Doit On Distinguer De Bons Ou De Mauvais Désirs

passions, de répondre à ses désirs; il parait donc légitime de penser que le désir est une condition nécessaire au bonheur. Mais bonheur et désirs sont-ils compatibles ? Ne faudrait-il pas en réalité supprimer le désir pour être heureux ? Une enquête philosophique s’impose donc afin d’éclairer le rapport entre désir et bonheur. Dans un premier temps, nous verrons que le bonheur peut résider dans la suppression des désirs. Puis nous expliquerons en quoi la modération des désirs peut apparaître comme une

instaurant par là même un système inégalitaire.Rousseau se demande comment si «  la nature a fait l'Homme bon et heureux » les Hommes peuvent ils être si misérables et malheureux. L'état de nature forgée par Rousseau peut être assimilée à une hypothèse qui doit permettre de mieux comprendre l'état actuel de la société. 2/Situation dans l’œuvre L'extrait se trouve dans la seconde partie du Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes. 3/Plan de l’œuvre 1ère partie 

LA LIBERTÉ Introduction On peut distinguer la liberté publique, c’est-à-dire celle qui dépend de l’État où l’on vit. De la liberté psychologique, c’est-à-dire la façon dont on utilise sa liberté sur le plan individuel. Aujourd’hui, la liberté est une valeur positive, un idéal que tout le monde semble rechercher. Il y a deux façons de la définir : - soit l’absence de contraintes extérieures - soit le pouvoir de faire ce que l’on veut Le problème est que l’on est toujours soumis à certaines

sommes immoraux. A partir de ce modèle de vie morale, nous pouvons tirer certaines règles de conduite, qui seront autant de devoirs moraux. Epicure, soutenant une morale hédoniste, avance entre autres deux devoirs moraux : a) ne satisfaire que les désirs naturels et nécessaires (manger, boire, se reposer, se trouver un abri, etc.) et b) connaître le fonctionnement du monde, afin de ne plus souffrir de la peur des dieux (Lettre à Ménécée). Or, les disciples d’Epicure, comme tous les hommes, peuvent

de l’enfant pour ↓angoisse. Névrose obsessionnelle : insomnies car angoisse (voleurs…) → pratiques obesssionnelles Idées noires (dépression ?, inhibition intellectuelle ⌂ traits paranoïaques (amour/haine, projections) ⌂ dvpt précoce du Moi Analyste doit réclamer un contrôle partiel des affects Enfance : imagination et angoisse → accès à l’I Imagination = soulagement, libération Période de latence : - imagination, + refoulement → - accès à l’I 7/12 Rationalisation Le Moi se fortifie. Ralentissement

une question de degré. Ce qui distingue le bonheur du malheur réside dans la valence des émotions ressenties; La disposition à agir : les émotions préparent notre corps à répondre efficacement à une nouvelle situation; L’objet : Les émotions portent sur les objets; Les raisons : c’est une croyance qui motive notre émotion. Fonctions des émotions : essentiellement trois fonctions biologiques : Nous préparent à l’action; Nous indiquent quels sont les bons et les mauvais choix; Nous motivent à passer

diversité irréductible à l'instinct, uniforme au sein d'une même espèce. D'autre part, l'instinct est un dispositif naturel inné, alors que nos désirs sont loins d'être "naturels" et sont d'ailleurs modelés par notre culture. Enfin, l'instinct a toujours une visée adaptative (= la conservation et la perpétuation de la vie), ce qui est loin d'être le cas de tous nos désirs, dans la mesure où ils peuvent se révéler inutiles, voire contraires aux exigences adaptatives du vivant... En bref, le désir paraît s'écarter

c'est-à-dire de faire ce que l’on a envie de faire, faire ce que l’on veut. On parle alors de liberté comme possibilité ou pouvoir de faire quelque chose. Ou alors on peut associer la liberté au vouloir, décider par soi-même, faire nos propres choix. On distingue alors deux types de libertés : liberté extérieure et liberté intérieure. La liberté extérieure, c’est la liberté de faire ce qu’on veut, c’est le pouvoir de faire ce qu’on a décidé de faire ou simplement envie de faire. Extérieure, parce qu’on est

Introduction L'opposition du bien et du mal, de la morale et de l'immoralité, des bons et des méchants, n'est selon Nietzsche qu'une illusion utile à la conservation d'un type humain : les prêtres, qui se servent de ces notions pour étendre leur domination à l'ensemble de l'espèce humaine. Il en fait la critique dans le passage de Humain trop humain que l'on se propose d'étudier, en analysant la définition que donnent les moralistes de la méchanceté. Il leur objecte qu'elle n'a pas de sens, ou qu'elle

moteur de l'homme : il fait partie de son origine et contribue à la définir. Cependant, on peut aussi considérer le désir comme une source de souffrance, car le désir est tout-puissant et subordonne la raison. Certains cherchent donc à se libérer des désirs, mais il s'agit surtout de les maîtriser et de les limiter. ILe désir, essence et moteur de l'homme ADésir et besoin Il existe une différence essentielle entre le désir et le besoin : le besoin peut être satisfait alors que le désir est insatiable