Discours Sarkozy Epinal

président Nicolas Sarkozy pour proposer une réforme des institutions de la Cinquième République française. Ses conclusions ont inspiré la réforme des institutions menée en 2008. Le 12 juillet 2007, Nicolas Sarkozy prononce à Épinal un discours, dont le titre officiel est Allocution à Épinal sur le thème de la démocratie irréprochable[1], reprenant ses propos de campagne et dans lequel il exprime sa vision des institutions. Le service de presse de l'Elysée communique autour du label Discours d'Epinal,

Président de la République. Certes, ce n’est pas la première fois que le chef de l’État est visé par une modification de notre loi fondamentale mais jamais autant d’articles le concernant n’avaient été retouchés depuis 1958. Dans l’esprit du Président Sarkozy, il s’agissait, comme il l’a dit souvent dans sa campagne présidentielle, et même au début de son mandat, de redéfinir la fonction présidentielle en tenant compte de sa pratique depuis l’origine et surtout depuis la réforme de 1962, tout en permettant

volonté d'établir le suffrage universel direct. Le Général De Gaulle n'a jamais cesser de souhaiter d'établir l'élection au suffrage universel direct. Il y renonce en 1958 pour des raisons stratégiques mais il y revient dès qu'il le peut dans un discours du 20 septembre 1962. Il s'agit d'un tournant dans la mesure où cette révision qui est incontestablement l'une des plus importante de l'histoire de la Ve République puisqu'elle va institutionnaliser le système. En somme cette révision du 6 novembre

Les grandes innovations de la révision constitutionnelle de juillet 2008 Cette révision a été voulue par Nicolas Sarkozy dans son programme politique lors de l’élection présidentielle française de 2007, la démarche vise à moderniser les institutions de la cinquième république. Le président de la république a nommé l’ancien premier ministre Edouard Balladur à présider le comité de réflexion et de proposition sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Vème République crée par

rôle du président dans le système politique de la France. L’élection de Nicolas Sarkozy en 2007 accentuera encore plus la présidentialisation du système. En effet son score aux élections était très élevé et les élections législatives eurent lieu peu après son élection. De plus, le mandat de Nicolas Sarkozy, très clair et détaillé n’a fait que soutenir un peu plus le rôle du Président de la République. Nicolas Sarkozy, en souhaitant réformer les institutions tend à corriger les conséquences du quinquennat

Intro : La révision de la Constitution a été voulue par Nicolas Sarkozy. Cette mesure était d’ailleurs comprise dans son programme à l’élection présidentielle de 2007 où il disait vouloir rénover et adapter les institutions de la Ve République « aux nouvelles exigences des démocraties modernes ». Quelques mois à peine après son élection, le 12 juillet 2007, le président de la République prononce un discours à Epinal dans lequel il précise de nouveau son intention de moderniser les institutions

C'est la science de la connaissance. Il s'agit d'une branche de la philosophie qui s'interroge sur les conditions suivant lesquelles un énoncé peut être accepté comme étant scientifique. Sociographie:Renvoie à l'idée de description des faits. Discours descriptif sur le social dans lequel on se contente de recenser des faits sans les expliquer Cognitif : C'est ce qui concerne la connaissance. Idéologie : Pour Marx, c'est un système d'idée qui explique le monde mais qui en vérité chercher

La suprématie présidentielle sous la V*e* république « La Président de la République doit être la clé de voute de notre régime parlementaire » Michel Debré, discours du 27 août 1958 devant le Conseil Constitutionnel. La Ve république est née de l’échec institutionnel et gouvernemental de la IVe république. Le problème majeur de cette dernière était qu’elle nourrissait une très forte instabilité gouvernementale. Le putsch d’Alger et la crise du 13 mai 1958 ont permis un retour au pouvoir

Deux révisions constitutionnelles ont été adoptées pendant le mandat présidentiel de Nicolas Sarkozy. Dans un premier temps la loi constitutionnelle du 4 février 2008 a permit à la France de ratifier le traité de Lisbonne. C’est la décision du conseil constitutionnelle datant du 20 décembre 2007 qui a entrainer cette modification constitutionnelle. Dans cette décision, le conseil constitutionnel estime que la ratification du traité de Lisbonne nécessité préalablement une révisons constitutionnelle

complétement tenu, et il s’est produit presque l’effet inverse au fil des décennies. En effet ce parlementarisme rationalisé virant ainsi peu à peu à une prédominance des fonctions du Président de la République. Comme le disait Jacques Chirac lors de son discours d’Epinal le 31 Mars 1995, « Le parlement s’est transformé en chambre d’enregistrement […], sans véritable marge de manœuvre ». Ainsi les Chambres se contenter d’entériner la volonté du « gouvernement-législateur », sans véritable pouvoirs d’opposition