Discours Gaston Monnerville

Les membres de celui-ci peuvent aussi justifier d’une longue expérience des pouvoirs publics qui les positionne dans un rôle de « sages », très attachés aux principes républicains. C’est précisément ce que recherchait de Gaulle, qui disait dans son discours de Bayeux du 16 juin 1946 : « «Il est clair et il est entendu que le vote définitif des lois et des budgets revient à une Assemblée élue au suffrage universel et direct. Mais le premier mouvement d’une telle assemblée ne comporte pas nécessairement

qui conserve son poste aux Affaires culturelles, l'éphémère Pierre Pflimlin du MRP à la Coopération, Louis Jacquinot (proche des Républicains indépendants de Giscard) aux DOM-TOM, tandis que Louis Joxe est reconduit aux Affaires algériennes et que Gaston Palewski, qui sera, avec Pierre Messmer, « fortement irradié »4 lors de l'accident de Béryl le 1er mai 1962, est chargé de la Recherche scientifique et des questions atomiques. Outre ces ministres, on retrouve Maurice Couve de Murville aux Affaires

-TARDIEU : propose des réformes telles que la remise en vigueur Du droit de dissolution, la pratique du référendum, la limitation du pouvoir parlementaire -Gaston DOUMERGUE : En 1934, se prononce pour le droit de dissolution, consécration d’un véritable pouvoir réglementaire. • Les crises de la IV république génèrent d’autres propositions : Maurice HAURIOU : - gouvernement de législature

Chambres, sera Jules Grevy. C'est un homme politique qui à l'époque c'était fait connaitre en faisant un discours pour expliquer qu'un président de la république ne servait à rien. Les Chambres qui sont républicaines l'ont choisi pour son désintérêt pour son poste afin de pouvoir mieux maitriser le pouvoir. Grevy dit " jamais je ne rentrerai en lutte contre la volonté nationale"lors d'un discours, en d'autres termes il ne dissoudra jamais la Chambres des députés. Ces derniers pourront alors librement

deux chambres. Il y a deux types de bicamérisme : le bicamérisme parfait lorsque les deux chambres ont les mêmes pouvoirs, et le bicamérisme imparfait lorsqu’une seule chambre détient les pouvoirs. Section 2 : Le bicamérisme depuis 1958 Dans son discours de Bayeux, de Gaulle dit : « Il faut attribuer à une deuxième assemblée élue et composée d’une autre manière que la première, la fonction d’examiner publiquement ce que la première a pris en considération ». Cette chambre complétera la première en

titre d’un livre de Digeon) - création des Cercles catholiques d’ouvriers (Albert de Mun, René de la Tour du Pin) - création de l’Ecole libre des sciences politiques par Emile Boutmy 1872 - service militaire obligatoire pour tous (cinq ans) - discours de Léon Gambetta sur les « couches nouvelles » (à Grenoble) - Thiers : « la République sera conservatrice ou ne sera pas » (le régime « qui nous divise le moins ») 1873 - les dernières troupes allemandes quittent la France - la loi Rivet est

équatoriale, Madagascar) Chapitre 1 : La république Gaullienne. I : la « phase algérienne » de la 5ème République (1958-1962) A : la mise en place des pouvoirs publics. Eté 1958 : en terme de droit constitutionnel De Gaulle avait des idées. Discours de Bayeux en 1946. Dans un premier temps le premier texte est rédigé par un juriste Michel Debré, comme l’a exigée la loi du 3 juin 1958, le texte est transféré à un comité consultatif. Rend le texte le 14 aout 1958, le comité consultatif constitutionnel

l'a pensé mais celui qui l'a voté. D'où une immense marge d'interprétation et de manœuvre de cette constitution. En effet il n'est pas possible de connaitre l'intention de l'auteur juridique (trop nombreux...). D'ailleurs De Gaulle ne livre qu'un discours le 4 octobre 1958 Place de la Nation. Le texte est juridiquement attribué au peuple et en raison de l'opacité subjective de l'auteur interprète est le véritable auteur du texte. « La loi est ce que le juge dit ce qu'elle est ». Il y a une violation

et de la République. Quelles relations l’homme du 18 Juin, le libérateur qui se refuse de proclamer la République au balcon de l’hôtel de ville le 25 aout 1945 (le régime de Vichy étant et demeurant « nul et non avenu »), le héros qui prononce le discours de Bayeux qui avance tout son projet république (juin 1946), le « sauveur » de mai 1958, le fondateur de la Vème République, l’« homme providentiel » sauveur en apparence de mai 1968, entretien-t-il avec la grande la tradition républicaine française

l’élargissement du droit de vote. Pierre angulaire de l’égalité politique, le suffrage universel a pourtant mis bien des années afin de se mettre en place. En effet, même si l’époque de l’instauration de la 1ère République française b-aigna dans des discours très universalistes, le droit de vote demeure cependant tout de même un privilège réservé à une fraction d’hommes. Ce suffragecensitaire masculin institué par la Constitution de 1792 reposa ainsi sur le cens, en somme un critère de la fortune ayant