Don Juan Acte 3 Scene 1 Rapport Maitre Valet

comédie-ballet de Molière et Jean-Baptiste Lully, mise en scène par Catherine Hiegel théâtre • grande salle • durée 2:15 jeu 29, ven 30 nov • 20h30 • sam 1er dec. • 20h Avec François Morel et une troupe de 29 personnes (comédiens, musiciens, danseurs, chanteurs, techniciens) décor Goury / costumes Patrice Cauchetier / lumières Dominique Borrini / chorégraphie Cécile Bon / direction musicale Benjamin Perrot / assistante à la mise en scène Natacha Garange / coiffures et maquillages Véronique Soulier-Nguyen

division de classe * …ES………....………… …1 ES / L…………....………… * code division de classe utilisé pour les inscriptions sur Inscrinet (code à trois chiffres commençant par 6 ou bien codification interne) nom de l'établissement localité Visa du professeur LYCEE DUHAMEL DU MONCEAU 16 Avenue de France - 45300 PITHIVIERS Visa du chef d’établissement et cachet de l’établissement OBJET D’ÉTUDE LE PERSONNAGE DE ROMAN, DU XVIIÈME SIÈCLE À NOS JOURS Séquence 1. Le personnage principal d’un roman est-il

division de classe * …ES………....………… …1 ES / L…………....………… * code division de classe utilisé pour les inscriptions sur Inscrinet (code à trois chiffres commençant par 6 ou bien codification interne) nom de l'établissement localité Visa du professeur LYCEE DUHAMEL DU MONCEAU 16 Avenue de France - 45300 PITHIVIERS Visa du chef d’établissement et cachet de l’établissement OBJET D’ÉTUDE LE PERSONNAGE DE ROMAN, DU XVIIÈME SIÈCLE À NOS JOURS Séquence 1. Le personnage principal d’un roman est-il

bien axée sur le langage poétique. | Texte 1 : Jean de SPONDE, Sonnets, (1597)Texte 2 : Arthur RIMBAUD, Poésies, « Le Dormeur du val », (1870).Texte 3 : Victor HUGO ,Les Châtiments, Livre II, 3, « Souvenir de la nuit du 4 », (1852).Texte 4 : Paul VERLAINE, Poèmes Saturniens, "Melancholia", VI, (1866). | -Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, Tableaux parisiens, « Rêve parisien », (1861).-Victor HUGO, Les Orientales, « Rêverie », « Les Djins », strophes 1 à 8,(1829).-Maurice ROLLINAT, Les Névroses

selon mon opinion, de ce qu’ils se torchent le cul d’un oison ; et telle est l’opinion de maître Jean d’Ecosse. François Rabelais, Gargantua , extrait des chapitres XIX « La Harangue que fit Maître Janotus de Bragmardo à Gargantua pour récupérer les cloches » et XX « Comment le sophiste emporta son drap, et comment il fut en procès contre les autres maîtres » 1542, translation de Myriam Marrache-Gourraud, éditions Garnier-Flammarion, 2021.

épistolaire : l'absence du narrateur laisse à l'échange de lettres le soin de planter les rapports entre les personnages et permet au lecteur de recomposer l'ordre de la narration grâce aux recoupements qu'il peut opérer. Ces jeux, dont Laclos use subtilement, pourraient souffrir d'une vue d'ensemble immédiatement synthétique. L'œuvre est composée de quatre parties à peu près égales qui fonctionnent chacune comme un acte de tragédie classique. Il nous a semblé légitime d'observer ce que chacune pose et

Les liaisons dangereuses ou lettres recueillies dans une société et publiées pour l’instruction de quelques autres  Choderlos de Laclos Le titre et le sous-titre 1) les horizons d’attentes 2) revendications d’un but didactique 3) justification du titre Tourvel dit de Valmont qu’il est « un exemple de plus du danger des liaisons »/ Mise en garde de Volanges à Tourvel « Quand il ne serait comme vous le dites qu’un exemple du danger des liaisons, en serait-il lui-même une liaison dangereuse »/

Le lac de Cygnes revisite ce motif-là.· Spectacles lyriques = OPERA, OPERETTE, OPERA BOUFFE· Cabarets, cafés-concerts, beuglants > lieux de perdition notamment le moulin rouge. 16/03/2022ON NE BADINE PAS AVEC L’AMOUR Présentation et rôle de la scène : Aujourd’hui le proverbe désigne une maxime, un adage, un court énoncé qui exprime un conseil populaire, une vérité, une constatation devenue d’usage commun. Ainsi on pourrait lire ce titre, cette pièce et cet extrait comme un enseignement et une

scénique. Il y avait au moyen âge des farces grotesque qui subsistait sur des estrades de fortunes que l'église tolérait petit à petit, elle se distinguai des jeux liturgiques et profane avec des prétentions plus littéraire. La farce, mettait en scène le «peuple sot» et plus tard la pastoral. En Italie, les laudi En Angleterre, les miracles place. En Allemagne, Lehrstücke En France, les mystères. Nous sommes dans des représentations symbolique et imaginaire de la vie religieuse et de la vie

Saison 2009/2010 Compagnons Création Les Fausses Confidences de Marivaux mise en scène Didier Bezace avec Pierre Arditi, Alexandre Aubry, Christian Bouillette, Jean-Yves Chatelais, Anouk Grinberg, Robert Plagnol, Isabelle Sadoyan et Marie Vialle collaboration artistique Laurent Caillon assistante à la mise en scène Dyssia Loubatière scénographie Jean Haas costumes Cidalia Da Costa lumières Dominique Fortin perruques et maquillages Cécile Kretschmar construction décor Atelier François Devineau