Discours Narrativisé

Fontaine, les animaux malades de la peste L’auteur / l’époque : Voir fiche LA FONTAINE. Plan et analyse I) Structure théâtrale V.1 à 14 ⇒ Scène d’exposition, la peste frappe tous les animaux ; v.15à 33 ⇒ Acte I, le discours du Roi, il s’accuse à titre d’exemple ; V. 34 à 48 ⇒ Acte II, discours du renard qui disculpe le roi ; V. 49 à 54⇒ Acte III confession de l’âne ; V. 55 à 59 ⇒ Acte IV, le groupe condamne l’âne ; V. 60 à 62 ⇒ Acte V, dénouement coïncide avec la mise à mort de l’âne Le registre tragique

pratique, le loup préfère rester a l’état sauvage que d’être contrôlé. b) récit et discours Vision générale de la situation au début mais a partir du vers 5 c’est a partir des pensées du loup au discours indirect libre = résumé des pensées du loup. On trouve ensuite le discours narrativisé qui permet d’accélérer le rythme et d’en venir a une confrontation directe. Ensuite la formule introductrice au discours direct du chien est rejetée en fin de frase pour plus de vivacité. Vers 30-33 : intrusion

Délibération : plusieurs discours rapportés : ¤ (Lion et l'âne) : discours direct [ "…" ; "je"; "nous"] Plus vivant : - effet de réalité suite a l'actualité - révèle la personnalité - intention du locuteur Le Renard va détourné le discours du roi pour le rendre en sa faveur Voir que l'âne va être puni injustement Faute (minime) / Lion faute (Grosse) Il va faire alors une comparaison ¤V - 44 : discours narrativisé ( pour tout autres animaux)

romancier. Plan détaillé : I La peinture sociale et la critique de la justice 1. Le point de vue adopté Jeu de points de vue avec un narrateur omniscient et un point de vue interne : accès aux pensées de Julien : « Pleurerait-elle, par hasard ? », discours à la première personne. Le narrateur décrit les circonstances, romanesques, du procès qui se termine durant la nuit : « Minuit sonna ». Une hyperbole souligne la tension qui règne dans la salle (et dans la ville) : « au milieu de l’anxiété universelle

lecteur n’a accès qu’à l’apparence extérieure des événements et des êtres. *LES PAROLES RAPPORTÉES : Le DISCOURS DIRECT rapporte les paroles telles qu’elles ont été prononcées à l’aide d’un verbe introducteur et de guillemets. Le temps employé est celui du discours. Le DD produit un effet de réel. Le récit est vivant mais son rythme est ralenti. Pas d’intervention du narrateur. Le DISCOURS INDIRECT rapporte les propos par le biais d’un verbe introducteur et d’une relation de subordination. Les

moment du récit  * Registre tragique : « Je prétends mourir, répondit-elle, si vous ne me rendez votre cœur, sans lequel il est impossible que je vive » Manon parle de mourir pour prendre dans ses filets des Grieux c) Discours Certaines paroles sont rapportées au discours direct comme au théâtre. 880 "Perfide Manon, perfide! " > langage de la tragédie. Fidélité : foi, traverse, rompt...connotation religieuse. Permet d'exprimer sa rancœur. 883 : "Demande donc ma vie, infidèle. 900-911 « Ah

histoire. Temps du discours. FOCALISATION : Qui voit ? Omniscient Externe ou témoin Interne : On voit la scène à travers les yeux du personnage principal. DISCOURS RAPPORTES Discours direct : «  », introduit par un verbe de paroles, ponctuation expressive ( ! ? …), temps du discours. Discours indirect : On rapporte les paroles du personnage avec un verbe de parole + conjonction de coordination, proposition subordonnée. Temps du récit. Il dit qu’il allait manger. Discours indirect libre :

au discours direct du Lion suivi du Renard ● Intervention de l’âne (v.49 à 54 ) : « L’Ane vint » = péripétie importante B. Un récit vivant La Fontaine donne de la vivacité à son récit grâce à différents procédés : ● Variation du rythme : hétérométrie (alternance non régulière d’octosyllabes et d’alexandrins + un vers de 3 syllabes au vers 29) ● Variation du rythme et du récit : alternance narration / discours rapportés : discours direct (V.15 à 49 puis v.49 à 54), discours narrativisé

des personnages grâce aux différentes formes de discours. A l'aide d'une ponctuation particulière telle que les guillemets dans le texte de FLAUBERT, il est mit en évidence les paroles du personnage, ses pensées. L'utilisation de termes spatio-temporels tel que « maintenant » comme dans L'Éducation Sentimentale (l.1) nous démontre bien que nous sommes dans un récit au présent tel que dans le premier extrait de COHEN ; une des marques du discours direct. Ce dernier peut également se manifester

Marcel Proust Le discours direct : un verbe introducteur et paroles rapportées telles qu’elles ont été prononcées et le tout entre guillemets. Ex : Il dit : « Balzac est un grand auteur ! » Le discours indirect : verbe introducteur suivi d’une proposition subordonné comportant les paroles rapportées à la troisième personne. Ex : Il dit (que Balzac est un grand auteur). Discours indirect libre Il n’y a pas forcement de verbe introducteur. Les paroles sont rapportées à la troisième personne