Don Juan Moliere Didascalie

est à la fois texte et représentation. Le théâtre fut au départ crée pour la représentation, et ses textes reposent sur la dualité d’une compréhension écrite et orale. La représentation dépend donc du metteur en scène. La façon de jouer Dom Juan du temps e Molière ne devait certainement pas être la même que de nos jours. De plus, beaucoup de metteur en scène réécrivent ce grand classique pour le rendre plus actuel. Cependant l’acte II pose la question de la réception par le spectateur ou le lecteur

I)Oui 1) car il y a pas ou peu de didascalies dans certains textes théâtrales se qui force le metteur en scène de donné des informations autre que le texte en lui même. le théâtre ( du Grec théatron qui signifie lieux ou l'on voit ) est par définition étant un ensemble de paroles, ton, mouvements, décors.( il y a utilisation des sens ) le Théatre est un art dit totale. Le texte seul paraitrait incomplet, il manquerais des information a la compréhension, information retranscrit par les sens comme

valet ou de la servante de comédie ? Les quatres valets présentent certains traits de caractère communs. Les valets de Molière et Beaumarchais, respectivement Sganarelle et Figaro et la servante de Feydeau, Rose sont hypocrites et craignent leurs maîtres : Sganarelle ne reconnaît pas ses propos car il emploie «  tu vois » pour pouvoir ensuite dénoncer Gusman si Don Juan venait à apprendre ce portrait dépréciatif que Sganarelle a fait de lui. Cette déloyauté montre bien que Sganarelle redoute

d’écriture de la pièce : Dom Juan a été rédigé un an après l’interdiction de la pièce Tartuffe car elle critiquait l’hypocrisie des faux-dévots. Hommes d’églises faisant semblant d’être pieux mais immoraux et hypocrites. La pièce a été interdite par le clergé. -Dans Dom Juan, Molière décide une nouvelle fois de provoquer avec Don Juan, un grand seigneur libertin qui choisit de vivre selon ses propres règles et qui ne se préoccupe pas de celles du ciel. -Dom Juan a donc également été censurée

comment l’art du théâtre se prête-t-il à la mise en scène de la séduction ? INTRODUCTION : « La vraie séduction de l’acteur, c’est de faire admettre au public qu’il est vraiment le personnage ». Bernard GIRAUDEAU Le théâtre doit donner l’illusion de la réalité en utilisant des artifices. C’est depuis l’antiquité que de nombreux hommes badinent au jeu de la séduction, processus par lequel un individu charme et attire une autre personne. Dans le théâtre beaucoup de pièce jouent

selon sa vision personnelle de la pièce, les rôles qu'il attribue à ses comédiens. Si l'on s'intéresse par exemple à La Cantatrice Chauve d'Eugène Ionesco, pièce appartenant au genre théâtral de l'absurde, on remarque que l'attribution des rôles peut donner des interprétations diverses. Les premiers personnages à entrer en scène sont Monsieur et Madame Smith. Le texte ne donne aucune précision sur leur apparence physique. En tant que lecteur, on comprend uniquement qu'ils sont mariés. Dans ce cas, le

XIV-XVIe siècles. Molière a écrit dans la préface de L’amour médecin : « Tout le monde sait que les comédies sont faites pour être jouées, et je ne conseille de lire celle-ci qu’aux personnes qui ont des yeux pour découvrir dans la lecture tout le jeu du théâtre » ; Dans un premier temps nous allons dire en quoi il est important de voir une comédie représentée puis dans un second temps nous analyserons l’apport de la lecture dans une comédie. ce privilège accordé par Molière à la représentation

facile de s’apercevoir de cela dès le titre de l’œuvre. Ce titre accorde au valet une véritable importance puisqu'il est presque éponyme et suggère ainsi une certaine domination sur le maître. Cette pièce ne respecte pas le modèle institué par Molière avec Dom Juan où le titre porte le nom du maître et non pas celui de son serviteur, Sganarelle. Ici, c’est le mariage de Figaro qui nous intéresse et non pas celui du comte. Dès le premier acte, le comte sans vergogne décide d'affirmer son droit de cuissage

Dom Juan, 1665, Molière. ● Ce passage est situé dans les scènes 5 et 6 de l’acte V. Ce sont les deux dernières scènes de la pièce. La vie de Don juan arrive à son terme. Il a invité ironiquement la statue de pierre à manger avec lui, car comment une statue pourrait-elle manger, et elle a accepté son invitation, puis la lui retourne. Il est désormais l’invité, il va donc subir l’action. PROBLEMATIQUE. Comment à travers ces deux dernières scènes, Molière rend-il la fin de Don Juan ambiguë

pièce. On peut alors citer comme exemple la scène d’exposition de l’œuvre de Molière, Tartuffe : « Allons Flipote, allons ; que d’eux je me délivre » (…) dans l’acte I, scène 1. Elle montre une scène d’une grande virtuosité, en effet dû au nombre de personnages qui entrent sur scène et qui parlent tour à tour et notamment avec la sortie de Madame Pernelle. On peut contraster l’exemple ci-dessus avec l’œuvre Dom Juan, de Molière, avec un éloge paradoxal qui éveille la curiosité chez le lecteur : «Quoi