Divertissement

70 après JC, La parabole du riche et du pauvre Lazare de Saint Luc, puis, 1600 ans plus tard, un autre apologue, cette fois de La Fontaine, La jeune Veuve. Mais, il s’agit cette fois d’une poésie, contrairement à Saint Luc. Un autre atout de divertissement pour l’apologue est le mélange d’aventure ainsi que de rebondissement dans l’histoire. En effet, l’apologue ne se contente pas de raconter une histoire sans autre intérêt que de faire passer un éventuel message, il plonge le lecteur dans l’histoire

dans la démocratie athénienne. Dans un premier temps nous allons parler de l’intérêt du théâtre, ce qu’il permet de savoir, de faire et deuxièmement nous allons parler du rapport : théâtre / démocratie. Le théâtre permet aujourd’hui des divertissements tel que le cinéma mais il permettait dans la démocratie athénienne bien d’autre choses... . Le théâtre servait pour les concours, les pièces de théâtre, la poésie, les grands événements, etc. Contrairement à aujourd’hui les citoyens qui se rendaient

I) La comédie a pour fonction de divertir A. Le divertissement, une fonction essentielle de la comédie B. Le spectateur assiste à une comédie pour se divertir II) La comédie a aussi une fonction critique A. La comédie : miroir de l'homme B. L'identification permet la remise en question C. La visée morale de la comédie est-elle vraiment efficace ? III) Le rire et la fonction critique de la comédie sont indissociables A. Le rire permet une distance nécessaire à la réflexion B. Le

de pleine aire fut remplacé par de petite salle à l’entrée payante. Le théâtre est alors réservé a un publique riche et il faut attendre le vingtième siècle pour observer une décentralisation du théâtre avec la TNP de Vilar. Selon Pascal, un divertissement est une occupation qui détourne l’homme de penser aux problèmes plus essentiels qui devrait le préoccuper. Le théâtre a souvent un but divertissent, notamment dans les comédies, mais on lui attribut aussi un but plus utilitaire comme dans l’antiquité

scène des personnages qui nous sont étrangers, pour qui nous compatissons, dont nous partageons, le temps de la représentation, les joies et les peines. Si ces personnages nous divertissent et nous détournent, pour un temps de notre quotidien, ce divertissement même, loin de nous éloigner de nous-mêmes, nous met face à nos propres passions : c'est le phénomène de la catharsis. 1) La catharsis : définition Le terme de catharsis signifie purification : elle permet à l'homme, en se purifiant des

double : `a la fois homme de coeur, et homme de raison. Lorsqu’il pointe avec g´enie les contradictions qui habitent l’homme (superbe fragment 130 ), c’est au fond de lui-mˆeme qu’il s’engouffre ; lorsqu’il diss`eque avec lucidit´e la notion de divertissement (magnifique fragment 136 ), c’est `a sa p´eriode mondaine qu’il pense, p´eriode domin´ee par les sciences : (( Curiosit´e n’est que vanit´e le plus souvent ; on ne veut savoir que pour en parler ))(fr. 77) ; on ne parle le plus souvent que

aujourd’hui, c’est bien que l'idée que l’art est une sorte de moyen d’évasion. Elle va tellement de soi, que la plupart d’entre nous ne faisons même plus la différence entre les productions de la société de consommation qui ont pour vocation le divertissement et les créations artistiques qui impliquent, de la part de leur créateur, comme souvent de la part de l’amateur d’art, un véritable investissement, voire une vraie passion. Nous voyons dans l’art une sorte de moyen de nous donner des extases colorées

l'extrême ; espace ouvert = scène est comme un lieu blanc, neutre, vide où l'homme semble dénudé, démuni = atmosphère angoissante = forme de théâtre minimal = lieu sans repères réels = sans projet = un espace de l'ennui, de l'attente, du divertissement tragique 2) Une attente des genres (mélange tragique et comique) didascalie : nouveau phénomène de répétition, d'insistance par rapport à la didascalie initiale, accentuée par la loc.adv. "à nouveau" ; situation burlesque (souligne désespoir

les années 1960-70, sans doute suite à son usage répété dans l’expression « civilisation des loisirs », et a été utilisé par certaines personnes comme synonyme de divertissement, ce qui constitue une déviation importante de signification. Le terme «industrie des loisirs» fait directement écho à cette notion de loisir-divertissement, en proposant une vision productiviste (mercantile, disent certains) de la production de biens et services destinés à satisfaire les besoins des ménages liés à leur

pour sa survie. Le travail prive l'homme de sa liberté car, de nos jours, il se voit submergé par le travail qu'il doit réaliser et fournir, et n'a plus le temps de se divertir. En effet, la liberté étant vue majoritairement comme une forme de divertissement, et le travail comme une forme aliénante, l'homme s'auto-emprisonne dans son jugement, et se referme sur lui-même. Aux sources de notre civilisation, la liberté est la libre condition de l'homme qui n'est pas esclave ou prisonnière. Le travail