Doit On Obeir Aux Lois Démocratie

Peut-on concevoir une liberté sans lois ? Peut on concevoir une liberté s ans lois ? Si l’on en croit Rousseau, « il n’y a point de libertés sans lois ». Cependant comme, l’histoire nous l’a prouvé il peut y avoir de lois qui privent les libertés a l’exemple des dictatures exercées dans la première moitié du XXème siècle comme l’exerçaient Hitler avec le Nazisme, Mussolini

quelque sorte, son instituteur » Machiavel dans Le Prince l’avait dit : « Les hommes ont inventé l’Etat pour ne pas obéir aux hommes ». Autrement dit, la création de cette entité appelée couramment l’Etat relève d’une forte volonté des citoyens, dans le cadre d’une société, d’ériger une institution, un cadre leur permettant de vivre ensemble. Les hommes ne voulant pas obéir à leurs semblables, ont préféré se dépouiller d’une partie de leur liberté et la mettre dans les mains d’un souverain, choisi

dont l'âme est juste, désintéressée, qui connaît la vérité, ce qui lui permet d'installer un ordre. Puisque le philosophe exerce sa pensée, il a le droit de gouverner. Il existe une compétence politique (livre8 de la République: critique de la démocratie, qui offre le pouvoir sans le savoir, et qui est surtout un gouvernement de l'opinion) Il propose une tripartition de la Cité : le philosophe-roi , les gardiens de la Cité, les paysans et artisans, déterminés par leurs désirs, calques des 3 composantes

encadré par des lois, selon Socrate, les lois éviteraient l'anarchie. C'est pourquoi le contrat social doit être mis en place pour une meilleure vie social. L’État va poser des limites pour éviter les débordements. L’État met donc des limites aux désirs de chacun, c'est une contrainte qui va limiter la multiplication de nos désirs et nous garantir la liberté de faire ce que l'on veut vraiment avec notre raison et non ce que l'on désire car je désirerais toujours plus. Quand je suis les lois je suis indépendant

participier à l’exercice D pouvoirs D juges et D magistrats, pour lui, le citoyen peut exister dans la démocratie car ds les autres régimes le pouvoir n’appartient qu’à une ou qq personne. Déf courante du citoyen = l’enfant né de parents tout 2 citoyen. * A athène la vie de la cité est l’affaire de tous, meme esclaves + etranger MAIS l’exercice des droit politique est reserver au citoyen. La démocratie n’est pas le pouvoir de tous mais de ce qui constituent le peuple = LE DEMOS LA citoyenneté se

..................................................................................................... La liberté de se servir de son propre entendement.............................................................. La liberté, la démocratie et la république............................................................................... La liberté et le droit.................................................................................................................

faisait donner à ses statues. » ( Montesquieu, de l'Esprit des lois, livre VIII, 6-7-8) Par cette citation, il est aisé de constater que « l'autorité », qui est le pouvoir de commander, de se faire obéir et de décider, peut se présenter sous différents aspects. Elle peut-être juste ou injuste, légitime ou illégitime. Quant à savoir, dans quelle mesure l'autorité est respectable, l'histoire nous apprend que les conquêtes de la démocratie se sont faites par une lutte incessante contre l'autorité absolue

possible son existence d'être vivant. En effet, sans lois, sans règles, et sans limites, est évidente la mise en place, de manière naturelle, de l'anarchie, c'est-à-dire l'absence de gouvernement, et l'anomie, c'est-à-dire l'abscence de principes communs: à l'état nature, c'est la loi du plus fort qui domine. Ainsi, c'est par ce besoin de justice que ressent de l'homme, que se crée l'État, le gouvernement, qui, lui-même, par le biais de ses lois, donne des limites aux êtres humains, pour éviter que

de la loi en tant que norme est un sujet plus que jamais d’actualité, dans le cadre de la Constitution européenne et de la réforme de la Constitution de 2008. L’autorité se définit comme un crédit, une influence grâce à laquelle on se fait obéir. L’autorité de la loi désigne donc la force normative de la loi, la manière dont la loi est respectée. Une loi est « une disposition normative et abstraite posant une règle juridique d'application obligatoire  sur un territoire donné». Mais la loi

pas l’affaire de tous ? La politique est elle-même un mot au sens large, polysémique. Le sens qui se dégage principalement est celui de la politique comme espace symbolique de compétition pour la conquête et l’exercice du pouvoir. On admet que la démocratie contient un espace de compétition pour une conquête du pouvoir alors que ce pouvoir est déjà dans les mains du peuple. Le peuple délègue son pouvoir aux mains de représentants mais il ne le perd aucunement. On peut donc se poser la question quelle