Droit Canonique Et Droit Musulman

Introduction au droit comparé Lorsque l’on parle de droit comparé, on est critiqué car on l’emploie comme les expressions droit des sociétés, droit de la famille, etc … Ce n’est pas une branche du droit particulière. Certains auteurs rejettent cette expression. Ils préfèrent parler de méthode comparative ou de grands systèmes de droit contemporain pour désigner l’activité qui s’intéresse aux systèmes de droit étrangers. Ce terme est d’apparition récente. On a commencé à en parler à la fin du XIXe

sont liées. Les raffinements de l’acti- vité onirique et sexuelle semblent avoir rencontré une personnalité collective très sensible aux voluptés de la chair, à la nervosité des échanges volés et à l’absence de toute culpabilité rétroactive. Les musulmans ont fait de la sexualité un lieu de partage et d’épanouissement indivi- duel, aussi bien physique que moral. Mais outre le fait que la femme y tient un rôle secondaire, la notion de sujet y est carrément absente. La vacance du sujet en islam La vraie

Il y a à la fois une expansion démographique sans retour en arrière, il y a une diffusion de technique nouvelle qui améliore l’agriculture. Durant cette période, tous les habitants de l’Occident sont chrétiens sauf quelques communautés juives et musulmanes. Malgré les divisions politiques, l’unité religieuse de cet Occident chrétien est renforcée par l’usage par une langue savante : le latin ; et part une culture commune. L’Eglise de Rome est la colonne vertébrale de cette société totalement imprégné

de 18 à 50 ans)[] : sans religion : 45 % catholiques : 43 % musulmans : 8 % protestants : 2 % juifs : 0,5 % bouddhistes : 0,5 % orthodoxes : 0,5 % autres : 0,5 % Selon l’Ifop en 2011 pour Le Journal du dimanche[] : Aujourd’hui, en France, la situation religieuse est globalement la suivante : environ 61 % des français se considèrent comme catholiques 25% se déclarent athées ou sans religion 7% sont musulmans 4% sont protestants 1% sont juifs (650 000 personnes) 1%

définit d’abord par son histoire : pendant cinq siècles, l’Empire romain a contribué à unifier le monde méditerranéen, par la langue, l’organisation administrative et les lois. Hellénisme et latinité se sont nourris des apports judéo-chrétiens, musulmans, et même slaves et germaniques. Cependant, l’étude des trois grandes civilisations en présence est rendue complexe par la mouvance des frontières et la multiplicité des organisations politiques. On est en présence d’une mosaïque d’histoires locales

qui démontre qu’elle est la condition principale à l’application du mariage putatif. La bonne foi est une condition subjective, car elle réside dans la croyance qu’à une personne de se trouver dans une situation conforme au droit, et la conscience d'agir sans léser les droits d'autrui. En matière matrimoniale, la bonne foi réside essentiellement dans la croyance du ou des futurs époux, que le mariage qu’ils contractaient était valable. Elle résulte donc de l’ignorance de l’empêchement qui s’oppose

Introduction historique au droit 1ere partie : La matrice romaine. On va étudier de manière chronologique les évolutions du droit, de la justice, durant les 3 grandes périodes qu’a connu la Rome antique, à savoir la République (Res Publica) et la période impériale (le Haut Empire et le Bas Empire). La fondation de Rome, en tant que cité, est fixée par la tradition dans les années 754-753 avant J.-C. Par fondation, on entend que les premiers historiens latins rapportent le mythe de Romulus

‫وا‬ ‫ا نا‬ Centre de droit arabe et musulman Zentrum für arabisches und islamisches Recht Centro di diritto arabo e musulmano Centre of Arab and Islamic Law MANUEL DE DROIT MUSULMAN ET ARABE Sami A. Aldeeb Abu-Sahlieh Ce livre peut être acquis auprès de l'éditeur www.thebookedition.com 2e édition, 2012 Le Centre de droit arabe et musulman Fondé en mai 2009, le Centre de droit arabe et musulman offre des consultations juridiques, des conférences, des traductions, des recherches et des

Le droit compare du mariage INTRODUCTION I. celebration du marriage a. la forme de la celebration b. la capacite c. les empechement au marriage II. les principaux effet du marriage a. le regime matrimonial b. le contrat du marriage c. les effets patrimoniaux DROIT COMPARE March 3, 2011 Contents 1 Les familles juridiques 3 1.1 La “common law “ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 1.1.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

de droit (vinculum juris) par lequel nous sommes astreint à la nécessité (necessitas = contrainte) de payer qq chose (alicujus solvendae rei) conformément au droit de notre Cité. » A. Vinculum juris Lien de droit : qq chose de passif ≠de la créance. Tout obligation suppose : -un sujet passif : subit le lien – « débitor » ou « reus debendi » -un sujet actif : bénéficiaire / créancier – « creditor » Obligation = droit personnel ≠ droit réel -droit réel : s’exerce sur la chose -droit personnel :