Discours rapporté

terme Politeia, se définit comme l’organisation méthodique, théorique et éventuellement pratique des actions d’un gouvernement. L’objectif est de maintenir l’équilibre nécessaire au développement de la société en elle même et celui qui attrait aux rapports avec d’autres sociétés. La politique, c’est aussi le Politiké, c’est à dire l’art de pratiquer le pouvoir. Le verbe conjugué « doivent » de l’infinitif « devoir » renvoie à l’obligation de faire. Enfin, la « vérité », du latin Veritatem, veritas

l'islam » > la formule choc et ceci est scientifiquement faux! Pb de conjoncture: on est passé d'un clivage idéologique à un clivage culturel. On est arrivé à l'âge du conflit culturel. Pb de régulation et de liberté publique: pb récurrent dans les discours politique: cmt assurer la protection les minorités culturelles. Droit de revendiquer un particularisme. Tradition vestimentaire, scolaire, culinaire qui ne plaise pas à l'État (voile etc.). Que doit faire un système politique pour trouver la juste

On applique donc le langage des gestes, postures, aux orientations du corps, qui soient naturelles ou artificielles, au rapport de la distance entre les individus, à la façon de se vêtir, de se maquiller… De manière générale, à toutes les informations émises par l'individu. Ces messages non verbaux, peuvent être envoyés et perçues consciemment, par exemple lors d’un discours politique) ou de manière inconsciente (lors de jeu de la séduction). Il existe une étude qui dit que dans la communication

Commentaire : ▪ la composition du discours : o Un exorde (1er §), qui rappelle les liens affectifs entre les conjurés : « captatio beniuolentiae » (uirtus, fides, amicitia…) ; liens entre les pronoms « uos » et « ego ». o « narration », partie centrale : rappelle les faits, le pouvoir et l’argent confisqués par une oligarchie, l’impuissance à laquelle eux sont réduits, les procès dont ils sont accablés (ce qui est son propre cas : procès pour concussion,

personnages hors scène ( famille d'Yvan) qui n'ont pas d'autre existence dans la pièce. 1)Un récit polyphonique Récit au présent → dynamisme+rapidité. Discours rapportés, discours direct sans guillemets ni verbes introducteurs de parole. Le spectateur doit alors dissocier les changements de voix. Durant la tirade évolution vers la parole des autres. Il rapporte surtout les paroles de sa mère mais plus les siennes. Yvan s'efface derrière ces « autres ». 2)La voix des autres Yvan interprète son rôle,

il répondent à un rituel. Il y a quelque chose de cruel dans le fait de demander à Meursault son impression sur le discours de son avocat, comme s’il n’était pas concerné par son jugement. b) Le discours de l’avocat « Beaucoup moins de talent » = caractère artificiel des félicitations. Discours pénible « heures interminables », l’avocat prétend dire la vérité et son discours a des marques de prétention « je me suis penché ». Comme si Meursault était un simple objet à analyser, la plaidoirie

philosophique, chacun à sa thèse : sur l’ existence de Dieu, la foi... • Point de départ : S demande à DJ en quoi il croit, chacun va donc exposer ses croyances. Annonce du plan 1°/ La prise de parole de Sganarelle 2°/ La faiblesse de son discours argumentatif 3°/ Une tirade parodique Etude 1) La prise de parole de Sganarelle a. Il veut montrer à son maître qu'il vaut plus qu'un simple valet • Déguisement autorise déplacement dans situation hiérarchique des 2 pers : S en médecin

met-il un terme au conte ? I- Message du vieillard a) Un éloge de l’ignorance * Le vieil homme se met à distance des tracasseries du monde (ex : assassinat du mufti) * philosophie du repli et de l’ignorance. * Dans son discours : négations « n’…rien », « n’…jamais », « d’aucun », « ni ». * Occurrence du verbe « ignorer ». * Homme du silence et du travail. b) Un exemple d’hospitalité * Accueil (l.10) : « il fit entrer les étrangers dans sa maison ».

catégories : inventio, elocutio, dispositio, actio, memoria. 3 Genres : genre épidictique ou démonstratif = louer ou blâmer comme ds les oraisons funèbres, c’est le lieu de l’amplification, de l’emphase. C’est le genre le moins argumentatif, c’est un discours d’apparat. Il s’agit de convaincre l’auditoire du bien fondé de valeurs ds le respect desquelles il est censé communier avec l’orateur. (cf. Bossuet.) / Genre délibératif qui vise à conseiller ou à dissuader d’une action future = lieu du possible

Les caractéristiques du discours: - Le discours mobilise des structures d’un autre ordre que celles de la phrase. Son étude ne relève donc pas de la syntaxe, mais se concentre sur les conditions de production des énoncés.   Le discours est orienté : non seulement parce qu’il est construit en fonction d’une visée, mais parce qu’il est une forme d’action sur autrui. Toute énonciation constitue un acte (promettre, suggérer, affirmer, interroger…) qui vise à modifier une situation : c’est ce que J