Dogmatisme

lumières. L'intelligence humaine ne peut expliquer totalement le monde, ni le réduire à des catégories. Voltaire se méfie des systèmes et, lorsqu'il imagine Pangloss, ce n'est pas seulement pour critiquer Leibniz, mais aussi pour rejeter toute forme de dogmatisme (doctrine selon laquelle l'esprit humain serait capable de connaître la vérité, c'est à dire l'être, tel qu'il est en lui-même, et indépendamment de la représentation que nous en avons : en un mot l'absolu). Les Lumières n'affirment pas une doctrine

Dictionnaire historique et critique va devenir l'arme privilégiée du camp des "philosophes". L'Encyclopédie de Diderot (1713-1784) et d'Alembert (1717-1783) reprendra à son compte le militantisme philosophique et le combat contre l'obscurantisme, le dogmatisme, le fanatisme et le despotisme. Les idées de Pierre Bayle trouveront aussi un écho puissant chez Montesquieu (1689-1755), qui introduit en philosophie politique des notions décisives, Voltaire (1694-1778), héros de la lutte contre l'obscurantisme

Définition de l'humanisme Etymologie : du latin humanitas, nature humaine, culture, lui-même dérivé de homo, homme.  L'humanisme classique L'humanisme est un mouvement de pensée qui s'est développé en Italie pendant la Renaissance, en réaction au dogmatisme rigide du Moyen Age. Il propose de renouer avec les valeurs, la philosophie, la littérature et l'art de l'Antiquité classique qu'il considère comme le fondement de la connaissance.  Les humanistes de la Renaissance sont des érudits qui ont soif

notre pensée et délivre celle-ci de la tyrannie de I'habitude. Touf en ébranlanf nofre cerrrcude çonçernanf la nafirrc de ce qui nous entcure, elle accrcît énormément notre connaissance d'une réalité possible et dr&reqlS, elle fait disparaître le dogmatisme quelque peu ffiôga;,t Aâïèux qui n'ont jamais parcouru ia région du doute libÉfatel-r,€t garde lllggi notre sentiment d'émerveillement en nûus faisantîôFGs clôses familières ro.r* ,m *oCî nouveau. '# rl _ rcf,- Gl to^ f.l3J,;,,1

chevauchent. Il n’y a pas un gris intermédiaire qui serait la voie de la sagesse. Ni une couleur qui serait la voie du bien. C’est-à-dire que si le blanc représentait la lumière et qu’à l’image des saints nous ignorions le noir, l’altérité en somme, le dogmatisme pourrait être le résultat de ce choix. Les excès cultuels quels qu’ils soient y conduisent souvent. L’idée de cet équilibre des couleurs, de leur alternance parfaite est donc davantage d’accepter d’un même front les événements de la vie qu’affirmer

dénoncer tout les grands travers de la société (privilège de la noblesse, esclavage, fanatisme, religieux, torture, inégalité social). Les idéaux des lumières correspondent à l’idée de la tolérance, à la raison par le savoir, aux progrès contre tout dogmatisme, fanatisme, obscurantisme, superstition. Voltaire publie Candide en 1759 de manière anonyme pour échapper à la censure. Pourtant les senseurs cherche activement l’auteur de ce texte, c’est pourquoi Voltaire va rééditer son texte mais là sous un

rationnel, peut être autonome et peu s’assumer par rapports ses croyances puisque l’homme serait le centre de l’univers, le plus important et ce qui tourne autour est profane. L’être humain est libre de douter de tous sans avoir à faire face au dogmatisme. « La lumière naturelle nous enseigne que la connaissance de l’entament doit toujours précédé la détermination de la volonté. » Cette célèbre phrase citée par Descartes explique que la vérité nous démontre ce que l’on connaît, mais

notamment Zola, se questionnent sur ces mots avant de pouvoir écrire un roman. Le naturalisme refuse l’idéalisme mystique qui base les ouvres sur le surnaturel et l’irrationnel, le romantisme qui nie le réel en lui substituant l’imaginaire, le dogmatisme théologique qui affirme un absolu païen ou catholique. Dans la littérature le romantisme est très mal vue par les naturalistes en effet zola pense que « le romantisme est démodé comme un jargon que nous n’entendons plus».Les écrivains réalistes

I) L'Humanisme 1. Les débuts L'humanisme est un mouvement de pensée qui s'est développé en Italie pendant la Renaissance (XV/XVI/XVII eme siecles), en réaction au dogmatisme rigide du Moyen Age. Il propose de renouer avec les valeurs, la philosophie, la littérature et l'art. L'humanisme tire ses méthodes et sa philosophie de l'étude des textes antiques. 2. Définitions Dans son sens moderne, l'humanisme désigne tout mouvement de pensée idéaliste et optimiste qui place l'homme au-dessus de

s’inverser. Puérilité et maturité se confondent, le lecteur ne dispose plus de repères pour caractériser les personnages. C’est bien là la symbolique des personnages, ils ne permettent au lecteur de ne se prononcer sur aucune vérité, anéantissent tout dogmatisme. A première vue, les caractéristiques sociales des personnages certifient leur statut d’adulte, ou bien d’enfant, pour Zazie. Cette dernière passe de la garde de sa mère, à la tutelle de son oncle, Gabriel et les autres personnages ne manquent