Doit On Se Mefier De Sa Conscience

jusque-là, et les disperse à la face de la Terre. Il faut par conséquent savoir que la motivation que génèrent les rêves n’est pas toujours basée sur de bonnes intentions et peut conduire au pire résultat. Chacun peut puiser dans ces rêves mais cela ne doit pas conduire a faire des chose incorrectes.  Mais il n’en demeure pas moins que, convenablement maîtrisé, le rêve est une des bases maîtresses dans la volonté d’entreprendre et de s’engager.  Rêver permet de s’évader Le rêve est aussi un moment

Le désir est d'abord la prise de conscience d'un manque, dont la satisfaction procure du plaisir. Ce manque peut-être un objet, comme une maison, mais il peut aussi être un état d’âme tel que le bonheur, une personne, etc. Une fois qu’on a satisfait ce manque, il se crée toujours un nouvel. Par exemple, si on désir d’acheter une nouvelle voiture, une fois qu’on l’ait achetée, on va désirer de la conduire, ensuite, on va désirer d’aller rendre visite à un ami, et ainsi, un autre désir va surgir jusqu’à

faisait confiance, il devra donc être entièrement dépendant sur eux et compter dessus pour percevoir le monde. En premier lieu, nous verrons en quoi il est important de faire confiance à nos sens et en second lieu, nous étudierons pourquoi l’homme doit se méfier et ne pas être complètement dépendant sur ses cinq sens. Nos sens servent à percevoir notre environnement, et dans ce sens, ils participent à la construction du savoir. Kant disait que malgré le fait qu’on ne puisse pas se fier uniquement

réel dépend de notre langue, de notre milieu culturel, de notre groupe social et des habitudes qu’on y a, des représentations que nous nous en faisons, qui nous servent de monnaie d’échange dans les rapports humains. Nous n’avons pas spontanément conscience que nos représentations, nos jugements, nos valeurs sont fabriqués, convenus, sont le résultat de conditions qui nous échappent : même le sentiment que chacun a de soi et de ses voisins baigne dans cette sorte de pénombre. Mais nous les revendiquons

naturelles / humaines : Très problématique : on a pensé que l’homme renfermait dans sa nature biologique les raisons de ses comportements. Les sociologues montrent que l’homme ne doit plus grand-chose à sa constitution biologique héréditaire (≠ animaux). Ses instincts sont anecdotiques. Le fondement de la société humaine doit être recherchée hors de l’homme lui-même (=nature). L’homme apprend beaucoup du contact avec les autres. Les hommes ne sont pas liés par des réflexes, instincts mais des codes

d'hommes qui pensent, pourtant tous ont des opinions." Berkeley. Ce qui distingue penser et avoir des opinions c'est l'aptitude au dialogue "preuve de la pensée parce qu'il en est l'épreuve." dira Alain. II/ Les raisons philosophiques pour se méfier de l'opinion L'Histoire de la philosophie nous présente 3 itinéraires fameux, trois "procès en règle": - Celui de PLATON: au nom de la justice - Celui de DESCARTES: au nom de la vérité - Celui de KANT: au nom de la liberté. 1°) Platon, dont

pauvreté du Père Goriot en visitant sa fille, la Comtesse Anastasie de Restaud. Déjà, sa situation financière lui permettait de vivre au premier étage avec les plus riches. Mais, avec le temps, après avoir donné toute sa fortune à ses filles ingrates, il doit monter d’étages où vivent les moins riches. Il devient tellement pauvre que ses filles le visitent en secret seulement. Il les gâte jusqu’au point où elles perdent respect pour lui. Rastignac forme une amitié avec le Père Goriot et devient son confident

matériel informatique défaillant, elle est remise à neuf en gardant sa structure externe, mais allégée de ses programmes et de ses virus. Elle n’a plus que 3 ans, et, les yeux grands ouverts et elle doit tout apprendre. Armée de son maillet et son ciseau, munie de quelques symboles, plus ou moins obscures, elle doit tailler sa pierre, mais le tout, en silence. Le voyage vers le silence, un voyage vers la sérénitéLors de l’initiation, seules dans le Cabinet de Réflexion dépossédées de nos métaux, nous sommes

Alain ne nous dit ici rien de plus que ce que dit l’opinion : l’erreur est humaine. Mais si on y regarde de plus près, il nous dit plus que cela. Pour le sens commun, cette expression signifie qu’il est normal de se tromper et qu’il faut donc se méfier des hommes mais peut-être aussi de la vérité qui serait inhumaine, trop forte. Pour Alain, c’est tout autre chose. Son point de vue sur l’erreur n’est pas négatif. Alors que l’opinion vénère la vérité et combat l’erreur, l’auteur pose cette dernière

aussi que l'humain à la capacité de douter ce qui l'apporte a pensé et a existé « Je pense donc je suis ». La capacité intellectuelle de l'humain l'apporte à avoir des idées et à pouvoir douter de tout, ce qui illustre que l'humain existe avec une conscience de soie. Si l'être fait bon usage de la raison méthodique. Il arrivera toujours à la bonne réponde d'apprêt Descartes. « L'idée du parfait vient d'ailleurs. »Descartes explique que l'humain ne peux pas avoir créé l'idée de la perfection, car il