Discours du Trône

Fontainebleau et envisage de continuer le combat mais il n’est soutenu ni par le Sénat ni même par ses maréchaux qui le poussent à capituler. Il signe donc son abdication a Fontainebleau le 6 avril 1814. Ce même jour, le Sénat rappelle les Bourbons sur le trône de France. Le Sénat fait appel au comte de Provence, qui est le frère du dernier roi et qui règnera à l’avenir sous le nom de Louis XVIII. En apparence, ce rappel des Bourbons est librement choisi par le Sénat, mais en vérité ce sont les puissances

L’œuvre dont est extrait le présent texte est un poème intitulé « Charme (carmen) pour le roi Robert ». Plus que d’un discours (puisqu’il n’a, semble-t-il, jamais été prononcé), il s’agit d’un poème politique adressé au roi capétien Robert II le Pieux aux environs de 1025. L’auteur en est Adalbéron, évêque de Laon, neveu de l’archevêque Adalbéron de Reims. Il appartenait à un très puissant lignage : il était de sang royal, affilié à la fois aux Carolingiens (il était descendant des ancêtres

capitulation de Paris, le 30 mars 1814 sonne le glas du régime. Le Sénat prononce le 2 avril, la déchéance de Napoléon et de sa famille. S’ouvre alors une nouvelle ère constitutionnelle. Paragraphe VI : La charte du 4 juin 1814 Est appelé sur le trône Louis Stanislas Xavier de France (Louis XVIII de Bourbon), frère de Louis XVI et on n’appelle pas Louis XVIII qui était le fils de Louis XVII. C’est une charte et non une Constitution, elle est octroyée par la seule volonté royale. On appelle aussi

élections de 1990, de cette abominable iniquité, en refusant de céder le pouvoir à San Suu Kyi, quand bien même le peuple l’avait formellement légitimé par les urnes. J’accuse le dictateur Than Shwe, premier ministre du conseil d’état, qui trône sans partage depuis 1992 sur la Birmanie, de l’avoir placée en résidence surveillée durant sept interminables années. Ceci en vertu d’une loi datant de 1975, permettant à l’état d’enfermer sans jugement tout élément considéré comme étant perturbateur

la réhabilitation de l'individu (« Je suis moi-même la matière de mon livre », affirme Montaigne au début des Essais, qui constituent l'œuvre la plus authentiquement autobiographique... et la plus inclassable). Formes dominantes : Types de discours : narratif, descriptif. La fonction expressive est évidemment dominante (je, moi) : mais si les réflexions, les sentiments concernent l'expérience personnelle, l'autobiographe n'a de cesse de prendre à témoin son lecteur auquel il donne le statut

Lorenzo. « Bon, bon, mais pense à la tante. C'est pour elle que je suis venu te voir ; le diable m'emporte, tu as une tante que me revient ». Il ne veut plus de la marquise, il a réussit à la corrompre à l'adultère , de plus la marquise tient un discour républicain, ce qui déplait beaucoup au duc qui préférait qu'ils entretiennent une relation purement sexuelle et rien d'autre. La marquise lui dit dans l'acte III scène 6 : « Sais-tu où vont les larmes des peuples, quand le vent les emporte ? », il

pour finir règles des 3unitès (action, lieu, temps). Il y a mise sous tutelle d’une large partie de la création intellectuelle et artistique : les penseurs et poètes doivent infléchir leur production afin qu’elle assure les intérêts de l’autel et du trône ou, du moins, qu’elle ne leur porte pas préjudice. Les artistes recrutés doivent être susceptibles de glorifier Dieu et son représentant sur terre. Toute création artistique est encouragée et contrôlée par la création d’académies royales ou encore

Depuis 30 ans, elle fait partie du quotidien du Marocain, pendant ses repas, ses joggings, ses réunions de travail, ses voyages et partout où il va. Meriem Bensalah Chaqroun, qui trône à la tête de la société les Eaux minérales d’Oulmès, productrice de plusieurs marques d’eau, dont Sidi Ali, se souvient dans un discours commémoratif d’une époque magnifique. S’adressant au convives, Mme Bensalah lance, avec une voix chargée: «Ce qui est extraordinaire, ce sont ces années passées ensemble, tous ces

aveu, Clytemnestre tente de montrer à sa fille que la haine qu'elle vouait à son père était justifiée, en insistant sur sa condition de femme faible, d'épouse soumise, semblant être réduite à l'esclavage et à l'acceptation de sa condition. Dans ce discours, elle semble faire allusion à une « révolte féminine » : la mort d'Agamemnon correspond à sa libération en tant que femme. L'échec de leur mariage sans amour la conduira à la haine. A la ligne 6, avec l'expression « m'arracher à ma maison », on comprend

quitta Cythère, Paphos, Idalie, et tous les honneurs qu'on lui rend dans l'île de Chypre: elle ne pouvait plus demeurer dans ces lieux, où Télémaque avait méprisé son empire. Elle monte vers l'éclatant Olympe, où les dieux étaient assemblés auprès du trône de Jupiter. De ce lieu, ils aperçoivent les astres qui roulent sous leurs pieds; ils voient le globe de la terre comme un petit amas de boue; les mers immenses ne leur paraissent que comme des gouttes d'eau dont ce morceau de boue est un peu détrempé: