Discours De Tarrou

dans la pièce, un rôle conforme à ces penchants. Caligula et le cycle de l'Absurde Caligula apparaît pour la première fois dans les Carnets de Camus à la date de «janvier 1937 » .• Caligula ou le sens de la mort. 4 Actes I — a) Son accession. Joie. Discours vertueux (Cf. Suétone) b) Miroir II. — a) Ses sœurs et Drusilla Préface 13 b) Mépris des grands c) Mort de Drusilla. Fuite de Caligula III. Fin : Caligula apparaît en ouvrant le rideau : Non, Caligula n'est pas mort. Il est là, et là. Il est en

modelul jurnalului). În tehnica romanului epistolar, scrisoarea ‚îşi pierde autononia şi se subordonează unei structuri mai întinse – povestirea (récit), intrând chiar cu sensul citatului, devenind un adjuvant al naraţiei (cf. G. Genette – Nouveau discours du récit, Seuil, 1983), Ca observaţie tehnică, scrisoarea inserată în roman are un statut discursiv diferit de al romanulu iepistolar propriu-zis: există deci romane cu scrisori şi romane epistolare (ea devine o strategie a ficţiunii care vizează

= Carnets (janvier 1942-mars 1951). Paris, Gallimard, 1964. Cal = Caligula, I. Ch = La Chute, I. Ci = Un cas intéressant, I. Co = Article du journal Combat, II. Dc = La Dévotion à la croix, I. DHR = La Défense de l'Homme révolté, II. DS = Discours de Suède, II. E = L'Eté, II. EE = L'Envers et l'endroit, II. ER = L'Exil et le royaume, I. ES = L'État de siège, I. Esp = Les Esprits, I. Etr = L'Étranger, I. HR = L'Homme révolté, II. Int. = Interview, I ou II. J = Les justes, I. LAA

1942). Paris, Gallimard, 1962. = Carnets (janvier 1942-mars 1951). Paris, Gallimard, 1964. = Caligula, I. = La Chute, I. = Un cas intéressant, I. = Article du journal Combat, II. = La Dévotion à la croix, I. = La Défense de l'Homme révolté, II. = Discours de Suède, II. = L'Eté, II. = L'Envers et l'endroit, II. = L'Exil et le royaume, I. II AI A II A III AR CI C II Cal Ch Ci Co Dc DHR DS E EE ER Marcel J. Mélançon, Albert Camus. Analyse de sa pensée (1976) 19 ES Esp Etr HR Int. J LAA

révolter contre lui et, en le tuant, à retrouver leur liberté. Car il existe un contrepoids à l'absurdité de la vie : la fraternité des hommes. Mais cette fraternité que Camus illustre dans La Peste, en faisant le récit du combat du docteur Rieux et de Tarrou contre l'épidémie, quelle est-elle ? Existe-t-elle vraiment quelque part ? Ces questions hantent l'esprit de Camus durant les dernières années de sa vie. Aussi en arrive-t-il à confier qu'il se sent dépassé par sa propre œuvre, et qu'il est incapable