Discussion

sombre forêt. Ils décident d’effectuer régulièrement des réunions grâce à un gros coquillage [en fait une sorte de conque] dont ils se servent pour appeler les autres (en soufflant dedans comme une trompe !) et pour prendre la parole lors des discussions de groupe. Ils vont construirent des huttes sur la plage pour s’abriter et cueillir des fruits pour se nourrir, comme Robinson Crusoé. Si, au début, la cohabitation se passe relativement bien entre Ralf et Jack (ce dernier passant son temps à

vigoureusement : « Après cela, Monsieur, je m’étonne fort… » et il tend à le faire adhérer à son badinage intellectuel et littéraire. Ce dialogue se joue sur le fond d’une complicité entre deux membres de la haute société cultivée, il rejoue les discussions savantes des salons où fusent les références comprises de l’épistolier et du destinataire qu’il dessine. Les références à Artéphius où la Sibylle de Cumes sont limpides pour les deux tenants de cette correspondance. Toutefois, loin d’être neutres

La thèse défendue est la suivante : la discussion est utile. Une discussion, c’est « l’action de discuter, d'examiner quelque chose, seul ou avec d'autres », c’est aussi un « échange de points de vue, une confrontation des idées, qu'on peut approcher de la vérité ». Quelque chose d’utile est ce « dont l'usage, l'emploi est ou peut être avantageux, satisfait un besoin »; c’est donc ce qui est bon, profitable. Selon Voltaire, « l'utile est ce qui répond à la satisfaction des besoins physiologiques

pour passer au second acte (II). ACTE II Ayant donné son avis sur la musique, M. Jourdain commande un concert et un ballet pour un dîner où il a prié des gens de qualité. Il prend une leçon de danse et de maintien. Arrivée du maître d'armes et discussion véhémente entre les trois professeurs. Le maître de philosophie qui survient est invité à arbitrer le conflit; mais il tourne les trois autres contre lui. Bataille et sortie des combattants. Le maître de philosophie rentre. M. Jourdain désire apprendre

convaincre, faut-il nécessairement recourir à l'art de persuader ? ou l'art de convaincre peut-il se suffire à lui-même (...) FICHE METHODE DISSERTATION / DISCUSSION I.                   DEFINITION Ce travail demande une réflexion sur un problème d'ordre littéraire ou artistique. Dans les séries techniques, les sujets sont plutôt des discussions (moins littéraire). La réflexion proposée est en rapport avec le corpus de textes à analyser II.                TRAVAIL PREALABLE ...AU BROUILLO ·       

Indépendamment des voies qu'ils empruntent, les échanges sont-ils toujours efficaces ? Quelque soit le support utilisé, la discussion est-elle toujours constructive ? Je soutiens la thèse que bien que l'échange soit à la base d'une société équilibrée, et que celui-ci est aujourd'hui permit par bien des moyens, la majeure partie des échanges n'est que futilité et donc inutile. Nous verrons dans une première partie que l'échange est essentiellement destiné au bavardage, puis, dans une deuxième

d'accélérer parfois la mobilisation des opinions. Discussions souvent superficielles, peu argumentées voire peu fondées. 2 formes de discussions coexistent : * les espaces de discussion plus ou moins identifiés promouvant avant tout une forme de sociabilité , l'expression de soi, la spontanéité, l'émotion. => l'expressivité l'emporte sur l'argumentation * des communautés plus homogènes où l'on partage des intérêts commun. Beaucoup plus de discussions possible mais des espaces qui rassemblent

j’instaure une relation avec une jeune fille de nature sociable et curieuse. Jade est une personne avec beaucoup de motivation mais elle s’empêche parfois d’agir par manque de confiance en elle. Constat dés l’arrivée de mon stage Lors de mes discussions avec J, elle me raconte sa vie à la résidence, elle participe à de nombreuses activités : le chant, la danse, la création d’un spectacle, de l’intérêt à participer un projet humanitaire. Toutefois, je m’aperçois qu’il lui arrive d’errer dans les

Bruxelles entre M. Dirk Ahner, Directeur Général de la Politique Régionale de la Commission européenne, et la Commission des Iles de la CRPM.1 L’objet de cet échange était d’évoquer, de façon générale, la question des îles dans le contexte des discussions sur la future politique de Cohésion, et plus particulièrement d’aborder la question de l’approche statistique des territoires insulaires. Contexte. Cette réunion faisait suite à la publication d’un Document de Travail sur les « territoires spécifiques

Pourquoi formuler une problématique ? L’objectif est de créer autour de votre sujet un espace de discussion, qui montrera qu’en dépit de vos convictions, vous avez conscience de la complexité de la réalité et de la diversité des approches possibles de cette réalité. Qu’est-ce qu’une problématique ? C’est l’art de poser les bonnes questions nous dit le Robert. Construire une problématique, c’est en fait interroger le sujet. Mais il faut poser des questions pertinentes, qui font