Divorce Sous La Revolution

bouleversements sociopolitiques de grande ampleur, c’est dans ce contexte qu’apparaissent de nouvelles revendications. => Évolution des idées et surtout « l’esprit de liberté » se reflètent dans les œuvres des Lumières et à influencé les hommes de la Révolution. La France a été le foyer intense d’une vie intellectuelle et scientifique (cafés) =>Voltaire, Diderot, d’Alembert, La Harpe, d’Holbach, Montesquieu, Rousseau INTRODUCTION HISTORIQUE : Epoque de croissance, amélioration des conditions de vie

qui va donner des structures familiales avec des règles. Mais leur conception du droit de la famille a évolué, le clan visé s’est réduit. Avant on visait toutes les personnes qui habitées sous le même toit. La famille s’est réduite dans le groupe qui été appréhender. Les grands parents ne vivent pas sous le toit des enfants. La famille s’est également réduite en nombre d’enfant. Elle s’organise de façon différente (monoparentale, recomposé) Pour le droit français, influence de l’histoire, la

Séance n°4 : La France sous Napoléon (de 1799 à 1815) : rupture ou continuité de la Révolution ? L’empire et la rupture avec les acquis de la Révolution En France, Le Directoire qui dure de 1795 à 1799 prend fin par le coup d’État des 9 et 10 novembre 1799 de Napoléon Bonaparte. Les Directeurs furent contraints à la démission, les membres des Conseils, dispersés, et un nouveau gouvernement Le Consulat est mis en place, un régime autoritaire dirigé par trois consuls : Bonaparte, Sieyès et Pierre

comment la loi a-t-elle évolué durant la Révolution ? Comment la loi a-t-elle évolué durant la Révolution ? Durant la Révolution français, pas moins de 14 000 lois ont été adoptées en 10 ans. Il parait ainsi évident que dans le nouveau régime, la loi domine. Cette source du droit va évoluer sur divers aspects durant la période légicentriste qu’est la Révolution française. Le terme de loi correspond à la principale source formelle du droit objectif. Au sens large, la loi désigne toute

l’époque post révolutionnaire dans laquelle le code s’inscrit, la société française voue un culte a la codification (A), l’influence de ce code depasse les frontières française jusqu’a acquérir un rayonnement mondial (B) A. Le culte du code Avant la revolution de 1789, la France connait une législation très hétéroclite. En effet au nord, le droit est essentiellement constitué de règles coutumiers qui tirent leur origine de pratique germanique, tandis qu’au sud le droit est un droit écrit d’inspiration

monde domestique et sous contrôle masculin. Eternelle mineure, elle dépend d’abord de son père, puis de son époux. En effet, dès le début du siècle, le code napoléonien a restreint encore plus le peu de liberté que la femme détenait auparavant : elle ne possède aucuns droits civils et politiques. Elle est sous totale tutelle de l’époux pour les actes les plus banals de la vie quotidienne, comme trouver un travail ou ouvrir un compte. En 1816, le divorce, acquis de la Révolution, est interdit.

Iran, à Vienne en Autriche et un peu à Paris. C’est l’époque de la Révolution en Iran, de la chute du Chah. Peu après s’instaure la République Islamique menée par Khomeiny. En 1980 a lieu la première guerre du Golfe (entre l’Irak et l’Iran) qui dure jusqu’en 1988. PERSEPOLIS L’auteur : Marjane Satrapi est née en 1969, en Iran. Elle subit dans son enfance la restriction des libertés individuelles liées à la révolution islamique et à la guerre Iran-Irak. Elle étudie au lycée français

transmise par Jésus à ses disciples. La religion du Père, contribuera, notamment en France, à la mise en place d’un modèle social de type patriarcal ; Ce n’est qu’à la révolution que ce système sera remis en cause ; Les Français peuvent en effet se targuer d'être un des rares peuples de l'Histoire à avoir pratiqué, à la Révolution, ce qu'on peut appeler un « parricide monarchique », véritable parricide à l'échelle sociale. Il s'agit là de la première grande rupture dans l'affaiblissement progressif

par le sacre, est garant de l’unité religieuse de son royaume. Mais cette union entre politique et religion prendra fin dès la révolution française qui pose les principes de la laïcité : séparation de l’État et des cultes, sécularisation, égalité des cultes, liberté de conscience, etc. Lors de la formation de l’Assemblée constituante, point de départ de la Révolution française, le clergé est allié au tiers état et vote avec lui la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789

faire une institution juridique. Il convient néanmoins de veiller à ce que le droit n’intervienne dans la famille que dans de juste mesure. Le doit de la famille doit demeurer secondaire et n’intervenir que dans les « heures sombres » : séparation, divorce, mort, etc. Tout le reste doit être laissé aux autres règles, qu’elles soient coutumières, morales, sociales ou religieuses. La famille ne saurait donc être subordonnée à un droit tout puissant qui imposerait à ses membres des devoirs trop minutieux