Don Juan Acte Ii élément Pathétique

94 La personne gênée par sa propre conduite ............................95 Les gestes du mensonge .........................................................96 Le menteur dynamique ......................................................97 Le menteur pathétique .......................................................99 Les gestes de la détestation et de la haine .............................102 La haine de la femme ......................................................102 La haine de l’homme ..........

clan Médicis et sur le bureau des commis. La cour possède des arcs en plein-cintre appartenant au style de Brunelleschi. Ce nouveau palais ne représente pas une nouvelle topologie des lieux car il reprend sous de nombreux aspects l'ancien palais. II) Le nouveau cour de la peinture Toscane Multiplication des innovations à partir de 1425 mais il reste des continuités avec le passée. Il y a encore une très grande production d'art religieux. Le peintre le plus novateur de ces années est Masaccio

a Dossier : La Peste Albert Camus Larissa Dooley 1ère 2011-2012-02-27 Index 1) Introduction I.Albert Camus II. La philosophie d’Albert Camus III. L’épigraphe IV. Différentes lectures 2) La Peste a. PREMIERE PARTIE p.11-71 1.Une chronique fictionnelle p.11-15 -La ville et ses habitants -Une ville décrite négativement -Une ville «moderne» -La ville, centre des habitudes -Le genre de vie des Oranais -Les saisons, la mer 2.L’apparition des rats p.16-30 -De l’insolité au désarroi

J'ai beau prendre un air grave, mon père et ma mère s'obstinent à me trouver un enfant.» En juin, il écrivit à sa mère : «Je sens venir la vie avec encore plus de peur. Toutes les connaissances qu'il faudra acquérir, tout le mouvement qu'il faudra se donner pour trouver une place vide au milieu du monde, tout cela m'effraie. Enfin je suis fait pour vivre, je ferai de mon mieux ; il me semble ensuite que dans cette science qu'il faut acquérir, dans cette lutte avec les autres, dans cette difficulté même

division suivante de la société: Clergé, noblesse, et le reste qu'on appelait le Tiers État. Les E.G. constituent donc l'origine de l'idée de représentation des français face à un pouvoir politique; les sujets souhaitent, par cette représentation, donner leur avis sur la politique menée. n  Composition: en 1789, les représentants sont élus de la manière suivante: dans chaque circonscription, que l'on appelle bailliage, chaque ordre élit un représentant. Chaque bailliage envoie donc aux EG un noble

règne de Louis XIII, il voit dans sa seconde moitié, coïncidant avec le règne de Louis XIV, naître le classicisme, cet idéal d’équilibre et de clarté qui devait concerner tous les domaines de l’art et de la pensée. I. Histoire et pouvoir politique II. Les courants de pensée III. La littérature IV. Les arts V. Les découvertes scientifiques du siècle I. Histoire et pouvoir politique A : Louis XIII Louis naît à Fontainebleau le 27 septembre 1601. Il n'a que 9 ans à la mort de

permettait de repérer les procédés de construction du personnage contestés et mis à mal par le nouveau roman : la caractérisation par le nom, la généalogie, l’état civil, le physique et, surtout, l’attribution d’un caractère suffisamment particulier pour donner l’illusion de l’unicité du personnage et suffisamment général pour l’exhausser à une forme d’universalité. Les analyses de Nathalie Sarraute, dans L’Ère du soupçon (1956), elles aussi censément connues des agrégatifs, pouvaient servir d’armature conceptuelle

luimême pour pouvoir mieux en approcher. Il projette donc son idéal d’un être absolument valorisé, mais qu’il ne parvient pas à isoler en lui, sur un autre être que lui, et c’est cela que signifie le fait qu’il aime cet être seul. Seul est capable de cet acte celui qui est devenu coupable et est conscient de sa culpabilité, et c’est pourquoi l’enfant ne peut aimer. Ce n’est que parce qu’ainsi l’amour présente ce but inatteignable qui est celui de tout être humain comme étant atteignable, non par soimême

Nature de ce sentiment 4. Les découvertes de l'absurde a) Au niveau de la sensibilité (le temps, l'hostilité de la nature, l'inhumanité des hommes, la mort) b) Au niveau de l'intelligence (l'absence de vérité et d'unité) II. La notion de l'absurde 1. Les trois termes dans l'absurde 2. La confrontation dans l'absurde 3. Exemples d'absurde 4. Définition de l'absurde 5. Les propriétés de l'absurde III. Les solutions à l'absurde 1. Le suicide

Description du sentiment de l'absurdité Nature de ce sentiment Les découvertes de l'absurde a) Au niveau de la sensibilité (le temps, l'hostilité de la nature, l'inhumanité des hommes, la mort) b) Au niveau de l'intelligence (l'absence de vérité et d'unité) II. La notion de l'absurde 1. 2. 3. 4. 5. Les trois termes dans l'absurde La confrontation dans l'absurde Exemples d'absurde Définition de l'absurde Les propriétés de l'absurde III. Les solutions à l'absurde 1. Le suicide physique a) b) c) d) La relation