Discours Narrativisé

2 La discussion - Discours direct : théâtre l71 seule réplique du père ; 5 répliques "moi" ; 5 réplique "Dr Bissei" ; dernière réplique "Moi" l75-90 --> s'adresse comme un médeci à un criminel -Discours indirect l45 que... que... que --> volonté de donner de la valeur aux propos de Bissei - Discours narrativisé l1-8 : parlent mais on ne détaille pas leurs échanges --> aucun intérêt pour le débat. Conclusion Petit passage narratif, beaucoup de discours de différentes variétés/natures

philosophe. Rapport de proximité entre narrateur et bramin. 2) Discours narratif entre coupé de dialogue. => structuré= 2 premier paragraphes: présentation développée des personnages présentés opposé. - Bramin: présentation longue et valorisante, fort sage. Riche - Indienne: Courte, bigote, imbécile. Pauvre Beaucoup de contraste entre eux. - Bramin: discours direct - Indienne: discours rapporté, discours narrativisé => montre qu’elle n’est pas le personnage principal. II- Efficacité

« quelqu’un », mettant directement les indices de valeur -Troisième étape : Le jugement des Tupis : a) Indice de temps signalant les étapes : « en premier lieu », « secondement » b) Verbes de paroles : « ils dirent », introduisant leur jugement au discours indirect « ils trouvaient » (2 occurrences). Le jugement lui-même : « fort étrange » c) L’objet de ce jugement : - « des hommes » qui « consentissent à obéir à un enfant », (au roi) - le contraste entre « des hommes pleins » et «  leurs moitiés

comique de mots - Comique de mots : toute cette scène joue sur la double signification des mots. Ironie sur les termes adressés à M. de G…M… « Excuser, monsieur » l.1756, « un si bon modèle » avec l’adverbe d’intensité l.1760. - Opposition entre le discours moralisateur du vieil homme et l’objet de sa présence « débauche ». - Vocabulaire religieux venant de Lescaut « prêtre », « chapelle » prête à sourire. - Proximité entre les termes « plaisir » l.1766, « chair » et « aime » l.1769 - Comparaison :

? PLAN : I- Une scène attendue car c’est un tournant dans la vie de DG 1) La mise en valeur de la rencontre 2) La métamorphose du jeune homme 3) Un tournant dans la vie de Des Grieux II- Le point de vue double du narrateur 1) Le discours rapporté 2) La superposition du narrateur sur le héros 3) L’ évocation de Manon, éclairée par la suite III- Une rencontre fatale 1) Des références divines confuses 2) Souffrances : langage hyperbolique 3) L’importance de l’apparence 4)

l'épilogue 1) Le discours des canards 2) L'envol, le voyage, les péripéties 3) La chute (l'épilogue) II- Une double moralité 1) Un premier apologue en quatre vers 2) La leçon La Fontaine choisit de faire parler ses personnages, c'est pourquoi il utilise le discours direct (v.8 à 13) pour rapporter les paroles des canards. C'est aussi une manière de diversifier les formes de discours. On relève également une allitération en [q] (v.5 et 6) dans le discours narrativisé ce qui rappelle le

rapportées Dans un texte, en particulier dans un récit, on est souvent amené à rapporter des paroles d'un ou plusieurs personnages. On a le choix entre le discours direct et le discours indirect. • Quand on rapporte les paroles comme elles ont été prononcées, en faisant référence à la situation d'énonciation d'origine, on produit du discours direct. Celui-ci se caractérise par une ponctuation particulière : deux-points, guillemets, tirets. Il advint un jour que le père voulut se rendre à la foire

immoral de La Fontaine : ‘Le corbeau et le renard’, La cigale et la fourmi’). La conclusion est donc une sorte de constat navré et plus ou moins désabusé de la malignité de l’homme et de la société. - forme : les trois textes font une grande place au discours rapporté (La Fontaine) ou au dialogue (Molière évidemment, mais aussi Diderot, et ce doublement puisque Moi et Lui conversent mais aussi parce que lui rapporte ses conversations avec mademoiselle et sa mère et qu’il fait parler la mère). - thème :

l’invite a diner au Café Riche en compagnie des Forestier. Les premiers plats arrivent. En quoi le cadre intime du diner est propice à débattre du sujet de l’adultère ? Nous verrons d’abord le lien entre la nourriture et le désir, puis l’art du discours de Duroy et enfin l’attitude des convives. I. La nourriture et le désir Champ lexical de la nourriture : « huitres », « coquilles », « palais », « bonbons », « truite ». Comparaison : « huitres » et « oreilles » ont

vers de différents mètres : pstation en alexandrins puis octosyllabes nbx ejambements utilisation de la parataxe = absence de lien logique entre les phrases différents types de discours : direct ( V28/29 ) qui rend le discours plus vivant , discours narrativisé ( V30 , c'est bref) et le discours indirect libre ( V23/24) c) Un univers plaisant et original les animaux sont des stéréotypes traditionnels → le lion : le roi, la puissance, la cruauté, arbitraire / le singe : la flatterie