Dom Juan Contexte

Commentaire de texte : Don Juan, III, 2 La scène du pauvre La grande originalité de Don Juan de Molière par rapport au mythe, c’est l’aspect religieux : Don Juan, non content de contester par son existance même les valeurs morales aristocratiques, le sacrement du mariage et le respect dû au père, s’attaque au fondement même de la société. C’est un libertin, non seulement au sens moral que le mot prendra au XVIIIe siècle, mais au sens fort que prend le mot au XVIIe siècle : athée, ou sacrilège

l’existence humaine un sens uniquement terrestre. Il assure la transition entre l’humanisme de la Renaissance et la philosophie du siècle suivant, celui des Lumières. Cyrano de Bergerac est le représentant le plus éminent de la pensée libertine. Dom Juan, héro tiré de l’œuvre de Molière, est emblématique de cette attitude. LIBERTIN Le mot « libertin » vient du latin libertinus, signifiant « affranchi, libéré ». Ce terme, qui s’appliquait dans la Rome antique aux esclaves affranchis, tout juste

le roman courtois. Dans les romans courtois tous les exploits chevaleresques ont pour but de plaire à la Dame du cœur et de faire valoir les qualités individuelles du héros. L'adjectif « courtois », formé sur le mot cour, permet de comprendre le contexte aristocratique du récit. Le parfait héros courtois est toujours partagé entre l'aventure et l'amour. Le merveilleux chrétien et le surnaturel occupent une grande place dans le récit et en sont les éléments permanents. La nature et certains personnages

Anaphore : Toujours aimer, toujours sourire, toujours vivre davantage… Ou chez Victor Hugo, lire ici— et pour l’épiphore : Dans son discours, rien ; dans ses actes, rien ; ce vantard n’est rien et moins que rien. | Antiphrase | Déf. : Selon le contexte, façon d’exprimer le contraire de ce qu’on pense. Un moyen fréquemment utilisé pour l’ironie.Exemples : À la vue d’un tas de fumier devant une maison, dire : « C’est coquet ! » Voir se faire arrêter par les gendarmes quelqu’un qui venait de doubler

les principes qui mènent au vrai, mais que nous en avons d'autres qui s'accommodent très bien avec le faux. » ➢ Simone de Beauvoir, Le Deuxième Sexe (1949) [extrait de la 4ème partie, chap. 14] [essai] + manuel p.200 Situation du passage et contexte : Dans la première moitié du XXème siècle la condition sociale, morale et politique de la femme change enfin : l’appel à la main d’œuvre féminine pour faire tourner l’économie alors que les hommes sont au front pendant la première guerre mondiale

que c’était la même personne”. Cette parodie d’homme de santé laisse Toinette établir un diagnostic sur des signes sains: appétit et sommeil, loin de respecter une conclusion de protocole médical. D’autres œuvres révèlent également ce comique, dans Dom Juan, autre pièce de molière, le grand séducteur et libertin éponyme de la pièce se retrouve dans cette scène II, 4, confronté à deux de ses conquêtes à qui il a fait la même promesse, des fiançailles. La rencontre de ces deux paysannes séduites créent

« sans valeur ». Il touche tous les domaines artistiques, sculpture, peinture, littérature, architecture, théâtre et musique et se répand rapidement dans la méditerrané toute entière. Ce style succède à la Renaissance. Contexte historique : Le baroque se développe dans un contexte politique instable : En France, le pouvoir royal, affaibli dans la première moitié du XVIIe siècle par les régences et par l'offensive d'une partie de la noblesse, la «Fronde» (1642-1661). En Italie, le duché de Milan

mettre des sens cachés concernant des défauts humaines ou même des questions philosophiques, et ainsi exprimer son point de vue pour les spectateurs attentifs - ou bien, autrement dit, communiquer ses expériences et passer un message au public. Le contexte historique se relève assez important - pourtant les comédies se déroulent presque toujours dans l´époque où elles étaient écrites, dans l´époque de l´auteur qui voulait, entre autres, faire remarquer des problèmes actuelles de la société. Mais cela

Plus vraisemblable, cette exposition permet de nouer une intrigue entre les personnages secondaires, en contrepoint de l'action principale. Sganarelle : Eh! mon pauvre Gusman, mon ami, tu ne sais pas encore, crois-moi, quel homme est Don Juan. (Molière, Dom Juan, Acte I, scène 1,1665)   Loin de s'en tenir à un rôle fonctionnel, l'importance de Sganarelle s'affirmera cependant de plus en plus tout au long de la pièce.   V- Le dialogue entre deux héros : Qu'ils s'affrontent ou se déclarent leur

du XVIIème siècle. L'écrivain devait les respecter, sinon ce qu'il avait écrit n'était pas considéré comme une oeuvre. En revanche, même si la liberté du thème de la pièce demeurait, il fallait respecter d'autres règles plus implicites: la pièce Dom Juan de Molière fut censurée, car elle était jugée “injurieuse à la religion et capable de produire de très dangereux effets”; les règles de la bienséance qui sont des règles explicites furent respectées, mais le contenu en lui-même était contre toute