Divinité

latin Deus, lui-même issu de la racine indo-européenne dei- « briller » qui, élargie en deiwo- et 'en dyew-, sert à désigner le ciel lumineux en tant que divinité ainsi que les êtres célestes par opposition aux êtres terrestres, les hommes3. Étroitement liée à cette notion de lumière, c'est la plus ancienne dénomination indo-européenne de la divinité qui se retrouve dans le nom du dieu grec Zeus dont le génitif est Dios. De la même racine est issue la désignation de la lumière du jour (diurne) et du

vivant « incorruptible et bienheureux ». L’idée que nous avons de lui correspond à son incorruptibilité et à son caractère bienheureux. Epicure parle d’ « esquisse » et non pas d’une définition du divin. L’homme a la notion de Dieu. Il pressent la divinité mais ne la définit pas totalement. C’est avec ces deux caractéristiques que l’on définit Dieu. Peu précise, elle provoque un certain mystère qui développe une sorte de crainte et un respect. Les dieux existent et l’homme a connaissance de cette présence

« déité » qui ouvre le poème est un premier indice. L’auteur montre qu’il y a un lien avec le surnaturel : »œuvre de quelque obi » évoque ici le résultat d’un sorcier. « Faust » est aussi l’idée du pacte avec le surnaturel. La femme est donc une divinité proche de la sorcellerie : « sorcière » qui a des pouvoirs occultes qui peuvent être dangereux. Le pouvoir produit par cette femme montre une soumission, un ensorcellement du poète. Il apparaît dans le deuxième quatrain où l’envoûtement est exprimé

« chantant à belle voix » v.78 et v. 84 : « La merveilleuse Calypso » v. 92 : « la déesse » v. 116 : « Calypso la merveilleuse » v. 159 : « La nymphe merveilleuse » v. 194 : «  la Bienheureuse » L’un des caractères principaux représentant la divinité Calypso est la description faite par Homère de son île (v. 59 à 74). En effet elle regroupe de multiples espèces d’arbres et d’animaux qui dans la réalité ne viennent pas de mêmes milieux et qui donc ne cohabitent pas ensemble. Par ailleurs la description

« me montra » passé simple à valeur ponctuelle Or, imparfait au début : état initial « semblait » Adverbe « à peine » b) Adoration pour Hyppolyte Antithèse : ennemi qui devient une idole Amour contre la religion : adverbe « tout » : il devient une divinité Adoration : champ lex de la religion « j’adorais Hippolyte » Métonymie : « ma bouche implorait » : désigne Phèdre : absence d’unité de l’être Lui fait offrandes : « au pied des autels que je faisais fumer » c) Elément perturbateur « superbe ennemi » oxymore :

inconnu a rappelé à la vie plusieurs amis ou ennemis de Sandow, disparus depuis des siècles. Celui-ci est obligé de quitter son monde de luxe et d'oisiveté pour affronter l'ennemi qui cherche sa perte. Mais ce dernier a usurpé le Nom d'une autre divinité et deux forces cosmiques colossales vont se heurter sur l'île des morts. Analyse : Les enjeux narratifs de L'Ile des morts, a priori propices à engendrer un honnête roman d'aventures spatiales, sont cependant détournés par son auteur

début. - Il a le bonheur, l’argent, le triomphe, mais il veut continuer à avancer, à monter dans le rang social : "un bond" du portique de l’église jusqu’à la madeleine, il compte profiter de cet élan pour devenir député. - Reconnaissant envers la divinité, il la remercie, il devient pour un instant croyant maintenant que les Dieux l’on béni mais il garde les pieds sur terre et redevient non-croyant aussitôt. - Après avoir regardé le palais Bourbon, il redescend les marches (de l’hypocrisie). 3)

jeunesse et la vie », elle est placée sur un piédestal telle une déesse que l’on invoque et à qui l’on voue un culte : le poète « au cœur altéré » en devient « pieux ». Mais c’est une piété orgueilleuse qui va donner au « poète pieux » l’accès à la divinité puisque le Dieu Vin « nous rend triomphants et semblables aux Dieux ». Baudelaire, en personnifiant le vin et en le dotant de bonnes intentions à l’égard de l’homme, transforme la dépendance de celui-ci en amitié chaleureuse entre l’humain et le

LECTURE ANALYTIQUE : Tristan et Iseult (Version moderne de 1973) L’évolution du personnage romanesque Précédé par l’Antiquité et le héros épique : Ulysse, Thésée, Hercule, Œdipe, Homère Héros aux forces surhumaines, souvent demi-dieu, confronté aux divinités et forces de la nature, héros guerrier et courageux, ancêtre du héros tragique Extrait typique du genre romanesque I. Le lieu de la rencontre amoureuse  « Locus Amoneus ». Un lieu clos : ici un verger dans un château. Iseult guette Tristan depuis

glorifier tout Rome ainsi que les dieux et les hommes tombés sous le charme d’Hélène, mais de montrer à quel point les atouts des deux modèles étaient susceptibles de rallier à eux, littéralement d’ensorceler les hommes les plus valeureux et les divinités les plus augustes. On assiste donc, dans un cas comme dans l’autre, à la peinture de deux êtres d’exception dont l’excellence, cependant, n’est pas garantie par l’énoncé de leurs qualités propres, mais par l’impact qu’elles eurent sur autrui, emportant