de son discours, Serge ne trouve pas d’autre idée que de se lever sur sa chaise et d’exhiber une croix gammée imprimée sur son tee-shirt. S’ensuit un choc de monsieur Brodky et du professeur. Indignés, ils cherchent une solution et convoquent son père qui décide

publiques et va jusqu'à fréquenter les milieux négationnistes, faisant notamment monter sur scène Robert Faurisson lors de l'un de ses spectacles. Il connaît de nombreux procès, dont plusieurs se soldent par des condamnations pour incitation à la haine raciale. Fin 2013-début 2014, l'un de ses one-man-shows est l'occasion d'un bras de fer particulièrement médiatisé avec l'exécutif socialiste : finalement, une ordonnance du Conseil d'État valide l'interdiction du spectacle. Dieudonné est, dans les

1- Un pastiche parodique de la fable de La Fontaine. a) reprise du même schéma narratif :- les mêmes personnages- discours directs du chêne puis du roseau- élément perturbateur : le vent- mort du chêne. b) Des références a la fable de La Fontaine mais pour la remettre en cause : vers 2, « cette fable » renvoie a la fable de La Fontaine, mais la question rhétorique prouve que le chêne conteste cette fable ; vers 3, terme péjoratif « détestable », vers 5 « plier, plier toujours » : la répétition

Extrait étudié : Acte II, scène 5 de Phèdre « PHÈDRE  Et sur quoi jugez-vous que j'en perds la mémoire,  Prince ? Aurais-je perdu tout le soin de ma gloire ? HIPPOLYTE  Madame, pardonnez. J'avoue, en rougissant,  Que j'accusais à tort un discours innocent.  Ma honte ne peut plus soutenir votre vue ;  Et je vais... PHÈDRE  Ah ! cruel, tu m'as trop entendue.  Je t'en ai dit assez pour te tirer d'erreur.  Hé bien ! connais donc Phèdre et toute sa fureur.  J'aime. Ne pense pas qu'au moment

Voltaire, Traité sur la tolérance (1763) L’intolérance est dénoncée dans ce texte non sous forme narrative (comme dans Candide), ou théorique (Dictionnaire philosophique) mais sous forme d’une prière adressée à Dieu. Ce texte est ainsi un discours solennel, qui fait appel au raisonnement du lecteur mais joue également, surtout, sur ses sentiments : le registre pathétique met en valeur la faiblesse de la condition humaine et donne une image très négative de l’homme. La prière à dieu n’est

intersubjectives. Au contraire, nous avons montré que nous devons y voire l’impossibilité d’une complétude entre les hommes qui mettrait définitivement fin au désir. La diversité des relations humaines, de désir, d’amour, de langage mais aussi d’indifférence, de haine, de sadisme ou de masochisme, est rendue possible par le manque primordial au fondement de la réalité humaine, qu’aucun absolu ne saurait achever dans la plénitude d’un être parménidien. Lorsque Levinas parle d’une inadéquation fondamentale du couple

Le barbier et Schultz s’échappent du camp, et au cours d’un quiproquo, le barbier, qui ressemble trait pour trait à Hynkel, prend la place du dictateur et prononce un discours qui fait l’éloge de la démocratie et de la tolérance. Le film se clôt sur ce discours en contradiction avec les idées politiques d’Hitler. Contexte Historique Chaplin a lancé son projet en 1938 après la lecture d’un livre intitulé Les juifs vous

Q.F.D » (M, p. 44).  Avant la parole, il se passe sans doute quelque chose, des jouissances ineffables aux souffrances indicibles. Aucun langage jamais ne communiquera l'horreur de ces dernières. Seul le cri fera-t-il peut-être allusion. Aucun discours ne restituera les premières, et l'homme sera condamné à les rechercher, vainement, parmi les ronces et les épines, en labeur sans fin, d'espoir désespéré. La parole coupe l'homme de son premier passé. La parole est le meurtre de la chose, la parole