Doxa

La vérité a à priori pour ennemi la croyance populaire la doxa l’opinion publique. Bachelard disait « la science s’oppose [..] absolument à l’opinion, la science relèvrait de la vérité La connaissnce est la mise en relation Pour comprendre le réel. Connaitre c’est chercher à établir, l’origine et la nature des structures que le sujets doit soliciter pour décrire l’objet auquel il est confronté. On peut aussi penser que la vérité est une valeur, une norme. Dans le langage ce qui est faux désogne

le champ lexical du regard est important. « Elle donna de l'admiration dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes ». Il est justifié par la raison : « on doit » « avec raison » (ce qui sous-entend un point de vue commun : la Doxa). Cette généralisation est accentuée par l'emploi de termes indéfinis : « tout » le monde. « On » (pronom personnel indéfini) ;elle est donc caractérisée par le regard des autres, celui du vidame ou du prince de Clèves : utilisation d'un modalisateur :

commerce extérieur, commençons par balayer quelques idées reçues sur les échanges internationaux. Un solde commercial positif n’a jamais été synonyme de performance. De même qu’un déficit dans les échanges n’équivaut pas à de mauvais résultats. Pareille doxa signifierait tout simplement que l’Algérie est une puissance économique et que les États-Unis ont une économie médiocre. Et pour cause, la première est structurellement excédentaire et les seconds dégagent un déficit chronique de leur balance commerciale

massive. 2. La sociologie, héritière et critique de l’utilitarisme -la sociologie : elle est naissante et a une position ambivalente. -raison : car héritière et critique de l’utilitarisme. -la sociologie : réagit et d’oppose à la doxa utilitariste. -la doxa utilitariste : domine le politique et le scientifique. -La sociologie comme science récente et réactionnaire : mise en avant par Pearson (1930) et Nisbet (1960). -Pour Nisbet : la pensée contre-révolutionnaire a inspiré la sociologie

l’esprit. « Tu n’arriveras jamais à te désaliéner totalement », c'est-à-dire le faite que l’homme prenne pour véritable savoir ce qui n’est que des illusions, opinions, préjugés : ce type de discours est appelé discours de l’opinion ou DOXA. Au discours de la DOXA, Platon oppose le discours du savoir, des sciences. « Peut-être qu’à certain moments où je parle je suis fou, mais je sais que je suis fou. » Pour pouvoir se libérer des opinions une transformation radicale de notre relation avec le

compatir. 3. Thèse : en vertu de l’égale dignité entre les hommes, l’esclavage est une injustice. 1. Exorde (l. 1-4) : adresse et explicitation du rapport entre l’auteur et son destinataire, défense de la valeur d’égalité et de fraternité, rejet de la doxa : « quoique... » qui annonce le sujet. 2. Confirmation (l. 5-26) : a. Les fondements moraux = prémisses : égalité (déduction attendue) + témoignage (induction) / blâme des « Blancs des colonies », (l. 5-13). b. L’impuissance : déductions (de cause

Cette simple remarque me paraît extrêmement importante pour comprendre les enjeux les plus profonds de la querelle : le fait que chaque partie récuse le procès qui lui est intenté par l’autre ; de sorte que les adversaires semblent partager une même doxa morale, un même système de valeur. Ce consensus apparent est la condition de la double dénégation : d’une part le libertin prétendu affirme haut et fort que le libertinage et l’impiété sont une abomination, et d’autre part le dévot résolu reconnaît

preuves, alors que le savoir repose sur des découvertes validées par l’expérimentation qui nourrissent la pensée (même si ce savoir est incomplet et qu’il évolue ; nous n’avons donc qu’une vision partielle). Le savoir s’oppose donc à l’opinion (lat. doxa), qui est par nature arbitraire et plus encore à la superstition et à l’obscurantisme (« hostilité aux lumières »). Ainsi, les religions peuvent parfois se réserver le monopole du sens au motif que celui-ci serait inaccessible à tout à chacun. La

il utilise la dialectique pour defendre une idée non moral. 2- réquisitoire contre la fidélité a- la fidélité dénigré - l3 antiphrase: “la belle chose” c’ets irronique, de la moquerie: il va denoncer la moral commune, la doxa. - l3-4 “faux honneur d’être fidèle” l’honneur étant la valeur de la noblesse, pour Dom Juan, un grand noble, il est difficil d’être fidèle. - l6: “la constance est bonne pour les ridicules”, la constance= la fidélité. Ainsi, d’apres lui la fidélité

L'EN, Aristote cherche en quelle mesure l'homme cherche le BIEN et tente de démontrer que l'action humaine vise toujours le BONHEUR . La question est de savoir comment définir le BONHEUR ? Aristote propose de faire l'EXAMEN du BIEN (et de ce que la DOXA nomme le Bien) afin d'apporter un élément de réponse suffisant à l'élaboration d'un système politique efficace et dont la finalité est le bien. Chez Platon, dans la république, on retrouve la même finalité, quoique les moyens diffèrent. Mais s'il