Dissémination des graines

femelles portant les grains, de ce fait l’homme lorsqu’il cultive cette plante peut utiliser un grand nombre de plants car ils n’occupent que peu d’espace et les ramifications présentent des épis. De plus les épis du maïs possèdent un grand nombre de grains rangées par paire autour du rafle, deux fois plus longs et 4 à 5 fois plus lourds que ceux de la téosinte, qui ne se détachent pas naturellement de la rafle rendant sa récolte et son exploitation possible, ces mêmes grains possédant aussi des

­ Feuille axillant au bourgeon axillaire  ­ Feuille protégeant un axe fertile → placentation centrale     Un cycle type    Les fleurs sont habituellement ​ hermaphrodites​ . Les Angiospermes sont des  Phanérogames​  (ovules), ​ Spermatophytes​  (graines), ​ Angiospermes​  (carpelles).  L’embryon possède un ou deux cotylédons d’où la distinction au sein des Angiospermes de  deux grands groupes: Monocotylédones et Dicotylédones.  Sinon la reproduction est proche de celle des Gymnospermes. L’originalité c’est le ​

activité7: le disperssion des graines Au cours de l'évolution, les plantes ont développées différentes stratégies pour faire disperser leurs graines par les animaux. Ceci s'appelle la dissemination et la stratégie se nomme la zoocharie. Il y a deux sorte de zoocharie.L'épizoocharie qui consiste à ce que la graine soit transportée par le plumage des animaux. C'est aussi question des escrements d'animaux. Les plantes se font manger par les animaux, en revanche il faut que la graine resiste lors de la digestion

présente sur la quasi-totalité de notre territoire. Dans les régions tempérées on en relève plus de 150 espèces. Elle affectionne plus particulièrement les zones arides ou semi-arides et le bassin méditerranéen est considéré comme son centre de dissémination. Elle s’attaque à de multiples plantes, sauvages ou cultivées dont elle est intégralement dépendante. Dépourvue de chlorophylle, elle est incapable d’amorcer le processus de photosynthèse. Dépourvue également de racines normales, elle ne tire

régénération naturelle peut se faire naturellement sans l'homme ou aidée par lui. Elle se fait dans les deux cas par la dissémination des graines et propagules; par expression naturelle de la banque de graines du sol ou par apports via le vent, l'eau ou les animanx.IL faut également créer les conditions nécessaires à la germination (humidité suffisante, levée de dormance de graines et le cas échéant restauration d'un stade pionnier, installation des conditions de restauration d'un sol et ou d'une résilience

agamospermie (nf) : = type d’apomixie dans laquelle il y a formation d’embryons et de graines en dehors de la reproduction sexuée. On distingue deux voies : l’apogamie et l’aposporie. (voir ces mots) agrume (nm) : = hespéride, par extension certaines plantes de la famille des Rutacées, portant des hespérides. aigrette (nf) : faisceau apical ou latéral de soies ou de poils agrémentant certains fruits ou certaines graines. aigu (adj) : terminé en pointe ou formant un angle aigu. aiguille (nf) : feuille

regénération naturelle peut se faire naturellement sans l'homme ou aidée par lui. Elle se fait dans les deux cas par la dissémination des graines et propagules; par expression naturelle de la banque de graines du sol ou par apports via le vent, l'eau ou les animanx.IL faut également créer les conditions nécessaires à la germination( humidité suffisante, levée de dormance de graines et le cas échéant restauration d'unstade pionnier, installation des conditions de restauration d'un sol et ou d'une résiliense

accompagnée de l'apparition de la graine. Les graines sont des structures très résistantes bien adaptées pour la protection de l'embryon de la plante contre la sécheresse et, jusqu'à un certain point, contre les prédateurs. En outre, presque toutes les graines contiennent une réserve alimentaire pour la jeune plante. Les fruits des plantes à fleurs ajoutent une assise protectrice aux graines et attirent les animaux qui interviennent dans la dissémination des graines, élargissant ainsi l'aire potentielle

l'intérieur de telles populations il y a des chances qu'il existe une variation appréciable entre arbres individuels (génotypes). Selon le mode de distribution de cette variation dans le peuplement, dû à la nature des systèmes de reproduction et de dissémination de l'espèce, il se peut qu'à ce niveau encore l'on ait une perte de ressources génétiques de valeur, quand bien même la population survivrait dans son ensemble. A cet égard, il faut veiller tout particulièrement à assurer que la descendance des

d'échanges doiv ent donc être optim isées pour assurer au m ieux l'alim entation de la plante et pour ex ploiter son m ilieu ; des stratégies de reproduction doiv ent lui perm ettre d'échanger ses gam ètes à distance et de disperser son espèce via les graines dans les fruits. 1. Les échanges entre la plante et son environnement Comme tout être v iv ant, le v égétal réalise des échanges av ec son milieu de v ie : échanges énergétiques et de matière. Chez le v égétal, ces surfaces sont ex ternes, chez