Dora Maar

cœur espagnol a été profondément choqué quand il a appris par la presse que Guernica avait été bombardée. Le noir et blanc du tableau résulte également des photographies prises lors de la longue élaboration de l'œuvre par la compagne de Picasso, Dora Maar, photographe surréaliste, qui apportait régulièrement au peintre dans son atelier de la rue des Grands-Augustins, les clichés des états successifs de l'œuvre[2]. Picasso consultait les états antérieurs de sa toile pour modifier la peinture par une

cœur espagnol a été profondément choqué quand il a appris par la presse que Guernica avait été bombardée. Le noir et blanc du tableau résulte également des photographies prises lors de la longue élaboration de l'œuvre par la compagne de Picasso, Dora Maar, photographe surréaliste, qui apportait régulièrement au peintre dans son atelier de la rue des Grands-Augustins, les clichés des états successifs de l'œuvre[2]. Picasso consultait les états antérieurs de sa toile pour modifier la peinture par une

nombreuses études, de nombreux croquis et brouillons dont beaucoup sont visibles aujourd'hui à Madrid. La composition de l'œuvre a évolué au fur et à mesure de sa réalisation comme le prouvent les photos des « états » du travail, prises par Dora Maar, la compagne du peintre, dans son atelier de la rue des Grands-Augustins à Paris. Jusqu'à la fin, Picasso a apporté des modifications : le taureau, par exemple, est orienté vers la gauche au début, tandis que dans la version définitive

par étudier principalement la composition et le personnage central prouve qu'il a organisé ce travail préparatoire de manière logique et systématique. Pour la première fois, Picasso peint en présence d'un observateur, en l'occurrence sa maîtresse Dora Maar, qui prit des photos de Picasso au travail et surtout des différentes étapes de la réalisation. Picasso utilisait ces photos en noir et blanc des états antérieurs de sa toile pour modifier la peinture, et notamment la balance des blancs et des noirs

même année, Pablo Picasso a peint La femme qui pleure. Dora Maar, compagne de Picasso, a suivi toutes les étapes de la réalisation de Guernica. « La femme qui pleure » 1937. Musée Picasso, Paris.  « Pour moi elle est une femme qui pleure. Pendant des années, je l’ai peinte en formes torturées, non par sadisme ou par plaisir. Je ne pouvais que donner la vision qui s’imposait à moi, c’était la réalité profonde de Dora. »

surréaliste de Londres, partent en vacances avec Man Ray et sa compagne, Adrienne. Man Ray prend photo sur photo. Ils sont rejoints par Picasso et Dora Maar. Dans la correspondance de Man Ray, lettre du 28 juillet 1936, Man Ray livre l’origine de ses travaux croisés : « Le soir, Eluard nous lisait son dernier poème, Picasso nous montrait un portrait de Dora aux yeux étincelants, quant à moi, je m’étais engagé dans une série de dessins extravagants mais réalistes qui parurent plus tard dans un livre

cœur espagnol a été profondément choqué quand il a appris par la presse que Guernica avait été bombardée. Le noir et blanc du tableau résulte également des photographies prises lors de la longue élaboration de l'œuvre par la compagne de Picasso, Dora Maar, photographe surréaliste, qui apportait régulièrement au peintre dans son atelier de la rue des Grands-Augustins, les clichés des états successifs de l'œuvre2. Picasso consultait les états antérieurs de sa toile pour modifier la peinture par une

cœur espagnol a été profondément choqué quand il a appris par la presse que Guernica avait été bombardée. Le noir et blanc du tableau résulte également des photographies prises lors de la longue élaboration de l'œuvre par la compagne de Picasso, Dora Maar, photographe surréaliste, qui apportait régulièrement au peintre dans son atelier de la rue des Grands-Augustins, les clichés des états successifs de l'œuvre2. Picasso consultait les états antérieurs de sa toile pour modifier la peinture par une

nous avons eus à disposition. On avaient le choix entre : - La Joconde, Léonard de Vinci, 1503/1506 - La création d’Adam, Michel-Ange, 1508/1512 - Hercule, anonyme, 17ème siècle - La vague, Hokusaï, 1831 - Portrait de Dora Maar, Picasso, 1936 - Girl crying, Roy Lichtencheint, 1964 J’ai retenu, le tableau de Roy Lichtencheint, 1964, « Girl crying », car c’était celui qui m’inspirait le plus afin de rendre un travail correct du fait qu’il s’agissait d’une femme et

muse ou de l’amante qui traversent l’histoire de l’art ou la littérature, de celles du Parnasse à la Fornarina de RAPHAEL, de celles préraphaélites de ROSSETTI et WATERHOUSE à Victorine Meurent de MANET, à Gala de DALI, Lee Miller de MAN RAY ou Dora Maar de PICASSO, entre autres ?Cette relation binaire convoque la présence d’un tiers, le spectateur. Cette triangularité des regards posera la question du voyeurisme et donc bien sûr de la valeur d’exposition et de la réception par le public de l’œuvre