Discours Du Lion Les Animaux Malades De La Peste

monts de lait, Qui pommellent ainsi qu'au printemps nouvelet Pommellent deux boutons que leur châsse environne. De Junon sont vos bras, des Grâces votre sein, Vous avez de l'Aurore et le front, et la main, Mais vous avez le coeur d'une fière lionne. SEQUENCE N°1 : La beauté en poésie Objet d’étude L’écriture poétique et quête du sens du Moyen-Age à nos jours. Texte n°3 : « Un serpent qui danse » - Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, (1857) Que j'aime voir, chère indolente

plusieurs opinions pour constituer la sienne propre. » Extrait du Bulletin officiel, 12 juillet 2001. z Explication Question de forme l L’essai, le dialogue, l’apologue sont trois formes que peut Question de mode … Et vous ? emprunter le discours argumentatif selon que l’on choisisse l’argumentation directe ou l’argumentation indirecte. Le premier enjeu de votre travail sera de distinguer ces trois formes et d’en apprécier les différentes réalisations, chacune de ces formes se déclinant de

ce qu'on m'avait promis? Ce Mulet qui me suit du danger se retire, Et moi j'y tombe, et je péris. - Ami, lui dit son camarade, Il n'est pas toujours bon d'avoir un haut Emploi: Si tu n'avais servi qu'un Meunier, comme moi, Tu ne serais pas si malade. "       I, 5 Le Loup et le Chien   Un Loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. L'attaquer, le mettre en

l’esthétique de La Fontaine est une esthétique de la diversité, dont la diversité de ses sujets. Analyser les rapports à la philosophie cartésienne et à la sagesse épicurienne. Réfléchir aussi à la pensée de La Fontaine sur les animaux et la science. des Fables » 1., pp. 211-214 sur le rapport à la science et à la philosophie. On pourrait aussi s’intéresser à la question de grammaire, p. 234. suivante : préparer l’exercice d’appropriation 1., p. 248 « Dire

Compagne45 II, 8 L'Aigle et l'Escarbot46 II, 9 Le Lion et le Moucheron47 II, 10 L'Ane chargé d'éponges, et l'Ane chargé de sel48 II, 11 Le Lion et le Rat49 II, 12 La Colombe et la Fourmi50 II, 13 L'Astrologue qui se laisse tomber dans un puits51 II, 14 Le Lièvre et les Grenouilles52 II, 15 Le Coq et le Renard53 II, 16 Le Corbeau voulant imiter l'Aigle54 II, 17 Le Paon se plaignant à Junon55 II, 18 La Chatte métamorphosée en femme56 II, 19 Le Lion et l'Ane chassant57 II, 20 Testament expliqué

prés qui sont un poison violent pour les hommes et les animaux. Le verbe « s’empoisonne » revient deux fois dans le poème. Une correspondance s’établit entre les vaches et le poète. Il existe un autre point de comparaison : c’est la notion de temps pour symboliser la conséquence qui peut être la mort (lentement, tout doucement). La relation se fait autour du verbe empoisonner et de l’adverbe lentement pour insister sur la lenteur des animaux et de la mort. On a un sentiment d’étirement de quelque

un vieillard qui l’a fouetté de son attelage lors d’une bousculade de chariot. C’était Laïos mais un étranger pour Œdipe ! Il sauve Thèbes du tribut infâmant que lui réclamait la terrible Sphinge, monstre à tête de femme, corps de chien, griffes de lion, queue de dragon et ailes d’aigle, en répondant à la fameuse énigme : qui va à quatre pieds le matin, deux à midi et trois le soir ? C’est l’homme bien sûr, répliqua Œdipe avec intelligence et perspicacité. Accueilli en sauveur de la cité, il en devient

par les vignettes de Chauveau. Tout se passe comme si, par l’intermédiaire de figures de discours dont l’allégorie constituerait la pièce maîtresse, la « peinture parlante » qu’est l’image de parole pou- vait désormais se substituer entièrement à l’image peinte. Il est significa- tif de voir que, dans sa préface, La Fontaine définit la fable à la manière * Université Nancy 2. 1. Houdar de La Motte, Discours sur la fable, dans La Fontaine, Œuvres complètes, I [OC, I], éd. Jean-Pierre Collinet, Gallimard

montre aussi que les rusés et les méchants existent et triomphent parfois. Exemple : • Le Loup face à l’Agneau • Le Lion dans de nombreuses fables • Le Renard (l’emporte non pas par la force mais par la ruse). Dans les fables, les faibles, les naïfs, les êtres confiants, sont souvent punis : il leur arrive malheur. Le Chêne et le Roseau 1) Le discours du chêne au roseau - Le chêne parle le premier - Il parle longuement : - Vers 2 -> Vers 17 => 16 vers ( Il

à l’air de bonté du vieillard, que le meilleur parti était d’avouer mon ignorance, je lui répondis, si bas qu’il me le fit répéter, que je n’avais pas encore assez réfléchi sur cette question, mais que je comptais m’en occuper quand je ferais mon discours préliminaire. J’entends, me répondit-il : vous avez commencé par faire des fables ; et, quand votre recueil sera fini, vous réfléchirez sur la fable. Cette manière de procéder est assez commune, même pour des objets plus importants. Au surplus, quand