Don Juan De Molière Et De Mérimée

Introduction : Don Juan d’origine espagnole, séducteur mythique, fascinant et scandaleux s’avère être un personnage légendaire qui a su trouvé un succès inébranlable tant dans la littérature que dans le théâtre, en passant accessoirement dans l’art musical. En effet, l'Espagne du Siècle d'or, à offert aux mondes artistiques, un personnage légendaire qui apparut pour la 1ère fois dans une pièce du 17ème siècle, tout droit sorti de l’inspiration du moine Louis Gabriel Tellez : (1583/1648), plus

Les Âmes du purgatoire, de Prosper Mérimée. Résumé : L'histoire commence par une allusion à Cicéron et son traité de la nature des dieux. Le conteur, qui n'est autre que Mérimée (également l'auteur de cette oeuvre), avance qu'il y a eu plusieurs Jupiters et qu'il n'y a pas une ville de grèce connue dans laquelle Jupiter ne sois pas passé. Ce qu'il rapproche à don Juan, qui, d'après le conteur, approche la célébrité de Jupiter. Plusieurs don Juan ont fait apparition dans différentes histoires

théâtre n’est jamais finie ; création collective, elle échappe à son auteur pour renaître chaque fois soumise à des recréateurs multiples. Une particularité du théâtre est donc de se régénérer à l’infini grâce aux différentes mises en scène qui peuvent donner l’impression qu’elle est réécrite différemment. Qu’est ce qui permet à une pièce de se régénérer à l’infini ? En quoi cette caractéristiques est-elle attractive, et pour qui ? La représentation en modifie plus ou moins le texte, le sens, grâce à des

Carnet du Public    Table des matières    Introduction générale par Nicole Pinglaut    I. Le mythe de Dom Juan  1. L’histoire du thème  a. Les mythes sous‐jacents  b. La cristallisation espagnole  c. Le mythe européen  d. Don Juan aux XIXème et XXème siècles  2. Les invariants  Conclusion : Don Juan, thème littéraire, légende ou mythe ?    II. La forme théâtrale de Dom Juan  1. La question des unités  a. Unité de lieu  b. Unité de temps  c. Unité d’action  2. La question du genre/du registre 

qui a jeté la morale par dessus les moulins et se consacre seulement au plaisir des sens. Lorsque la Duchesse paraît, elle leur explique le but de cette réunion : faire le procès de Dom Juan, mais contrairement à la statue du Commandeur de Molière qui entraînera le séducteur aux enfers, la condamnation de Dom Juan par ces dames sera bien différente, sinon pire pour cet homme avide seulement de plaisirs et de liberté. La sentence de leur tribunal, déjà fixée à l’avance d’ailleurs : épouser la filleule

roi Don Luis de Mendoza Don Esteban Don Carlos Le curé de Monclar Juan Mendo Un notaire Un greffier Paysans, Alguazils Inès Mendo Résumé par scènes Scène 1 : Mendo se plaint de sa profession de bourreau et que l’ignominie de son nom le suivra. Inès entre alors et dit à son père qu’elle aime Esteban Mendoza mais Mendo essaye de la convaincre du contraire. Don Luis arrive pour dire à Mendo qu’il accepte le mariage mais les différences de statut. Scène 2 : Don Esteban rencontre un vieil ami : Don Carlos

réguler la manière d'écrire, tout en valorisant, à travers leurs personnages, la retenue, la réflexion, la raison. On montre, réciproquement, les dégâts causés par la passion, et les dangers auxquels nous exposent nos pulsions (ridicules, comme chez Molière, ou dangereuses, comme chez Racine). La Fayette (Mme de) : La Princesse de Clèves. L'une des raisons pour lesquelles ce petit livre a marqué l'histoire littéraire, est qu'il est le tout premier à montrer qu'on peut tomber amoureux de quelqu'un

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Prosper MÉRIMÉE (France) (1803-1870) Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’La Vénus d’Ille’’, ‘’Carmen’’ et ‘’Colomba’’). Bonne lecture ! Né à Paris, le 27 septembre 1803, il fut élevé dans un milieu cultivé de tradition voltairienne, mais passionné depuis l'âge de seize ans par les sciences occultes et les expériences de magie. Il fit toutes ses études secondaires au lycée

Carmen de MERIMEE. Il y a l’idée que notre plaisir dépend des autres mais que nous pouvons nous en affranchir. Nos plaisirs se ressemblent tous car nous ne nous émancipons pas des plaisirs que nous avons appris. ARISTOTE montre que pour éduquer un enfant, on doit l’orienter vers le bien et lui faire détester le mal. Il faut alors donner l’habitue à l’enfant de faire du bien par le plaisir et de ne pas faire du mal par le déplaisir. Il faut donner du plaisir

comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Dom Juan’’ (1665) comédie en cinq actes et en prose de MOLIÈRE pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 3) l’intérêt littéraire (page 6) l’intérêt documentaire (page 6) l’intérêt psychologique (page 7) l’intérêt philosophique (page 10) la destinée de l’œuvre (page 12) l’intérêt du spectacle (page 15) différentes scènes (pages 15-35) Bonne lecture ! «Dom Juan» est l’orthographe du XVIIe siècle qu’on