Distinction entre liberté positive et liberté négative

de choses. Pr anticiper ls ent vont crée des codes déontologique, limite dc le risque éthique. Mais il faut pas confondre l'éthique et la déontologie, conduirai à dire que l'éthique se réduit aux respect d'un ensemble de règle. → pbmatique car lien entre l'éthique et la morale. Si on réduit le droit, au droit positif, revient à dire que tt ce qui est légale et légitime (ex : les esclavage), et non légale est non légitime. Weber qd il dit « le monopole de la violence légitime ». Ds légitime il parle

de l’humanité, par ses penchants brutaux. Il faut, par exemple, qu’elle le modère, afin qu’il ne se jette pas dans le danger comme un farouche ou un étourdi. Mais la discipline est purement négative, car elle se borne à dépouiller l’homme de sa sauvagerie ; l’instruction au contraire est la partie positive de l’éducation. La sauvagerie est l’indépendance à l’égard de toutes les lois. La discipline soumet l’homme aux lois de l’humanité et commence à lui faire sentir la contrainte des lois. Mais

utilisation et des bien non consomptible qui ont un caractère plus durable - distinction entre bien fongible et bien non fongible qui son des biens facilement comparables avec des biens de même nature (pétrole) ceux non fongible ont un caractère spécifique et ne peuvent que difficilement être comparée. On peut également distinguer les bien meubles des bien immeubles Du point de vue économique il existe des distinction - celle entre les bien de consommation final et bien de production les bien final

n’apparaît pas clairement (il est à reconstruire). _ Le problème du rapport entre le discours théorique et son objet, problème des modalités qui président à ce rapport. Cette question est au centre des préoccupations d’Adorno. → Adorno pense l’art et les OA à partir d’une philosophie de la culture et de l’histoire comme procès de la raison négative. La lecture de l’art contemporain que livre Adorno est redevable de sa théorie négative de la raison. La Dialectique de la raison œuvre écrite en collaboration

mot « droit » A. Les droits subjectifs 1. La notion de droits subjectifs 2. La classification des droits subjectifs 2.1. Les « droits de jouissance » et les « droits de compétence » en droit privé 2.2. Les « droits », les « pouvoirs » et les « libertés » en droit public 2.3. Les droits personnels et les droits réels B. Le droit positif 1. Le droit impératif et le droit dispositif 2. Le droit matériel et le droit formel Chapitre 2. Le droit, l’équité et la justice I. La justice commutative

 Commentaire de texte Kant, Métaphysique des mœurs, Doctrine du droit Principe fondamental du droit – La coexistence des libertés individuelles Kant (1724-1804), « dans la plus grande intimité de son être et de son génie, a été l’homme du droit » affirme Jean Lacroix, philosophe français, dans Kant et le kantisme (PUF, 1996). En effet, héritier du siècle des Lumières, Kant ne pouvait demeurer insensible au contexte qui l’entourait. Beaucoup d’ouvrages étaient à cette époque consacrés au droit

une distinction entre les libertés négatives et les libertés positives. Les libertés négatives sont celles annoncées par les droits fondamentaux, et la comptabilité de ces droits fondamentaux se fait uniquement par soustraction : tel pays ne respecte pas tel droit fondamental, par exemple, ou encore le tribunal constate que dans telle affaire tel droit fondamental a été bafoué. Les libertés positives sont celle qui sont mises en avant par exemple pour des aménagements facilitant la liberté de se

êtres vivants qui peuvent être libres dans la mesure où ce sont les seuls qui sont susceptibles d’agir sans y être déterminé par quelque chose .d’extérieur, par une autorité humaine ou par des causes physiques. Entre les êtres vivants il existe une distinction. En effet, la « liberté » des animaux est très imparfaite car ils ne font que suivrent leurs tendances naturelles ou leurs désirs. L’animal n’a pas le pouvoir de choisir de suivre ou de ne pas suivre ses instincts ; c’est pourquoi on dit

Libertés fondamentales Introduction I/ Les libertés et les droits : Cours de Droit 2/Droit de l’Hommes, droits fondamentales ? 3/ Classification possible I. Les libertés comme objet d’un Cours de Droit La liberté au singulier est définit par : « L’état de celui qui fait ce qu’il veut et non ce que veut un autre que lui ». C’est donc l’absence de contraintes étrangères. (LALANDE) . C’est une auto-conduite. C’est une notion qui a donné lieu à une masse de réflexions comme aucune autre notion et

II - Idéal démocratique et inégalités. Il s’agit ici de traiter des relations entre inégalités et justice sociale. Nous avons vu qu'il y a encore beaucoup d'inégalités dans la société moderne, ce qui pose la question de leur justification : au nom de quoi tolère-t-on des inégalités ? Pour comprendre ce problème, nous allons d'abord étudier ce qu'on appelle l'idéal égalitaire, c'est-à-dire la conception de l'égalité qui prévaut dans nos sociétés démocratiques, ce vers quoi on tend - sans forcément