Divertissement

tragédie : Médée d'Anouilh, par exemple, ce serait l'occasion de purger ses mauvaises passions. J'espère t'avoir apporté un peu d'informations supplémentaires 8 14/03/2013 à 10:41 fandixhuit Ne pas oublier le sens que Pascal prête au "divertissement" : oublier que nous sommes mortels... Car enfin, que signifie, en profondeur, se divertir ? Se divertir de quoi ? De nos problèmes certes. Oublier le quotidien. Mais, si l'on réflechit plus avant... Bon, je sors du sujet. 9 14/03/2013 à 11:20

laisser le lecteur face à un paradoxe : le théâtre constitue-t-il un moyen efficace de véhiculer des idées ou est-ce avant tout un divertissement ? Après avoir montré que le théâtre s'inscrit comme un instrument de critique sociale ou politique, il s'agira de rappeler que le genre théâtral est avant tout une distraction, pour enfin montrer que grâce au divertissement, l'on parvient pourtant à transmettre des opinions. I) Thèse Certes, la dimension politique du théâtre permet une réflexion poussée

seul sans aucune sitisfaction des sens, sans aucun soin dans l'esprit, sans compagnie, penser à lui tout à loisir, et l'on verra qu'un roi sans divertissement est un homme plein de misères. Aussi on évite cela soigneusement et il ne manque jamais d'y avoir auprès des personnes des rois un grand nombre de gens qui veillent à faire succéder le divertissement à leurs affaires, et qui observent tout le temps de leur loisir pour leur fournir des plaisirs et des jeux, en sorte qu'il n'y ait point de vide

Extrait des Pensées de Blaise Pascal (1623-1662) Les Pensées = œuvre fragmentaire composée de liasses regroupés à titre posthume / thème dt principaux sont : vanité, misère, ennui, Divertissement et grandeur de l’H. L’œuvre était destinée au départ à la grande Apologie de la religion chrétienne et à laquelle Pascal se consacra pendant les dernières années de sa vie. Le pari de B.P soulève que seule la foi sauve (m^ si Dieu n’existe pas car il peut rapprocher l’H de la pensée et si Dieu existe alors

procédés comique utilisés dans la comédie . La définition du mot comique est bien claire «  qui provoque le rire , et qui appartient à la comédie  » . En effet , ce sens aussi simpliste soit-il , nous montre bien que ce terme rime avec rire et divertissement . S’il existe un lieu où l’on exprime de nombreux sentiments c’est bien le théatre et ses multiples facettes . Il existe , différents ressort de registre ( comique de situation , de geste , de caractére ... ) que nous allons traité . Premiérement

lui. L'histoire n'est vraiment pas dure a comprendre ce qui aide à une lecture calme donc de divertir le lecteur. Ce livre m'a beaucoup fait imaginer c'est ce qui fait que je peux attester du divertissement qu'il m'a apporté. Pour ma part je pense que l'imagination est vraiment un facteur majeur au divertissement. Enfin, l'envie que le personnage principale, Marie, du roman Le message, réussisse à retrouver son compagnon qui l'attend à l'autre côté de la ville et que si personne ne le prévient

un idéal pour la société toujours en quête de lui ressembler et cherchant à suivre son parcours. (Maillot à son effigie, coupe de cheveux identique, etc. …). b) Les sportifs représente un divertissement pour la société : spectacle et culte du sportif représentant de la réussite - exemple : Le spectacle que représente un match de foot ainsi que l’enjouement des spectateurs pour cet évènement. 3) Le sport de haut niveau représente une

scénique Didascalies, décor, costumes, accessoires, gestes, bruitages, lumière. II/Divertir le spectateur A. Etymologie Divertir vient du latin divertere : détourner Le divertissement nous détourne de nos soucis, de nous-même, des questions existentielles, change les idées, fait oublier le quotidien. (Pascal : le divertissement est une futilité, une vanité qui nous donne une illusion du bonheur et détourne de l’essentiel comme la mort, le sens de la vie, Dieu) Citation d’Bertolt Brecht, Petit organon

de communication. C'est ce procédé que Jean Jacques Rousseau utilise à travers une lettre qu'il donne à Madame de Warens dans Les Confessions. Cela permet à l'écrivain qui n'est pas à l'aise à l'oral de s'exprimer clairement. L'écriture est un divertissement : celui d'assembler les mots et choisir celui qui conviendra le mieux, plaisir de s'exprimer et de créer. « Ce qu'il y a de commun entre un malade du sida et un SDF, c'est la tentation qu'ont les autres de les pousser vers le ghetto. Le travail

l’honneur de Dionysos, un cortège au cours duquel les participants échangeaient des plaisanteries et des moqueries. Le rire apparaît ainsi comme le moyen d’évacuer les tensions et les soucis du quotidien. On remarque que le théâtre est un endroit de divertissement, c’est un endroit où l’on peut se « libérer » surtout avec le comique de geste comme dans le médecin malgré lui ou bien les Fourberies de Scapin de Molière. Le jeu sur le langage et le comique de répétition on aussi ce pouvoir de « libération »