Discours De Tarrou

partie « La cathédrale de notre ville...tombez à genoux » Axes: I/ L'expression de l'indifférence des oranais :a)un comportement passif b)un manque de foi II/ Le portrait du Père Paneloux: a)un étre de passion b)un homme de la mise en scène III/ Un discours habile: a)une technique oratoire habile b)la métaphore de la peste LAN3 L'agonie du petit Othon 4ème partie « le docteur serrait avec force...crucufié grotesque » Axes: I/ Une description réaliste: a)une description sensible et rigoureuse b)la

aussi raisonnable de présenter une espèce d'emprisonnement par une autre que de présenter n' importe quelle chose qui existe réellement par quelque chose qui n' existe pas. Au début , cette épigraphe est une allégorie aussi elle est une figure du discours. Ici, Camus veut présenter une espèce d'emprisonnement ; quand il y a la peste , on forme la ville . Donc, la ville est fermée. C'est une espèce d' emprisonnement. 2- Le sens littéral de ''La Peste'' : C'est la ville d' Oran enfermée mais

afin de combattre la peste. Il ne croit pas en Dieu (comme Camus). Il est toujours prêt à aider les autres. C’est le narrateur de cette histoire. Il sera confronté à beaucoup d’évènement très tristesse mais il gardera toujours son sang froid, son ami Tarrou mourra de la peste et il restera au près de lui, sa femme mourra peu de temps après. p.294 « Voilà pourquoi, sans doute, le docteur Rieux, au matin, reçut avec calme la nouvelle de la mort de sa femme. » Cottard : Il essaie de se suicide au début

quelques jours seulement, ayant dû endurer une souffrance extrême. Chapitre 2 : « La surprise des premiers temps se transforma peu à peu en panique ». Le narrateur suit désormais un nouveau personnage : il s’agit d’une sorte de journaliste, nommé Tarrou, afin d’avoir une autre version des faits. Lui aussi s’est préoccupé de la situation, mais ne s’en est pas inquiété pour autant. Il amène une nouvelle péripétie : un vieil homme a tenté de se suicider dans sa chambre, mais a été épargné par un ami

docteur croisa dans l'escalier un homme encore jeune, à la silhouette lourde, au visage massif et creusé, barré d'épais sourcils. Il l'avait rencontré, quelquefois, chez les danseurs espagnols qui habitaient le dernier étage de son immeuble. Jean Tarrou fumait une cigarette avec application en contemplant les dernières convulsions d'un rat qui crevait sur une marche, à ses pieds. Il leva sur le docteur le regard calme et un peu appuyé de ses yeux gris, lui dit bonjour et ajouta que cette apparition

par son instituteur Louis Germain qui le fait travailler d'arrache-pied et lui permet d'obtenir une bourse pour entrer au lycée. Camus lui en sera reconnaissant toute sa vie, et bien des années plus tard, un peu avant sa mort, il lui dédiera les Discours de Suède. Plus tard, il décroche un diplôme d'études supérieures en Lettres, section philosophie. C'est également à cette époque que se manifestent les premiers symptômes de la tuberculose, maladie que Camus traînera de façon chronique et qui l'affaiblira

une épidémie imaginaire à Oran . Ce fléau représente le nazisme , la guerre, mais de façon plus générale toute forme de mal contre laquelle les hommes doivent lutter. (situation du passage par rapport à ce qui précède) Le docteur Rieux ,son ami Tarrou, le journaliste Rambert , l'employé Grand , le vieux médecin Castel , et le père Paneloux , luttent tous à leur manière contre la maladie qui fait rage et se retrouvent autour du fils Othon , cas jugé désespéré. Il s'agit de sauver l'enfant en lui

en octobre 1957 " pour l'ensemble d'une œuvre qui met en lumière, avec un sérieux pénétrant les problèmes qui se posent de nos jours à la conscience des hommes". Il a alors 44 ans et est le neuvième français à l'obtenir. Il dédie quant à lui son discours à Louis germain, l'instituteur qui en CM2 lui a permis de poursuivre ses études. Il est félicité par ses pairs. Lui pourtant regrette : il aurait souhaité que cette distinction revienne à André Malraux, son aîné, qu'il considère aussi comme un maître

docteur croisa dans l'escalier un homme encore jeune, à la silhouette lourde, au visage massif et creusé, barré d'épais sourcils. Il l'avait rencontré, quelquefois, chez les danseurs espagnols qui habitaient le dernier étage de son immeuble. Jean Tarrou fumait une cigarette avec application en contemplant les dernières convulsions d'un rat qui crevait sur une marche, à ses pieds. Il leva sur le docteur le regard calme et un peu appuyé de ses yeux gris, lui dit bonjour et ajouta que cette apparition

avec la peste. Jean Tarrou : C’est un homme qui cherche la calme interne. Il se trouve par hasard dans la ville. Il aide Rieux. Quand il était un enfant, il ne pouvait pas supporter le travail de son père comme un juge qui envoyait les hommes à la mort. Jean meurt de la peste. Jean Rambert : C’est un journaliste de Paris. Quand la peste arrive il veut s’évader parce que il y a son amie qui l’attend mais au moment qu’il pourrait s’évader, il reste pour aider Rieux et Tarrou Joseph Grand : Un employé