Droit de la nationalité

citer cet article, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/040299ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'URI http://www.erudit.org/apropos/utilisation.html Érudit est un consortium interuniversitaire sans

1. Résumé de l’Affaire C-367/11 1.1 Arrêt L’arrêt porte sur l’interprétation des articles 12CE, 17CE, 18CE et 39CE L’ONEM (Office nationale pour l’emploi) refuse d’octroyer à Madame Déborah PRETE, de nationalité française, le bénéfice des allocations d’attentes prévues par la législation belge alors qu’elle est mariée à un belge depuis juin 2001 et réside en Belgique depuis leur union. 1.2 Faits  L’ONEM rejette la demande de Madame PRETE le 11/09/2003 car elle n’a pas suivi au moins

« gestation pour autrui ». Dans le cas contraire, il s'agira d'une procréation pour autrui (voir ci-dessus). Se pose alors la question des droits du deuxième parent, parfois appelé « parent social » : si l'Angleterre reconnaît la parenté du conjoint de même sexe depuis 2006 au titre de supportive parent, celui-ci ne possède souvent aucune autorité légale (et donc aucun droit) sur l'enfant dans la plupart des autres pays européens, dont la France. Leur rôle soulève des problèmes d'ordre éthique concernant

INTERNATIONALES Introduction au droit international Relations internationales : étude de la science politique appliquée au relations internationales. Ici, ce sera le droit des relations internationales. CHAPITRE INTRODUCTIF : LA SOCIETE INTERNATIONALE ET SON DROIT SECTION 1ère : La société internationale §1 : L’état du monde Un monde homogène et européen Le monde tel qu’il est, quand se crée le droit international. Il a toujours existé depuis les cités grecques. Le droit international contemporain

à partir du 19 octobre 1945, car à cette date on libéralise le droit à la nationalité française. Cela nous intéresse car elle relève de la question d’identité, et est au fondement de ce qu’on appelle depuis 1996 « sans papier ». 1/ 1945-1974 : Début de la régularisation massive, pour combler un déficit démographique d’après-guerre. 19 octobre 1945 L’accès à la nationalité est libéralisé par cette ordonnance par exemple « la nationalité française se transmet par la filiation paternelle ou maternelle

ancienne. Article 8 : Lorsqu’une situation juridique créée sous l’empire de la Loi ancienne est appelée à se prolonger sous l’empire de la Loi nouvelle, celle-ci s’applique immédiatement sous réserve de ne pas porter atteinte aux droits acquis. Toutefois un droit acquis ne peut faire obstacle à l’application d’une Loi d’ordre public. Article 9 : Les Lois de police et de sûreté obligent tous ceux qui habitent le Territoire National les immeubles, même ceux possédés par des étrangers, sont régis

et le droit social communautaire En droit communautaire, contrairement à la Convention européenne des droits de l’homme dans son article 14, il n’existe pas de disposition générale et unique consacrant le principe de non discrimination dans tous les domaines. La cour de justice des Communautés européennes en fait alors un principe fondamental de droit communautaire. L’idée serait d’introduire dans les textes un principe général calqué sur celui de la Convention européenne des droits de l’homme

arbitral de prononcer le versement à titre de réparation provisoire de dommages pour en atténuer l’acuité. Si les arbitres ont pour mission de rendre une décision provisoire ou définitive ils sont amenés à respecter des principes élémentaires de droit : Les arbitres sont tenus de traiter les parties sur le même pied d’égalité : ce principe est équivalent au principe d’égalité devant la loi. De même que les arbitres sont tenus de respecter le principe de contradiction : c'est-à-dire permettre

La déchéance de la naturalisation est la perte de la nationalité française qui ne concerne que les personnes devenues françaises par acquisition. Conséquences : la personne déchue de la naturalisation perd ses droits civiques (exemple : droit de vote). Extraits du code civil : CODE CIVIL Article 25    L'individu qui a acquis la qualité de Français peut, par décret pris après avis conforme du Conseil d'Etat, être déchu de la nationalité française, sauf si la déchéance a pour résultat de le

DOURNEAU DT OGP LES PERSONNES EXISTENCE ET DROITS DEFINITION DE LA PERSONNE „ Les personnes sont des sujets de droit titulaires de droits et d’obligations „ Ce sont des entités juridiques auxquelles on peut rattacher des droits subjectifs (créances et dettes) LES PERSONNES : REGIME JURIDIQUE „ „ „ „ Quand naît-elle? Quand disparaît-elle? Comment la caractérise-t-on? Quels sont ses droits? LES DIFFERENTES CATEGORIES DE PERSONNES „ Le droit distingue deux catégories de personnes: