Domination Traditionnel

droit. CCL La politique c’est l’exercice du pouvoir. La mise en œuvre du droit par le moyen éventuelle de la force. Partie 2 : Le pouvoir : un mixte d’autorité et de légitimité  Le pouvoir n’est pas la domination (Ex : le monde animal : les abeilles non pas de chef). La domination c’est la capacité a imposé aux autres ses propres volontés. La soumission n’est pas l’obéissance. Qu’est ce qu’obéir ? C’est avoir la possibilité de faire autrement, c’est pouvoir désobéir. Si on obéit c’est

C’est l’idée, le phénomène par lequel une ou plusieurs personnes obtiennent d’une ou de plusieurs autres personnes, un certain comportement qu’elles n’auraient pas eu de manière spontanée. Dans ce dernier sens, le pouvoir renvoi à la notion de domination et c’est cette dernière approche qui intéresse le plus la sociologie politique. Le qualificatif politique possède plusieurs sens : → A l’ origine, dans la cité grecque, le mot politique désigne les affaires de la cité c’est-à-dire par extension

processus en question. * Evolution de la production : Comme on peut le remarquer sur le graphique précédent, la production de diamant ne cesse d’augmenter depuis 1990. Il faut ici différencier les diamants naturels qui sont des diamants traditionnels, extrait des mines de diamants, et les diamants synthétiques qui ont les mêmes qualités mais qui sont créés artificiellement à partir de carbone dans des conditions de hautes pressions/ basses températures. * “Value Chain”: Ce graphique

la personne concrète qui l’occupe), et, de fait, toute entreprise en a une. Ce type de structure correspond, nous l’avons vu à un mode d’exercice du pouvoir. Max Weber (1922), le premier, a observé que toute société devait reposer sur un type de domination reconnue comme légitime. Dans ce modèle d’organisation, les règles déterminent à la fois l’autorité et les activités structurées en fonctions officielles et hiérarchisées qui sont remplies, selon des procédures écrites, par des « fonctionnaires

l’actualité qu’au quotidien. Nous avons pensé qu’il été nécessaire de donner des définitions précises de la violence dans le cadre de notre étude pour bien saisir les concepts et les enjeux qui en résultent. * Violence physique: comportements de domination ou asservissement employant la force physique (coups, viol, torture...), verbale et psychologiques (injures, injonctions paradoxales, harcèlement, privation de droits ou liberté, abus de position dominante...) * Violence symbolique : C'est

toute chance de faire triompher, au sein d’une relation sociale, sa propre volonté, même contre des résistances, peu importe sur quoi repose cette chance ». Il existe selon lui trois types de légitimité pour exercer le pouvoir : • La légitimité traditionnelle fonde sa légitimité sur le caractère sacré de la tradition. • La légitimité charismatique est exercée par une personnalité exceptionnelle qui possède une remarquable force de conviction et qui sait mieux que les autres rassembler un groupe social

le pas, mais d’une manière quelque peu restrictive. Relève de la police le recours, par une société, à une force organisée pour imposer l’obéissance. Il est vrai que Max Weber servait de caution : L’Etat n’est-il pas à ses yeux un groupement de domination disposant sur un territoire du monopole de la contrainte légitime ? […] Ce qui rassemble culturellement les policiers n’est pas l’expérience, ni la mission ou le statut, que chacun interprète en fonction de ses propres attentes, mais un espace de

explique sa domination et le fait que celle-ci perdure. Pour La Boétie, les gouvernants ont plutôt tendance à se distinguer par leur impéritie. Plus que la peur de la sanction, c'est d'abord l'habitude qu'a le peuple de la servitude qui explique que la domination du maître perdure. Ensuite viennent l'idéologie (que Marx appellera opium du peuple[réf. nécessaire]) et les superstitions. Mais ces deux moyens ne permettent de dominer que les ignorants. Vient le « secret de toute domination » : faire participer

L'abbaye de thélème Toute leur vie était dirigée non par les lois, statuts ou règles, mais selon leur bon vouloir et libre-arbitre. Ils se levaient du lit quand bon leur semblait, buvaient, mangeaient, travaillaient, dormaient quand le désir leur venait. Nul ne les éveillait, nul ne les forçait ni à boire, ni à manger, ni à faire quoi que ce soit... Ainsi l'avait établi Gargantua. Toute leur règle tenait en cette clause : FAIS CE QUE VOUDRAS,car des gens libres, bien nés, biens instruits, vivant

[...] Bonaparte appartenait si fort à la domination absolue, qu’après avoir subi le despotisme de sa personne, il nous faut subir le despotisme de sa mémoire. Ce dernier despotisme est plus dominateur que le premier, car si l’on combattit quelquefois Napoléon alors qu’il était sur le trône, il y a consentement universel à accepter les fers que mort il nous jette. Il est un obstacle aux événements futurs ; comment une puissance sortie des camps pourrait-elle s’établir après lui ? n’a-t-il pas tué