Dravidiens

" (asiatiques) des " occidentaux " (africains). N'est-il pas significatif que l’écriture des premières civilisations indiennes – celles de Mohen-Daro et de Harappa - , qui florissaient 2500 ans avant Jésus-Christ, servît à exprimer des langues dravidiennes : des langues de Noirs ? source Une définition de la Négritude proposée par Fernand RADDAS Tout comme Aimé Césaire , Frantz Fanon et Léopold Sédar Senghor ont su le montrer , le peuple Noir a un vrai problème d'identité , victime des

hbts/km² * Superficie : 3 287 263 km² * Espérance de vie : 63,3 ans * ISF : 2,73 enfants/femmes * Taux de mortalité : 8,8 pour mille * Taux de natalité : 22,01 pour mille | CULTUREL | * Origines De La Population : . Indo-Aryens (72%). Dravidiens (25%). Autres (3%) * Religions : . Hindous (80,5%). Musulmans (13 ,4%). Chrétiens (2,3%). Sikh (1,9%).Autres religions (1,8%) * Langues :. Hindi et Anglais (langues officielles). L’Inde compte 16 autres langues * Fête nationale : 26 janvier

comme étant ceux qui ont « entendu » les hymnes du Veda de Brahman alors qu’ils étaient en train de méditer. Mais aussi, dans le védisme, on ne croit pas en la réincarnation, alors que chez les hindous cette croyance est l’héritage de la culture dravidienne. On peut sans doute dire que l’hindouisme est un héritage et un mélange entre différentes culture et croyances. SOURCES : http://suprememastertv.com/fr/bmd/?page=1&wr_id=747#v http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article501 http://www

côté sur chacune des jambes séparément. Les saris Brahmanes du Sud de l'Inde leur sont apparentés et forment donc une sous-famille. Dans ces drapés, le sari est passé entre les jambes dès le début, puis enroulé en spirale autour du corps.  - Les Dravidiens et les habitants de l'Est de l'Inde ont leur propre façon de se vêtir d'un sari. On distingue trois sous-familles : les "veshti" qui ne couvrent que le bas du corps. Ils sont simplement enroulés une fois autour de la taille. Pour les saris tamouls

3 287 590 km² *Il est constitué de 3 zones principales : -l’Himalaya (demeure de la neige) ; -la plaine du Gange (fertile et très peuplé), riziculture -le plateau du Deccan (définissant le passage aux 4 états de Langues dravidiennes dit « du Sud ». Inde ne faisait pas partie de l’Asie, mvmt plaques tectoniques *Les fleuves qui trouvent leur source dans l’Himalaya : l’Indus, le Brahmapoutre et le Gange. *Le climat en Inde est fortement influencé par

son évolution à travers les millénaires.     | Famille  linguistique | Population mondiale | Nombre des langues |   1 2  3  4  5  6  7  8  9  10  11  12 | indo-européennesino-tibétaine austronésienne chamito-sémitique (afro-asiatique)dravidienne  japonaise bantouenigéro-congolaise altaďque coréenne austro-asiatique ouralienne | 48,0 % 25,0 %   04,5 %    04,5 %    03,7 %    02,4 %    02,2 %    01,7 %    01,3 %    01,2 %    01,1 %  00,5 % | ą 200  ą 50  ą 1000  ą 120  ą 12  ą 10  ą 400  ą

actuel par de nombreux aspects : en particulier la référence aux femmes comme autorité religieuse (avec existence de femmes rishis), (sanskrit, rsi : sage) ; le védisme était aniconique (l'idolâtrie était en revanche une pratique des autochtones, les Dravidiens, pratiquant la zoolâtrie, le culte des arbres et des fleuves — voir à religion harappéenne, Gange et vache sacrée) avec un panthéon nettement différent, Indra comme « roi des dieux » et de rares mentions de la trinité postérieure, Brahmâ, Vishnou

pakistanaise et birmane autant que Brest de la Moldavie) et des intenses brassages migratoires et contacts avec le monde extérieur que l’espace indien a connus au fil des siècles.Le peuplement « aryen » de la moitié Nord contraste avec la majorité dravidienne au Sud. Les différences physiques se doublent de contrastes linguistiques : au Sud, « la population est de couleur plus sombre et les langues ont peu de rapports avec le sanskrit » (2). Une multitude de nuances compliquent ce contraste : même au

quantitativement le premier producteur de films au monde. La production peut varier entre 8% et 10%, mais le chiffre se situe autour de 1 200 films par an. L’Inde étant un pays multiethnique, la production essentielle se fait en télougou [langue dravidienne parlée dans le Dekkan, dans le centre de l’Inde], suivi de près par les films en tamoul [parlé au Tamil Nadu, un Etat du sud de l’Inde]. Mais seulement 100 à 120 films en langue hindi - plus connus en Occident sous l’étiquette « Bollywood » - sont

la bifurcation. Il y a une terminologie spéciale qui oppose cousin et frère (collatéralité). On distingue côté maternel et côté paternel (bifurcation). F ≠ MB≠ FB - type australien - type dravidien (peuple qui vit en Inde du Sud) - type iroquois - type crow omaha  dans ces quatre types/systèmes on ne tient pas compte de la collatéralité mais on tient compte de la bifurcation [F=FB] mais ≠ [MB] - type eskimo : tient compte de la collatéralité