Discours De Tarrou

Présente dans 1ère partie dans un texte ds lequel domine le discours indirect libre (ex nombreux : citer 2 ou 3 passages ) et déclenchée par l’aumônier : Lire la conversation qui précède avec l’aumônier qui porte sur la croyance en Dieu et le fait de n’avoir aucun espoir d’une vie après la mort qd on ne croit pas en Dieu. Ce que Pascal appelle la Misère de l’homme sans Dieu.. - Lexique de la colère à relever + phrase qui clôture ce discours : « J’étouffais en criant tout ceci » qui marque l’intensité

| | |« flamme de la vengeance et de la révolte » | | >> tout le discours de Dora va en faveur de cette pause égoïste, et dépeint l’amour du peuple comme froid et à sens unique. Dora se laisse aller et on assiste réellement à : 3) un élan vers l’amour : Dora ✓ On l’a vu : c’est Dora qui parle le plus dans cette

toujours par la fenêtre » à « bien faire son métier » (chapitre 5). Introduction : -(voir précédente LA pour la présentation générale) -aux chapitres précédents, Camus a fait entrer en scène plusieurs personnages + une voix narratrice (le journal de Tarrou). Manque le personnage principal : la peste. Le récit s’enclenche véritablement par la prononciation du mot, à la fin du chapitre 4, et au début du chapitre 5 dont est extrait notre texte. -intérêt de ce texte (problématique) : ce texte se focalise

tour des hommes de subir l’extrême cruauté de la maladie. Elle s’installe, s’incruste, envahit l’air, la terre et les corps et les englue dans son atmosphère épaisse et malsaine. De nouveaux personnages font leur entrée aux côtés de Rieux : Grand, Tarrou, Rambert, Cottard, Paneloux, chacun harnaché de son ballot d’espoirs, de doutes, de désillusions, de peines, ou de secrets. Des liens se nouent entre ces hommes séparés de leurs repères, prisonniers dans un cube virtuel aux frontières irradiées de

C’est vrai, Meursault tue un Arabe, mais cet Arabe n’est pas nommé et paraît sans histoire, et bien sûr sans père ni mère. Certes, ce sont aussi des Arabes qui meurent de la peste à Oran, mais ils ne sont pas nommés non plus, tandis que Rieux et Tarrou sont mis en avant. Et l’on doit lire les textes pour la richesse de ce qui s’y trouve, non pour ce qui en a été éventuellement exclu. Mais justement. Je voudrais souligner qu’on trouve dans les romans de Camus ce qu’on en croyait autrefois évacué :

pas les enfants dont la mort n’apportera rien à la révolution. Il y a donc l’idée que la vie humaine a une importance (l.28-29 « Yanek accepte de tuer le grand-duc […] cela déjà n’est pas facile »). -> Il y a donc une position humaniste dans le discours de Dora (l.31« Même dans la destruction, il y a un ordre, il y a des limites ») car il y a une revendication de l’importance de la vie humaine. Elle est contre l’extrême violence et fait preuve de préoccupations morales (en refusant de tuer des enfants

tragédies classiques et renforce ainsi cette idée de lutte du Bien contre le Mal. C’est un roman à argumentation indirecte, masquée derrière l’histoire. Dans l’extrait étudié est fait le portrait d’un des personnages secondaires à travers les carnets de Tarrou : le vieil asthmatique qui passe le temps en comptant les pois, allongé sur son lit. Ce personnage est un spectateur de la peste et non pas un acteur comme l’est par exemple Rieux. Cette description intervient après le prêche du père Paneloux. On

Déliquescence ce qui tombe en décadence, se décompose le cas de la ville dans La Peste Ca a d a Camus point de vue humaniste pour lui rien ne justifie le meurtre Chez Sartre d a da a Camus refus Dans La Peste le personnage de Jean Tarrou est un personnage intéressant a d ab d a a d a a d c da les activités de ce groupe révolutionnaire il doit accepter de tuer comme il refuse de tuer il d d b a , d saint laïc position : d ab d c d Sartre (Stepan) , après

Séquence : Albert Camus, la révolte et la libertéCorpus documentaireTexte 1 : Discours de Suède lors de la remise du prix nobel de littérature - 1957 Discours de Suède dédié à Louis Germain, l'instituteur de Camus, ce discours fut prononcé le 10 décembre 1957, selon la tradition, à l'Hôtel de Ville de Stockholm, à la fin du banquet qui clôturait les cérémonies de l'attribution des prix Nobel.http://www.youtube.com/watch

vie) au génie féminin. La seule chose qui est sûre c’est qu’ils disparaîtront tout les deux. (V7-8 Le temps est perçu comme un ogre, un monstre avec le verbe « dévore » v.7. IL nous prend notre joie, notre plaisir de l’existence. Quatrain 3 : Le discours devient polyphonique (à plusieurs voix), jusqu’ici c’était le poète qui parlait à l’horloge et ici l’horloge devient presque être il s'exprime à travers l’horloge, voir les v.10-11 avec les verbes « chuchote, dit ». Le v.11. « Je suis Autrefois »