Discours De Mitterand

sous-secrétaire d’Etat dans le dernier gouvernement de la IIIe République. Il s’envole pour Londres en juin 1940, et prétend incarner UNE AUTRE LEGITIMITE que celle de Pétain, basée sur la résistance à l’envahisseur. Il récuse l’armistice et la collaboration [discours du 18 juin à la BBC] Il espère réunir l’Empire colonial français autour de lui et reconquérir le pays avec l’aide des Alliés. Son gouvernement n’a cependant aucune légitimité, et la France libre n’est reconnue comme le vrai gouvernement de la France

continuer à fleurir la tombe de Pétain jusqu’en 1981. On différencie désormais nazi et allemand. En 1992, Mitterand assiste à une commémoration de la Rafle mais ne reconnaît toujours pas la collaboration de l’Etat. L’arrivée de Jacques Chirac en 1995 va mettre les choses au point. Ce président reconnaît la collaboration et parle pour la première fois de génocide et de déportation lors d’un discours en juillet 1995. La mémoire de la résistance reste toujours un sujet sensible. En 2007, Nicolas Sarkosy

électoral. Il faut un président de la république pas seulement élu par le parlement mais pas un collège élargi. Débat sur cette question : Léon BLUM en réagissant au discours du G de G dit que dans le système de De G, le président de la république doit être élu par un SUD. Le collège électoral va être retenu pour trois raisons (dans un discours de M DEBRE aussi) : * le G de G a peur d'un nouveau régime plébiscitaire. * président de la république aussi président de la communauté : mais problème car il faut

DM d'Histoire « Les Pacifistes sont à l'Ouest, mais les missiles eux, ils sont à l'Est » écrivait François Mitterand à propos de la Guerre froide. Cette citation traduit bien les conflictualités qui régnait lors de cet affrontement indirect entre l'URSS et les États-Unis car plus idéologique que militaire. De 1947 à 1991, cette guerre d'idées, déclenchée par la satellisation des pays de l'Europe de l'Est par le bloc soviétique, fût une succession de nombreuses crises qui mettèrent en péril plus

rééquilibrage des pouvoirs . dans une deuxième relecture de la constitution on peut apercevoir que le véritable esprit est celui du discours de bayeux , dans les termes utilisé , dans l'odre d'apparitions dans le texte constitutionnel et l'attribution des compétences . l'esprit de la V e est le compromis des deux ; un régime parlementaire rationalisé faisant écho au discours de bayeux proclamant une république forte à domination présidentiel, redonnant des pouvoirs au citoyen tel est l'esprit initial

(Elle s’est scindée en deux orientations : L’argumentation, qui vise essentiellement à convaincre et la stylistique (les figures de styles) qui vise à séduire. (La rhétorique contemporaine a élargi le champ de la rhétorique à toutes les forme de discours qui, explicitement ou nous, visent à influencer un auditoire. ( Avant de nous plonger parmi les procédés qu’utilisent les hommes politiques, orateurs, pour convaincre, séduire et influencer leur auditoire, nous allons retourner à l’époque de l’antiquité

reconstruire la France, croit idée États-Unis d'Europe si France reconnaît à l'Allemagne égalité des droits. Schumann = président du Conseil puis ministre affaires étrangères. - création de la Communauté Européenne du Charbon et de l'Acier (CECA) en 1951. discours du 9 mai 1950. objectif = réconcilier France et Allemagne et stimuler les échanges. 1ère structure supranationale. 6 pays : Benelux, France, Allemagne et Italie. - échec tentative d'ouvrir union naissante à d'autres domaines de compétences (=approfondissement)

d'énonciation, prenant en premier lieu comme référence spatiale que le personnage-énonciateur puisqu'il est seul à construire les différents espaces à travers son énoncé, ce qui rend l'analyse plus délimitée et plus précise. Si l'on se réfère à Henri Mittérand, le récit construit son propre espace et se fonde sur sa localisation pour produire l'illusion du réel; ainsi il offre au lecteur des repères spatiaux se référant toutefois à la réalité pour obtenir son adhésion. C'est ce qu'il appelle la narraticité

sauvage dans les représentations européennes, discursives ou picturales, ce qui permet d’introduire la question de l’argumentation et la fonction argumentative de l’éloge et du blâme. Il s’agit de comprendre, reconnaître, analyser et pratiquer le discours argumentatif dans sa double dimension, rationnelle et affective. Mais il s’agit aussi de donner aux élèves des connaissances précises sur le débat d’idées qui se tient depuis le 16ème siècle sur la notion d’altérité, et les moyens d’exprimer à leur

1830, qui constituait 3 départements français et où vivaient près d’un million d’Européens. «L’Algérie c’est la France[…] Et qui d’entre vous Mesdames et Messieurs hésiterait à employer tous le moyen pour préserver la France ?[2] » dira en effet Mitterand le ministre de l’Intérieur, après la révolte du 1 novembre 1954 qui a marqué le début de la guerre. Cette pensée largement partagé au début du combat avec le sentiment de mauvaise conscience après la fin de la guerre, pour les uns à cause de l’abandon