Divertissement

l’étude que nous avons menée dans le cadre marketing de notre projet, nous ont permis de définir de façon un peu plus précise notre clientèle cible. Il en ressort que les clients types sont en général : Les familles Ce centre de divertissement a pour but d’atteindre le nombre maximal de famille et cela en leur offrant des promotions et des avantages selon leurs fréquentations successives tout en leur garantissant une ambiance familiale. Les groupes scolaires En dehors des

nous console de nos misères est le divertissement, et cependant c'est la plus grande de nos misères. Car c'est cela qui nous empêche principalement de songer à nous, et qui nous fait perdre insensiblement. Sans cela, nous serions dans l'ennui, et cet ennui nous pousserait à chercher un moyen plus solide d'en sortir ; Mais le divertissement nous amuse, et nous fait arriver insensiblement à la mort. Commentaire du passage à propos de l'Homme esclave du divertissement Introduction Les Pensées rédigées

tournée vers le profit, ce qui passe par une attention réservée aux goûts et attentes du public le plus large et le plus populaire, mais qui n’est généralement pas la conception de l’art qu’ont les milieux culturels. Le cinéma servait avant tout au divertissement, même si certains veulent lutter contre ce système et donner à Hollywood une ambition intellectuelle et artistique. Dès les années 1920, Hollywood accueille un grand nombre d’artistes européens désirant travailler aux Etats-Unis. C’est ainsi

se propose donc le théâtre, soucieux à la fois d'émouvoir et de faire réagir le spectateur. Mais laquelle de ces deux fonctions l'emporte sur l'autre ? I. Thèse : le théâtre est fait pour distraire On peut considérer le théâtre comme un divertissement, au sens banal ou au sens pascalien 2 du terme, dont l'essentiel et modeste talent consisterait à faire rêver un instant le public pour qu'il oublie ses soucis. Souvent critiquée, cette modeste fonction, fondée essentiellement sur l'émotion

L’inutile est utile. Un paradoxe ? Certes non, puisque la littérature est en soit inutile car elle est un divertissement mais un divertissement est utile d’après Blaise Pascal puisqu’il sert à nous faire oublier que nous allons mourir. Ainsi Michel Tournier constate que « la littérature est aujourd’hui considéré comme un ornement inutile ». Nous pouvons nous demander si la littérature (« l’ensemble des œuvres écrites auxquelles on reconnaît une finalité esthétique » Larousse) est vraiment inutile

Certains spectacles font réfléchir, dénoncent des choses, ont des portées politiques et se veulent ouvertement didactiques. D'autres font rêver, rire ou pleurer, mais ça va aussi au-delà du pur divertissement. Le théâtre a toujours eu un rôle cathartique (voir ce qu'Aristote en dit à propos de la tragédie qui permettrait aux spectateurs de purger leurs passions), et ça n'est pas pour rien si les gens se précipitent en masse au spectacle, prennent sur leur temps de vacances pour aller dans des festivals

lecture est un plaisir vécu individuellement qui conduit le lecteur à se retrouver seul avec le texte, la représentation, elle, est un divertissement partagé avec d’autres. On va au théâtre en famille, entre amis, avec sa classe. Le plaisir est alors partagé en commun. Autrefois on allait même au théâtre pour être vu et non voir. Il s’agissait d’un divertissement incontournable pour paraître en société. Tous ces choix ne sont pas anodins, ils sont porteurs de sens. Le metteur en scène est l’organisateur

de l’information et de critiques. Ces personnes nous permettent d’accéder à l’information qui nous permet non seulement d’être informé, mais aussi de nous forger une opinion personnelle propre. ¬ Qu’en est-il de l’écrivain spécialisé dans le divertissement ? Rabelais affirme que le rire est le propre de l’homme. Autrement dit, l’homme a besoin de rire comme il a besoin de nourriture. C’est la part de la nature en lui qui est sollicitée par les grands du rire et de la comédie dont François Rabelais

PENSEES : FRAGMENT 168 : DIVERTISSEMENT Introduction : Pascal est mathématicien, philosophe du 17ème siècle (1623-1662), auteur entre autres des "Pensées" qui consistaient en une apologie de la religion chrétienne. Dans cette oeuvre fragmentée il développe une pensée pessimiste de la condition humaine afin de souligner la nécessité de se tourner vers Dieu (il était janséniste). L'extrait étudié des "Pensées" est le fragment 168, celui-ci s'attache au divertissement, c'est-à-dire à la capacité

dans les loisirs, avec des montants d'achat moyen s'élevant à 194€. D'après les économistes, nous sommes dans une ère économiquement instable et qui risque de perdurer. Dans les temps de crise, après observation, nous pouvons aisément dire que le divertissement est l'opium du peuple. Si cette constatation perdure, les parcs d'attractions ne devront quant à eux ne pas connaître la crise. Les Français rechercheront toujours le moyens de faire une rapide rupture avec leurs quotidiens. Ils vont être en attentent