Discours Gaston Monnerville

Les origines de la Cinquième République Commentaire de texte : Commentez le discours de Bayeux du Général De Gaulle (Doc.1)Commentaire de texte : Commentez le Discours d'investiture du général De Gaulle, Assemblée nationale, 1er juin 1958 (Doc 5)Commentaire de texte : Commentez la Loi constitutionnelle du 3 juin 1958 (Document 6) Commentaire de texte : Commentez la conclusion du discours de Michel Debré (Doc.7 p.18-19)) Commentaire de texte : Commentez

autorité. Politique peut être utilisé comme adjectif. Politique peut renvoyer : · au discours de philosophie politique (≠ discours juridique) · aux discours politiques des partis politiques · au discours de la sociologie politique (description du comportement politique) · le « droit politique », idée que le droit traduit des phénomènes politiques Ne pas confondre le discours de ces domaines avec le discours du droit. Une définition peut être vraie ou fausse suivant le domaine de cette même définition

vaincu les troupes allemandes. La France a reconquis sa place et la confiance des Alliés”. L’Armée d’Afrique, par sa participation à la libération de l’Europe, a permis à la France de passer dans le camp des Alliés et donc des vainqueurs. Gaston Monnerville, homme politique qui était né en Guyane, proclama, le 25 mai 1944 : “Sans l’Empire, la France ne serait qu’un pays libéré ; grâce à son Empire, elle est un pays vainqueur”. Il ne faut toutefois pas faire de contresens : ce n’est pas l’Armée

d’étape[^1], mars 2003. Sur la base de leurs conclusions et afin de poursuivre la réflexion sur ce sujet fondamental pour le bon fonctionnement de la démocratie, un colloque a été organisé le vendredi 17 juin 2005, de 15h à 17h, dans la salle Gaston Monnerville du Palais du Luxembourg. Un entretien entre le sénateur Philippe Marini et Roland Drago tenu à cette occasion est à écouter sur Canal Académie : http://www.canalacademie . com/article289.html Publié sous le même titre dans la collection

dispose en 1958 du pouvoir constituant. Il réunit tous les partis non communistes et non poujadistes. Les gaullistes (Debré, Malraux) sont minoritaires ; De Gaulle prend seul les décisions fondamentales. La nouvelle Constitution respecte l’esprit du discours de Bayeux en ce qu’elle appelle un exécutif fort. Après avis du Comité consultatif constitutionnel, le projet est présenté à la date symbolique du 4 septembre. Il renforce les pouvoirs du président de la République, chef des armées et garant de la

Assemblée constituante. Mais le 16 juin 1946, il réapparait sur la scène politique avec le Discours de Bayeux. Il critique alors le deuxième projet de Constitution, il plaide pour un renforcement plus significatif du pouvoir exécutif. Le discours de Bayeux est important, car c’est un condensé du gaullisme constitutionnel de 1958. Les critiques du projet de constitution de De Gaulle vont être reprises dans le Discours d’Epinal. Mais le projet de Constitution sera approuvé avec 53,2% des suffrages exprimés

du Levant, le commandant de Gaulle aura l’occasion de parcourir, au cours de son séjour, le Liban et la Syrie. 1930 3 juillet A l’occasion de la distribution des prix de l’université Saint-Joseph de Beyrouth, le commandant de Gaulle prononce un discours dans lequel il exhorte la jeunesse libanaise à construire un Etat qui permette « la subordination volontaire de chacun à l’intérêt général, condition sine qua non de l’autorité des gouvernants, de la vraie justice dans les prétoires, de l’ordre dans

Troisième République Loi constitutionnelle du 2 novembre 1945 Organisation constitutionnelle provisoire 20 janvier 1946 : démission du Général de Gaulle Référendum du 5 mai 1946 : rejet du premier projet de Constitution du 19 avril 16 juin 1946 : Discours du Général de Gaulle à Bayeux Référendum du 13 octobre 1946 : adoption du second projet Constitution du 27 octobre 1946 Quatrième République B. Raisons C. Nuances : une certaine continuité 1. Si les régimes ont changé, les hommes sont souvent

Grévy - Successeur de MM était Grévy, de G et républicain - Grévy est de gauche et souhaitait en 1848 la suppression du président de la république - Tradition hostile au chef d’E et qui semble consacrée par l’histoire - Pour son discours d’investiture, Grévy va énoncer principes de la 3ème république et dit qu’il se soumettra toujours à la majorité de la chambre des députés « soumis à la grande loi du régime parlementaire, je n’entrerai jamais en lutte avec la volonté exprimée par

une légitimité sans égal, il a des attributions que n'a pas le président américain, mais il n'est pas responsable (contrairement au président des USA, cf impeachment), le président américain est dépendant des chambres (qui votent le budget) lors du discours sur l'état de l'union. En France le président est assuré d'avoir une majorité de soutient au sein de l'AN mais il n'est pas à même d'aller demander des crédits devant le parlement ; le gouvernement et le premier ministre sont là pour assumer les