Discours Sur L Amitié

folie meurtrière. Enfin, ayant achevé son acte, il tente en vain de se suicider. Lors de son jugement, quelques mois après les faits, Claude juge les plaidoiries des avocats insuffisantes. Ainsi qu’un orateur, il se lève et prononce un long discours, simple, relatant les faits tels qu’ils furent. Alors que le procureur du roi explique que son crime ne possède aucune circonstance atténuante, Claude, irrité, décrit toutes les souffrances morales résultant du harcèlement de M.D. Malgré sa plaidoirie

Chambre peureuse, réactionnaire, « admirablement manipulée par Thiers». Pendant un an, il produit plus de deux cent cinquante chroniques parlementaires. Elles lui permettent à la fois de se faire connaître du monde politique et d'y fonder de solides amitiés (et inimitiés). Il collectionne aussi une foule de détails pour ses romans à venir. Ces engagements sont quelque peu risqués pour l'écrivain. Il tombe deux fois sous le coup de la loi, et est mis en état d'arrestation en mars 1871. Mais ces arrêts

scène 2 Oronte les rejoint. Il demande alors à Alceste, dans un élan ininterrompu, de devenir son ami (les deux hommes ne se connaissent pas). Celui-ci, un peu surpris, ne sait que dire et refuse gentiment pour laisser naître naturellement cette amitié. Oronte comprend mais lui propose tout de Basque revient et annonce une deuxième arrivée, celle de Clitandre. Alceste fait mine de vouloir partir, Célimène lui demande de rester. Malgré la volonté de celle-ci, Alceste refuse et s’en va. Acte II

filles, écouter et se taire ) .Le Jansénisme --> doctrine religieuse faite de rigueur en se basant sur le vertu. L'éducation donnée par Mme de Chartres est rapportée dans un discours narratives (les paroles sont rapportées dans leur ensemble et non précisément) + quelque chose qui s'apparente à du discours indirect "et lui faisait voir" L 16 à18 .Cet idéal d'éducation à une dimension spirituelle et éthique --> science de la morale, art de diriger la conduite ceci ce voit au fait qu'elle

missions de confiance (pacification de la Guyenne durant les troubles de 1561), il est plus mûr que Montaigne. Juriste érudit avec une solide culture humaniste, il écrit des poésies latines et des traités politiques. Son ouvrage le plus connu est le Discours de la servitude volontaire que Montaigne voulait insérer dans les Essais; mais Montaigne s'en est abstenu quand les protestants prétendirent présenter l'ouvrage de La Boétie comme une attaque contre le Roi. L’amitié de Montaigne et de La Boétie

laissait volontiers la gestion de ses propriétés à sa femme. Par contre, très au fait des humanités grecques et par conséquent du Banquet de Platon, il était fidèle ami d'Etienne de La Boétie : à l'origine, il avait écrit les Essais comme écrin pour le Discours de la servitude volontaire de son meilleur ami, qui y faisait l'éloge de l'amitié contre la corruption du pouvoir et des courtisans. Il fréquente la Cour jusqu’à la mort de son père en 1568. Il peut alors vendre sa charge et se retirer dans ses

de ce récit à travers un texte plus amusant, plutôt qu’un long discours ennuyeux ! - Encore faut-il avoir ces connaissances ! Non, les enfants sont trop jeunes ! » Loïc fit la moue puis repris : - « Oui, tu as peut-être raison c’est vrai… - Tout le monde à son avis après tout, repris Bruno. » Loïc sourit du coin de la bouche. Les deux amis avaient l’habitude de ces discussions animées, ce qui n’avait jamais entaché leur amitié, bien au contraire…

d’État de Prague et Anathème contre Tito en 1948. En 1947, il publie deux grand succès, le roman La Peste et en 1949 la pièce de théâtre Les Justes. En octobre 1951, il est critiqué et polémique après la publication de L’Homme révolté. En 1952, son amitié avec Jean-Paul Sartre cessa après la publication de l’article Les temps modernes. Il se fait des ennemis à Alger après son «Appel pour le trêve civile» en 1956, d’où il doit s’enfuir. En 1956, il publie La Chute et il démissionne de l’UNESCO au moment

extrêmement satisfaisant : le bonheur. Tous les biens du monde ne sauraient y suffire. Là encore, on le sent proche d’Aristote, qui répète, dans l’Ethique à Nicomaque que « l’homme heureux a besoin d’amis ». Autrement dit, qu’il n’y a que la philia (amour/amitié) pour amener au bonheur. On a compris qu’il s’agissait moins, pour Hume, dans ce texte, de chercher l’origine de la société que d’en montrer la nécessité pour l’homme : l’homme seul est misérable, y compris quand il est tout-puissant, parce que

aimée par un ami perdu et dont le poète se fait, en quelque sorte, le porte parole, sensible et discret, pour lui rendre un dernier hommage. I/ 1 poème lyrique à la 2ème personne du singulier : ( répétition de « Tu me disais » (anaphore) + discours rapporté + jeu-décalage entre les temps verbaux imparfait / présent ). è1ère strophe de 10 vers, suivie de 5 tercets ; vers non rimés, en alexandrins ( sauf dernière strophe : hexasyllabes, puis octosyllabes, puis retour à l’alexandrin