Dom Juan Element Tragique

raffiné et surtout réalistes contrairement au romantisme qui se fonde sur l'imaginaire. Classicisme au théâtre Pendant la première moitié du 17e siècle, les gens apprécie plus les tragicomédies (Pièces théâtrales contenant un mélange de comique, tragique, farce, mélodrame …), pièces romanesque aux décors compliqués. Mais plus on avance dans le siècle, plus les décors et les textes se simplifient ( sous l'influence des théoriciens ) pour aboutir à ce que l'on appelle aujourd'hui le théâtre classique

Dissertation : Dans son ouvrage Don Juan ou l’héroïsme du désir, Camille Dumoulié affirme que l’excès qui « a fait perpétuer le mythe [de Don Juan] jusqu’à l’époque moderne, l’excès, dont on peut dire qu’il inscrit Don Juan dans la lignée des héros de la tragédie grecque, coupables d’hybris […]. ------------------------------------ C’est avec l’œuvre de Tirso de Molina El Burlador de Sevilla que le « mythe de Don Juan » apparait au début du XVIIe siècle. Il s’agit ici d’un personnage caractérisé

et la comédie. La tragi-comédie serait plutôt une tragédie qui « se termine bien », une tragédie « romanesque ». L’amour y tient une grande place, les péripéties sont nombreuses et les scènes familières (tirées du quotidien) remplacent les scènes tragiques. Pastorale : la pastorale est l’histoire d’un amour tendre et naïf longtemps contrarié entre bergers et bergères, mais dont le dénouement est heureux. Au 19e siècle, la tragédie est remplacée par le drame romantique et elle est contestée par

comédies,jugées scandaleus l’auteur souligne de fait la fonction cathartique du genre : certains exégètes ent ​d’ailleurs n’hésitent pas à interpréter dans ce sens le fame éloge du tabac de Sganarelle dans ​Dom Juan I,1 La comédie « réjouit et purge les cerveaux humains …instruit les âmes à la vertu et l’on apprend avec (elle) à devenir honn homme. » Cette phrase devenue emblématique, propose une définition de la comédie en général

est-elle véritablement nécessaire au plaisir du spectateur ? Les dramaturges et les metteurs en scène ne le mettent-ils pas en péril lorsqu'ils dévoilent les artifices qui constituent cette illusion, ou qu'ils ne la respectent pas ? Afin d'apporter des éléments de réponse, nous analyserons d'abord comment le galvaudage de cette illusion peut nuire à l'épanouissement du spectateur. Puis nous observerons que ce même épanouissement n'est pas forcément l'esclave de l'illusion théâtrale, pour ensuite réaliser

rôles tragiques, Molière cherche dans la tragédie une profondeur et une dignité d'expression qui n'offraient ni la farce ni la comédie d'intrigue, suite à l'échec de Don Garcie, pour exprimer sa personnalité, il doit élever la comédie à un rang égal à celui de la tragédie. Il termine en quelques mois L'École des Maris(1661) et retrouve son public avec une comédie d'intrigue mêlée de farce, doublée comme les Précieuses Ridicules d'une peinture de mœurs et de caractères, mais enrichie d'un élément nouveau

attendre le XIXème siècle pour que les Romantiques bannissent ces codes. L'objectif de la tragédie est de se « purger » grâce à la « catharsis » qui est une sorte de purification, selon Aristote. C'est pour cela que, durant l'antiquité, les grands tragiques grecs s'inspirent de mythes et de l'histoire et choisissent pour leurs pièces des familles maudites comme les Atrides et les Labdacides où ils mettent leurs personnages face à la fatalité de leur destin. On pense notamment à Médée, d'Euripide, qui

de voiture qui leur a couté leurs jambes. L’intrigue de cette pièce est assez floue. On ne sait si la journée représentée à travers l’œuvre est une journée comme les autres, se répétant de jour en jour, ou si cette journée se différencie par des éléments nouveaux, inquiétants car Nell semble mourir, Clov, a la fin de la scène semble prêt à quitter Hamm. Le spectateur peut donc s’interroger, si ces évènements sont « uniques » et se sont réellement passés, ou s’ils se répètent de jour en jour. Oh

Une scène d'exposition Elle apporte en parti les renseignements attendus mais elle est quand même particulière puisque c'est un monologue, et que celui-ci nécessite une mise en scène bien spécifique. De plus il nous manque des éléments sur l'intrigue. Ne parle pas encore spécifiquement de la comédie. Mentionne-le (dès l'intro selon moi) mais n'en fais pas une sous-partie. II. La mise en place d'une comédie Et un III éventuel puis qu’apparemment tu en as un "La scène d'exposition", au risque

aussi des jeux de mots, de calembours, néologismes (mot ou sens nouveau), énumérations inattendues… Pathétique : appel au pathos (sentiments). Il inspire l’attendrissement et la compassion en employant des phrases interrogatives ou exclamatives. Tragique : exprime le sentiment de l’homme qui prend conscience de forces qui le dépassent (divines, politiques…). C’est une situation est sans issue telle qu’un homme condamné à mourir. Il utilise le lexique de la fatalité, du désespoir… Lyrique : chant