Dogons

[modifier] Selon Cheikh Anta Diop[46], la comparaison des cosmogonies égyptiennes avec les cosmogonies africaines contemporaines (Dogon, Ashanti, Agni, Yoruba[47], etc.) montre une similitude radicale qui témoigne selon lui d'une commune parenté culturelle. Il avance une similitude du Dieu-Serpent dogon et du Dieu-Serpent égyptien, ou encore celle du Dieu-Chacal dogon incestueux et du Dieu-Chacal égyptien incestueux. L'auteur invoque également les isomorphies Noun/Nommo, Amon/Ama ; de même que la

cosmogonies : 3.1.1) Monde indéterminé Nous pouvons remarquer que dans le mythe grec, le monde au départ était chaos, où tous les éléments se mélangeaient comme dans les cosmogonies asiatiques. 3.1.2) Formation de l’Univers Comme chez les Dogons, l’Univers est au départ un œuf chez les Chinois. Un seul dieu engendre tous les êtres vivants comme chez les Egyptiens ou chez les Grecs. 3.1.3) Principe de totalité Le Yin et le Yang chinois pourraient se comparer aux principes masculin (Apsou)

sacrifice). « Mamy Wata et le monstre ». Abidjan : Nouvelles éditions ivoiriennes, 1993. 24 p. (Le Bois sacré) 8. Aly Zoromé, malien, a illustré entre autres, avec détail et rigueur, de nombreux titres jeunesse publiés par Le Figuier « Le Pays dogon ». Texte : Moussa Konaté. Bamako : Le Figuier, 2006. 37 p. (Voyage jeunesse) Sites Internet 1. LITAF, Littérature africaine francophone http://www.litaf.cean.org/ 2. Littérature et Culture de l'Afrique francophone et de la diaspora http://dl

se professionnalisera plus tard au début des 1930 (Griaule). Les anthropologues se sont intéressés à la société africaine par l’intermédiaire des administrations coloniales. 1950 Griaule milite pour la reconnaissance des peuples d’Afrique : « Les Dogons sont aussi respectables que les civilisations de l’antiquité occidentale ». 1.2 Révisions afro-centristes. → Entreprise de réhabilitation de l’Afrique. L’afrocentrisme est une série de courants mettant l’Afrique comme axe central de l’histoire

possible à la mythologie égyptienne, « lézards noirs et blancs qui tissent des étoffes » renvoie peut-être aux reptiles humanoïdes présents dans les légendes sacrées africaines, « jumeaux dans une calebasse de mil » suggère éventuellement les récits dogons, « bracelets de prêtres cliquetant autour d’un masque à cornes » connote des cérémonies africaines. Le narrateur voit surgir un syncrétisme religieux. Là encore Chamoiseau indique que les Caraïbes sont métissées de culture noire. Ces différents parcours

culte dynastique avec évocation des morts chez les Sakalaves de madagascar : le Tromba Le monothéisme Religions du livre et religions de la coutume L'Eglise à l'épreuve de la tradition : la communauté évangélique du Zaïre et le Kindoki Les âmes des Dogons Ecrits sur la royauté sacrée Le Jaïnisme Le Mukongo et le monde qui l'entourait : cosmogonie-Kôngo Le royaume de Dieu et le royaume de César Le bricolage africain des héros chrétiens Qu'est-ce que l'Islam Ouvertures sur l'Islam La vie de Mahomet L'Islam

un signe de liberté absolue. Donc, la symbolisation est ce qui rend disponible à toutes sortes de liaisons les plus inattendues. Dès lors, on comprend pourquoi Geneviève Calame-Griaule, dans son ouvrage: Ethnologie et langage: la parole chez les Dogon fait remarquer à juste titre: «Dans le monde ainsi créé, tout est « signe » et rien n=est gratuit, c=est-à-dire que chaque parcelle de matière renferme un message destiné à l=homme. La créature humaine est en situation dans un univers à son image

culturel où cohabitent des populations d’origines ethniques variées et aux modes de vie diversifiés. Les ethnies sont déterminées par leurs langues différentes. A coté des Bambaras (majoritaires), on trouve les peuls, les senoufos, les soninkés, les dogons, les songhaïs. Tout en conservant leur identité et leurs traditions, les ethnies se trouvent fragmentées de l’intérieur par des structures tribales et des hiérarchies sociales complexes toujours vivaces. Diverses nuances de l’islam : L’islam est

des Bantous de Zambie, admettaient qu'une femme mariée ait ouvertement plusieurs amants, à condition que ceux-ci rétribuent régulièrement le mari trompé; tandis que chez les Dancalis, sa complaisance lui valait toujours quelques têtes de bétail. Les Dogons du Mali et de la Haute-Volta ainsi que de nombreuses peuplades pratiquaient une forme de divorce par consentement mutuel, fondé sur l'abandon de l'un ou l'autre. En revanche, dans certaines tribus, la famille de la femme faisait tout pour la convaincre

perdu toute réalité, pour l’individu qui en est atteint elle peut encore évoquer la mort ». Une enquête socio anthropologique en Afrique montre que la tuberculose est appelée « toux blanche », « grande toux » ou « toux qui dure » en langue bambara, dogon et fufulbé. Cette maladie est perçue comme hautement transmissible, et cela se passe par le contact avec des corps ou des objets souillés. Les représentations populaires en font une maladie grave, contagieuse, héréditaire, honteuse ou résultante de