Dreyfusards Et Antidreyfusards

assassiné. Les anarchistes existent vraiment. La république s’effrite encore un peu plus. Un capitaine français, juif nommé Dreyfus est accusé d’espionnage pour la Prusse. L’affaire Dreyfus divisa les français en 2 groupes, les Dreyfusard (contre l’armée) et les antidreyfusards (pour l’armée, car c’est la seule à pouvoir récupérer l’Alsace et la Lorraine). En 1906, l’armée réhabilite Dreyfus avec le grade de commandant. L’affaire se termine en 1907. L’affaire Dreyfus met fin aux crises de la république

‘affaire Dreyfus, un jeune officier juif Français accusé d’espionnage pour les allemands. En 1898, Zola écrit « j’accuse » dans ce journal l’Aurore( un journal radical), cette ‘affaire’ divise le pays entre les « dreyfusards » qui veulent la révision du procès pour la vérité, et les « antidreyfusards » qui veulent défendre l’honneur de l’armée française. Mais finalement Dreyfus est gracié par le « gouvernement de défense républicaine », après un deuxième message confidentiel envoyé par les allemands à leur

coloniale – anticléricaux // Clémenceau ( médecin de formation, maire de Montmartre. Réputation de « tombeur de ministères » opportunistes. Encourage les débuts de Boulanger. Impliqué dans l’affaire de Panama. Fonde l’Aurore, journal de gauche, dreyfusard. Ferme face à la crise sociale « fusilleur de Draveil » . son programme se résume en « je fais la guerre » // - Opportunistes = maîtres du pvr. Consolidation des instits rép : • 1881 : loi de la presse et autorisation réunion et association

d’origine alsacienne et de confession juive, qui sera finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1895 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité. Émile Zola Émile Zola, informé mi-novembre 1897 par Scheurer-Kestner du dossier, est convaincu de l'innocence de Dreyfus et s'engage officiellement dans cette affaire. Le 25 novembre

cause dans son ensemble ici. Il dénonce le rôle de la presse à grand tirage. Le déchainement antisémite qui a accompagné le procès Zola inquiète certains hommes politiques. Méline, notamment, déclare vouloir l'apaisement et renvoie dos à dos les dreyfusards et les antisémites. Les intellectuels selon lui paraissent ne pas se douter des passions qu'ils déclenchent. Lors des élections législatives, l'Affaire ne constitue pas un enjeu particulier, et la Chambre reste à peu près la même, dominée par

de la République. L'auteur encourt un procès et des poursuites judiciaires. La France est alors coupée en deux : les dreyfusards et les antidreyfusards. Cette séparation sera entrecoupée par des débats, de manifestations. Le colonel Henry reconnait avoir écrit un faux pour accuser Dreyfus et se suicide par la suite. Dreyfus est acquitté malgré les protestations des antis Dreyfusards. Cette affaire démontre la discréditation du gouvernement mais ce n’est pas la seule crise qui est survenu. En même

Dreyfus : ce dernier, juif, est accusé injustement en 1894 d’espionnage pour l’Allemagne. Emile Zola prend la plume pour le défendre (« J’accuse » en janvier 1888 dans l’Aurore de Clémenceau) et l’affaire éclate : la France se divise entre dreyfusard et antidreyfusard. Plus que la révision même du procès, on s’affronte sur le patriotisme, le respect de l’armée et de la République. = Le régime ne fait toujours pas l’unanimité, les Français ne sont pas tous convaincus. III] Le début du XXème siècle :

les réalités et les limites d’un passé récent embelli par la mémoire qui l’élève au rang de mythe ? Mots-clés Régime parlementaire Président du Conseil majorité républicaine radicalisme anticléricalisme nationalisme empire colonial dreyfusards (antidreyfusards) instabilité anarchisme syndicalisme modernisme bourgeoisie instruction publique exode rural urbanisation Cubisme Suprématisme Art abstrait Séquence 3-HG13 61 © Cned – Académie en ligne L’apparence de la prospérité économique

accusé d'avoir trahi la France, en espionnant, au profit de l'Allemagne. La plupart des journaux s'engagent et sous son influence l'opinion publique se divise . Certains sont antidreyfusards, croient en la culpabilité de Dreyfus : La Croix, Le Petit Journal. D'autres défendent l'innocence de Dreyfus. > Presse dreyfusarde En 1898, Zola publie son « J'accuse » dans L'Aurore, à l'initiative de Georges Clémenceau, le rédacteur en chef du journal. C'est un article sous la forme d'une lettre ouverte

journaux sont les vecteurs privilégiés du scandale et de la mobilisation de l’opinion entre les Dreyfusards  (défenseur de l’innocence du capitaine Dreyfus et voulant sa réhabilitation) et les Antidreyfusards (convaincu de sa  culpabilité, antisémites) qui s’affrontent par presse interposée dans un feuilleton judiciaire. En effet, l’Affaire est  montée par la Libre Parole (quotidien d’Edouard Drumont, antidreyfusard) puis relancée par Le Matin qui publie le  fac-similé du bordereau permettant d’identifier