Don César de Bazan

dont l’action se passe à la fin du 18ème siècle à la cour du roi d’Espagne Charles II. Ruy Blas, le héros, est un laquais au service de son maitre Don Salluste. Ruy Blas est amoureux de la Reine mais son maitre poursuit une vengeance personnelle contre cette reine et il a donc d’introduire son laquais, Ruy Blas, à la cour sous le nom de Don César de Bazan. Or, cette jeune reine qui est délaissée par son mari, le roi, est troublée par l’inconnu qui lui a déclaré son amour en lui déposant des fleurs

traduisant un ressentiment contre Don Salluste. | Le personnage est le valet de Don Salluste, mais ne l'apprécie pas. | Don Salluste | Jacques Bachelier | Habits noirs, sombres, avec quelques bordures scintillantes marquant la richesse et une épée sur le côté. | Très droit, gestuelles sèches, impose sa présence, une parole avec un rythme rapide mais avec une voix lourde, sombre. Expressions du visage et des intonations qui laissent apparaître une colère et du machiavélisme. | Don Salluste est autoritaire

dans un collège, ce qui lui permit de nourrir quelques ambitions. Il mena d'abord une vie de bohême, libre mais pauvre, durant laquelle il rencontra César de Bazan alias Zafari. Poète à ses heures, il espérait vainement jouer un rôle dans le monde. La vie s'est donc chargée de modérer ses ardeurs puisque nous le retrouvons laquais au service de don Salluste, marquis de Finlas, une condition qu'il exècre. Ce personnage se caractérise donc par sa dualité, ce que traduit son nom puisque le prénom Ruy

Acte I - Don Salluste Un salon dans le palais du roi à Madrid. Don Salluste de Bazan médite sur la disgrâce qu'il subit. Il vient d’être exilé de la cour, par la reine d'Espagne, car il a eu un enfant avec une des suivantes qu'il refuse d'épouser. Pour se venger, il demande à son cousin Don César de l'aider, mais celui-ci refuse de faire du mal à une femme. On apprend que son valet, Ruy Blas, aime la reine en secret et qu'il lui a même écrit une lettre anonyme, car il le révèle à Don César, qu'il

nationales grandioses qui ont accompagné le transfert de sa dépouille au Panthéon, le 31 mai 1885. 2. Résumé La disgrâce de don Salluste est prononcée : il doit quitter la cour car il a fait un enfant illégitime à l'une des suivantes de la reine. Obsédé par sa vengeance, il rencontre son neveu César et lui demande de l'aider à l'accomplir, mais ce dernier refuse. Don Salluste va donc faire appel à son valet, Ruy Blas, amoureux de la reine, et lui ordonne de devenir son amant. Commence alors un

et composent un Don César de Bazan, « drame-vaudeville » en cinq actes, joué à la Porte-Saint-Martin le 30 juillet 1844 (Masse- net en tirera un opéra en 1872). La reprise de 1872 à l’Odéon donnera lieu, elle aussi, à deux parodies. Après la première représentation, le texte fut publié la même année à Leipzig, chez Brockhaus et Avena- rius, puis à Paris chez Delloye. La fable et la structure Acte I. « Don Salluste. » Un salon dans le palais du roi, à Madrid. Don Salluste de Bazan, ministre de la

allemande, était sa seconde femme (elle a réellement existé et était réellement malheureuse avec son mari). Ruy Blas, valet de Don Salluste, aime la Reine. Don Salluste est contraint à l'exil car il n'a pas voulu épouser une suivante de la reine à qui il a fait un enfant. Pour se venger, il demande à Don César de Bazan de l'aider. Celui-ci refuse. Alors Salluste fait enlever Don César et fait endosser son rôle à Ruy Blas : celui sera chargé de « se faire aimer de la reine et de devenir son amant ». Salluste

cé ce nom     Casilda :​  Ruy blas ?     La reine :​   c’est le seingeur césar de Bazan , compte de Garofa    Casilda :​  comment ce fait­t­il , à ­til deux  nom ,Expliquez­ vous !    la reine​  , avec un sourire triste   Il a sacrifier corps et ame pour me sauver de don sallutre , Ruys blas était manipuler , il  avait comme devoir , de me séduire , tel était la vengence de Don sallutre , or il m’aimer  ..il, s’est donner la mort avec du poison , afin de préserver mon image..    sortant tout d’un coup de ses pensée 

frères  13 3.3 Relations familiales au service du pouvoir : les cousins et la cour 14 4. Paternités 4.1 Le poids du passé : le père revenant 17 4.2 Une question d’honneur : des ancêtres témoins 19 4.3 La transformation de don Carlos en Charles Quint 20 5. Conclusion 23 1. Introduction « Famille qui s’en va ! » (390) s’exclame Ruy Blas à propos de la famille royale, ce qu’on pourrait également dire de la totalité de la pièce éponyme

dire « gloire » et Ric, « puissant »Blas, de l’adjectif latin blaesus qui signifie « bègue ».Ruy Blas = La puissance bègue ?Comme un tiraillement entre un ordre dirigent et une population exclue du pouvoir, qui n’y a accès que par la manipulation de Don Sallustre.Une ascension, une chute, un bégaiement comme une hésitation, un trébuchement.Ne dit-on pas que l’histoire bégaie ?3) Genèse : Hugo rédige cette pièce en quelques semaines entre juillet et la première quinzaine d’aout 1838 afin de la présenter