Divorce Et Separation Du Corps

1.      LES DROITS LIES AU MARIAGE Article 42-43: la femme mariée a le droit de conserver son nom de jeune fille. Le Code ne lui fait pas obligation de prendre le nom de son mari. Elle peut cependant l'ajouter au sien et même le garder après divorce sauf refus motivé du mari. La femme peut ainsi demander au juge de garder le nom de son ex-mari au cas où la déchéance de son nom occasionnerait des préjudices dans sa vie socio-professionnelle. | Célébration d'un mariage monogamique | Article

en effet, chaque Etat régit selon ses propres vues les relations privées internationales. Exemple : le domaine le plus important du droit international privé est celui des conflits de lois. En matière de statut personnel, c'est-à-dire mariage, divorce, filiation, la règle de conflit de droit international privé française dite « règle de conflit de lois » désigne la loi nationale de l'individu. Cette règle française est tout à fait différente de celle anglaise de conflit de lois qui désigne la loi

sont très innovantes. En effet, dans la loi du 3 Janvier 1968, il n’existait aucune disposition générale concernant la protection extra-patrimonial du majeur protégé. Il existait seulement des dispositions spécifiques, concernant le mariage et le divorce. Face aux lacunes de la loi, la jurisprudence s’était prononcée. Et précisément la cour de cassation dans un arrêt du 18 Avril 1989, a déclaré que les régimes civils d’incapacités (tutelle ou curatelle) ont pour objet, de façon générale, de pourvoir

de son mari. La femme mariée (tout comme son époux) peut également accoler le nom de son conjoint à son propre nom. Il suffit d'en faire la demande aux différents organismes qu'elle souhaite informer de changement. Nom en cas de mariage, divorce, séparation ou décès du conjoint. En cas de mariage La femme mariée conserve légalement son nom de jeune fille. Elle doit obligatoirement l'utiliser pour tout acte officiel. Toutefois, elle peut gratuitement, si elle le souhaite, faire ajouter le nom

famille: dans l ancien droit: la famille est dite patriarcale,elle est le socle d une société rurale,regroupe sous le meme toit parents et alliés.la famill est réglée à l epoque par le droit CANONIQUE (= religieux).en 1789 la revolution admet le divorce et promet l égzlité entre tous grace a cela les enfants concus hors mariages peuvent etre reconnus. De 1840 au dbt XX siecle le mariage est un contrat laique sans regime juridique enpruntée au dt canonique. Des années 1960à nos jours on integre

patriarcale de la famille , pénètre ds la société française ideaux lib et d égalité.Autorité du mari et du pere vont etre affaibli,pour la 1 ere fois le divorce est autorisé Code civil 1804 :compromis entre conception rev et patriarcale :code civil va réaffirmer l’ autorité du mari et du père,conception patriarcale ;Code civil va autoriser le divorce,conception rev Conception de la famille ds Code civil n a cessé d evoluer en raison d un certain nbre de facteurs :Evolution des moeurs , Evolution

et les obligations des hommes et des femmes en islam, le statut de la femme dans les différents courants islamiques et dans les différents pays musulmans est soumis à une grande variété, notamment en ce qui concerne le régime des mariages et des divorces, le code vestimentaire, ou encore le statut légal, les droits civiques et l'accès à l'éducation des femmes. Responsabilités de l’homme vis à vis de sa femme : La qawâma rappelle à l’homme l’importance de sa responsabilité à l’égard des femmes

respect des devoirs que la loi met à la charge des époux. Autrefois l'adultère était une cause péremptoire de divorce, C'était aussi une infraction pénale (l'adultère de madame) sur la plainte du mari. L'adultère du mari n'était pénalement pas puni mais l'entretien de la concubine au domicile conjugale était pénalement permis. Après la loi de 1975 ce n'est plus une cause péremptoire de divorce ni une infraction pénale. Celui qui ne respecte pas cette clause il devra réparer sa faute par l'article 1382

divergences et des convergences. De nombreuses règles juridiques sont en effet inspirées de règles religieuses, certains commandements religieux sont des interdictions au sens juridique (« tu ne tueras pas », « tu ne voleras pas »…). Mais depuis la séparation des Églises et de l’État en 1905, l’État français est laïc et le principe est celui de la neutralité juridique à l’égard du fait religieux (art. 1er de la Constitution). - Le droit et la religion n’ont pas la même finalité : le droit se préoccupe

et meurt sous l’effet du divorce. Pendant le mariage les charges du menages incombent au mari mais il est normal que la femme contribue a ce qu’on appelle en latin les ​Onera Matrimonii càd les charges entrainer par le mariage. Lors de la dissolution de l’union conjugal se pose les problèmes du sort des biens du ménage et la solution sera différente selon qu’on soit face à un divorce ou de la fin du ménage suite à un