Don Juan Manuel

reconnaissez personne ici ? Don Juan : Je reconnais la beauté sur quelques visages La comtesse : Tu ne me reconnais pas, traitre ? Don Juan : Non, madame La Religieuse : Ni moi ? Don Juan : Non, madame Madame Cassin : Ni moi ? _Don Juan : Non, madame (p 37 et 38)_ Un autre extrait qui prouve se fait : Voici un Extrait : Sganarelle : Allons, Monsieur, ne jouez pas la comédie, vous savez très bien que depuis plusieurs mois, Dons Juan n’est plus Don Juan._ (p 62)_ (…) Sganarelle

aumônes, je n’ai pas un bout de pain », renforcé par l’hyperbole « Je suis dans la plus grande misère du monde ». De plus, le pauvre utilise le vouvoiement pour s’adresser à Don juan, il y a souvent des marques de politesse. • Don Juan appartient lui à une condition sociale supérieur, son nom approuve avec le titre honorifique « Don » qui précède son prénom ; qui veut dire en latin « seigneur ». Sa richesse est renforcée l’idée qu’il est accompagné de son valet et peut-être à cheval. Enfin, il s’adresse

Acte I Scène II Dom Juan Molière La tirade le l’infidélité Introduction A la fin de la scène I, nous avons un portrait de DJ fait par Sganarelle qui va être discrédité par son comportement même. Ce portrait ne satisfait pas le spectateur, le héros apparaît donc dans le scène II. -Lecture- l’art oratoire ou la rhétorique implacable une image de la séduction renouvelée. Développement axe : la rhétorique implacable ou l’art oratoire Un discours fondé sur des enchaînements

Dom Juan de Molière Objet l’étude : le texte et sa représentation Perspective dominante : intertextualité et singularité des textes Perspective secondaire : histoire littéraire et culturelle Objectifs : lire une œuvre intégrale et en comprendre la logique Objectifs méthodologiques: acquérir la méthode de l’analyse de texte, du commentaire composé et de la dissertation  Textes retenus : 1. I, 1 : le personnage de Sganarelle 2. I, 2 : tirade de la séduction 3. II, 2 : Don Juan

L.A n°3 : " Dom Juan : La scène du pauvre : III,2 " ® Pauvre = ermite (pauvreté choisie ¹ pauvreté sociale) pour se rapprocher de Dieu. Introduction : Au début de l'acte III, Sganarelle et DJ sont toujours en fuite et déguisés? S'en suit un échange autour du thème de la médecine puis qui évolue que la religion ou DJ déclare "Je crois que deux et deux sont quatre, et quatre et quatre sont huit". Par cette phrase, DJ montre son matérialisme ( ¹ athéisme). Cette scène est très bien intégrée

recréé par de nombreux écrivains dont Molière, Lorenzo Da Ponte (auteur du livret Don Giovani pour Mozart), Byron, Hoffmann, Musset, Mérimée et Dumas. «Don Juan vit dans la jouissance de l’instant présent et s’impose comme l’individu s’opposant au Dieu qui l’a créé. Il incarne la puissance du désir érotique en s’opposant à la morale chrétienne qui exige que le mariage précède et encadre la satisfaction de ce désir. Don Juan représente la toute-puissance de l’individu face non seulement à toute oppression

Question de synthese sur Dom Juan Chez Tirso de Molina Les didascalie sont inexistantes. Tirso permet au lecteur ou au metteur en scene de faire vivre la scene en laissant libre cours a l’imagination. De plus la scene est tout a fait comprehensible sans didascalie car elle ne represente qu’un dialogue “passif”(sans action) qui ne necessite pas de mouvement particulier. Ici Don Juan tente de charmer Thisbe uniquement grace a ses talents oratoires de seducteur. Chez Moliere Les didascalies

Les origines de Dom Juan. Don Juan est un personnage légendaire qui a eu dans la littérature et au théâtre une brillante destinée. Don Juan est un personnage mythique, dont la littérature s'est souvent emparée, et dont elle a fait l'idéal du matérialisme, de la débauche et de l'impiété. Il est comme Faust ( docteur Faust est le protagoniste d'un conte populaire Allemand datant des années 1587-90), un symbole de l'éternel problème de la vie : il arrive au même but, il se rencontre avec lui dans

14 février 2013 Don Juan et ses amours. A priori, Don Juan expose sa philosophie de l’amour en évoquant sa critique envers la fidélité.D’abord, il compare la fidélité à la mort. Le protagoniste met en évidence le champ lexical de la mort pour appuyer ses dires. Il cite: « s’ensevelir pour toujours » ainsi que « d’être mort ». L’explication est simple, ce champ lexical symbolise qu’être fidèle signifie mourir au reste

Sganarelle est dit : « mais laissons là la médecine […] et que vous ne me défendez des remontrances. » Don Juan : Eh bien ? Sganarelle : Lors de votre retour de voyage à la conquête de nouvelles objets, vous m'avez étalé vos idées concernant le mariage d'une manière que je ne su quoi y répondre malgré mes opinions. Aujourd'hui je pense en être capable et je peux vous le prouver. Don Juan : J'en suis tout ouïe. Sganarelle : En premier lieu, vous parliez du mariage comme d'un renoncement